INITIATIVE SUISSE ET FRANCOPHONE CONTRE LA GERMANOPHOBIE
Introduction d’une nouvelle norme pénale
Défense du peuple allemand et européen
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Front national Suisse et Européen pour la défense de la Race et de la Culture (FNSEDRC) – Initiative suisse et francophone contre la germanophobie.
Table des matières
Hommage Arthur Bender
Présentation de l’initiative contre la germanophobie
Partie 1 - Les Allemands n’ont pas tué les Juifs
La réfutation de l’Holocauste en quinze points :
1. La chambre à gaz d’Auschwitz n’a jamais servi
2. Examens toxicologiques négatifs
3. Absence d’échantillons humains
4. 6 millions : un chiffre sans valeur réelle
5. Absence d’ordres
Propagande sur l’Allemagne, partie I
6. Absence de documents administratifs et techniques
7. Absence de témoignages humains allemands
8. L’acte d’accusation soviétique est entièrement faux
Hors sujet I – Comment le bourreau en chef de Staline a à lui seul exécuté 15.000 personnes
9. Le procès Nuremberg reprend l’accusation soviétique
10. Le gouvernement britannique n’y croyait pas
Propagande sur l’Allemagne, partie II
11. En fait personne n’y croyait
Spécial - Les Juifs et les camps de concentration : une évaluation factuelle par la Croix-Rouge
Propagande sur l’Allemagne, partie III
12 La version fixée aujourd’hui de l’Holocauste ne repose que sur la valeur du témoignage
Léon Degrelle parle
13 Les lois de censure
14 La population ressent les effets de l’endoctrinement
15 Les circonstances de la guerre
Hors sujet II – Les crimes soviétiques contre l’humanité du NKVD
Propagande sur l’Allemagne, partie IV
Elie Wiesel, Deborah Lipstadt - La version juive de l’Holocauste
Partie 2 - Les camps de la mort "nazis" soviétiques
1. Auschwitz
Hors sujet III - Zgoda : Le vrai camp de la mort d'Auschwitz
2. Treblinka
3. Belzec
4. Chelmno
5. Sobibór
6. Majdanek-Lublin
Propagande
Top révisionnisme historique
Les fables de LOLocauste
Pot-pourri de méthodes d'extermination "nazies"
Un écrivain juif parle de l’"Holocauste"
Partie 3 - Le génocide du peuple allemand
1. Les moyens de guerre les plus barbares que le monde ait connus
– Les bombardements de terreur
2. Le saccage du Reich
– La fête des viols alliés
– Le pillage de l’Allemagne défaite
3. Meurtre de masse contre le peuple allemand
Les prisonniers de guerre
– Les expulsions
– La semi-famine d’après-guerre
Propagande
Partie 4 – Doctrine chrétienne et politique
Hors sujet IV - Saint Thomas d'Aquin : "Soyez humains envers les étrangers, mais prenez des mesures pour protéger le bien national".
Hors sujet V - Notre mouvement est Chrétien
Hors sujet VI – Nationalisme Blanc
Hors sujet VII - Liens utiles
Propagande
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Arthur Bender (Conseiller d'Etat), l'âme de nos convictions
Né en Valais aux préludes des profonds bouleversements qui allaient conduire vingt ans plus tard l'Europe à la Seconde Guerre mondiale, Arthur Bender (1919-2002) était le descendant d'une lignée de citoyens installés depuis la fin du 15e siècle dans le village de Fully.
Sa vie entière témoigne de son attachement aux valeurs morales chrétiennes et de l'estime que lui accordaient ses contemporains.
Pendant son enfance, il se trouvait de ses camarades qui l'appelaient Le Saint, par amitié.
Son père, Etienne-Philippe Bender, de longue souche paysanne, était président de commune. Sa mère Virginie une femme énergique.
Après ses humanités grecques et latines au Collège de Saint-Maurice tenu par les chanoines, il étudia le droit à l'Université de Fribourg.
Mobilisé aux frontières durant le second conflit mondial, il participa à la sauvegarde de l'indépendance de la Suisse.
Père de cinq enfants, il fut confortablement élu au Conseil d'Etat du canton du Valais, pour trois mandats successifs, chef des départements symboliques de Justice et Police et de l'Instruction publique.
Sans doute en raison de son nom de famille intimement lié à la vigne et au vin, mères de l'Europe, il fut perçu par ses familiers comme disposant d'un sentiment pro-allemand.
C’est d’un ami qu’il tenait le slogan de ses campagnes électorales: « Issu du peuple - Pour servir le peuple ».
Il était animé de protectionnisme chrétien, prénotion de fierté européenne.
Il souhaitait que sa pensée soit rapprochée de celle de Jean Piaget.
Et que lors d'une reconstruction de l'Europe la Suisse soit liée aux pays latins sur des bases d'affinités culturelles.
Il avait une conscience de peuple affinée. Il est l'âme de notre conviction. "Les Allemands n'ont pas tué les Juifs. L'Holocauste est une invention."
Vive le Valais !
Vive la Suisse !
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Introduction d'une nouvelle norme pénale
Injures publiques contre les Allemands
Celui qui, publiquement, aura entretenu sous un couvert idéologique en relation avec les événements historiques connus sous les vocables de Génocide, Holocauste et Shoah l'affirmation que les Allemands ont tué les Juifs ;
Celui qui, publiquement, aura propagé dans les mêmes contours l'idée d'une culpabilité immanente et intemporelle du peuple allemand dans les événements précités ;
Est puni d’une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d’une peine pécuniaire.
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Quel est l'objet de cette pétition ?
Son objet est de sensibiliser la population aux accusations permanentes portées contre les Allemands, qui formeraient un peuple assassin.
Cette pétition - en cas de succès - serait suivie d'une initiative populaire fédérale qui visera à rendre répréhensible, selon les mêmes termes, les injures publiques contre les Allemands.
Est-ce que c'est antisémite ?
Non. C'est pro-allemand. Et pro-suisse car les trois quarts de la population sont alémaniques.
Je ne suis pas Allemand ou alémanique. Ni même Suisse. Est-ce que je peux signer?
Parfaitement.
Qui sont les milieux derrière cette initiative ?
Cette pétition est à l'initiative du Front national suisse et européen pour la défense de la race et de la culture (FNSEDRC), un mouvement nationaliste francophone créé en 2019 par le Genevois Alexandre Bender.
Elle est soutenue par divers mouvements nationalistes de l'espace francophone.
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Partie I - Les Allemands n'ont pas tué les Juifs
Pourquoi l'Holocauste n'existe pas
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« L’Holocauste »
La croyance que
Six millions de Juifs
ont été
systématiquement exterminés
principalement dans
des « chambres à gaz
déguisées en
salles de douches »
et dans des
« camions à gaz »
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La réfutation en quinze points
Dans les camps
1) La chambre à gaz d'Auschwitz n'a jamais servi
Chaque année depuis des décennies est montrée aux dizaines de milliers de visiteurs d'Auschwitz une "chambre à gaz" d'exécution du camp principal (Auschwitz I), soi-disant dans son "état d'origine". Cependant les responsables du musée national d’Auschwitz-Birkenau ont confirmé qu'elle est une création artificielle d'après guerre (1946-48) destinée plus tard aux touristes. « Tout y est faux », écrivait l’historien conventionnel Eric Conan dans L’Express, 19-25 janvier 1995. Elle n’a jamais servi. D’une manière générale, il n'existe pas à ce jour de rapport d'expert complet sur une prétendue "arme du crime" concluant que "le bâtiment (qu'il soit intact, "reconstruit" ou en ruines) servait de "chambre à gaz meurtrière".
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Références :
Blog Robert Faurisson, Sur Auschwitz, lentement la vérité reprend ses droits, 1995 : https://robertfaurisson.blogspot.com/1995/02/sur-auschwitz-lentement-la-verite.html // Radio Christanity – Holocaust Deprogramming Cours : http://radiochristianity.com/holocaust-deprogramming-course // The Writtings of Peter Winter - http://peterwinterwriting.blogspot.com/2015/09/ending-debate-on-auschwitz-is-gas.html // Robert Faurisson, Institute for Historical Review, The Gas Chambers of Auschwitz Appear to be Physically Inconceivable : http://www.ihr.org/jhr/v02/v02p312_Faurisson.html
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2) Examens toxicologiques négatifs
Au moins trois expertises toxicologiques ont été effectuées dans les locaux d’Auschwitz et de Birkenau censés avoir servi à des gazages homicides pour des centaines de milliers ou des millions de victimes (rapport Leuchter, rapport Rudolf), dont une officielle menée en 1990 par la section de toxicologie de l’Institut d’expertises médico-légales de Cracovie (Institut Jan Sehn). Leurs résultats sont unanimes: les échantillons prélevés dans “l’arme du crime“ ont donné une quantité nulle ou non significative de ferrocyanures (0,024 mg/kg pour l’Institut Jan Sehn). En revanche, des échantillons prélevés dans une chambre à gaz de désinfection au Zyklon B (chambre d’épouillage) ont montré des valeurs jusqu'à 20 fois supérieures (0,036-0,588 mg/kg).
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Références :
Germar Rudolf, A Brief History of Forensic Examinations of Auschwitz, The Journal of Historical Review, Mars/Avril 2001 (Vol. 20, No. 2), page 3. // Blog Robert Faurisson, « Crise au musée d’Auschwitz – La contre-expertise de Cracovie », 1991 // Références de l’expertise de Cracovie : Institut d’expertises médico-légales Prof. Dr Jan Sehn à Cracovie, Section de toxicologie, Cracovie le 24 septembre 1990, Westerplatte 9, code postal 31-033. Tél. : 505-44, 592-24 ; 287-50. Référence 720-90. Au musée d’Auschwitz-Birkenau. Votre réf. : N° 1-8523/51/1860/89. Signé de Prof. Jan Markiewicz, Dr Wojciech Gubala, Ing. Jerzy Labedz, Beate Trzcinska. Ont assisté aux prélèvements d’échantillons Dr Franciszek Piper, responsable du musée, et Piotr Setkiewicz, assistant ; publié en partie dans DGG 39, no. 2 (1991), pp. 18f. (http://vho.org/D/DGG/IDN39_2.html ) ; en anglais : “An Official Polish Report on the Auschwitz ‘Gas Chambers,'”, JHR 11, n° 2 (été 1991), p. 207-216 (vho.org/GB/Journals/JHR/11/2/ IHR207-216.html ).
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3) Absence d'échantillons humains
Pas un seul diagnostic de décès par empoisonnement au cyanure n'a été enregistré pour aucun camp de travail allemand. En outre, Il ne reste aucune trace des millions de corps qui auraient été gazés.
« Dans le cas d’un assassinat quelconque, relevait avec justesse l’historien français Robert Faurisson, jamais un magistrat instructeur n’ira se contenter de témoignages mais toujours ordonnera prioritairement une expertise médico-légale de la scène de crime et de l’arme du crime. A la libération des camps allemands, nulle enquête de ce genre n’a été ordonnée à l’exception du premier camp à l’Ouest où les alliés soient entrés, celui du Struthof (Alsace); et l’enquête qu’y a menée le professeur René Fabre sur la prétendue chambre à gaz a abouti, le 1er décembre 1945, à des conclusions négatives. » En définitive, il n'y a pas d'autopsie connue à ce jour permettant de conclure : «C'est le cadavre d'un déporté tué par un gaz toxique». »
Un avis en substance partagé par le Dr. Charles Larson, l'un des principaux médecins légistes américains, affecté au département du juge-avocat général de l'armée américaine, chargé de découvrir et d'obtenir des preuves de crimes de guerre allemands. Dans le cadre d'une équipe d'enquête américaine sur les crimes de guerre, le Dr Larson a pratiqué des autopsies à Dachau et dans une vingtaine d'autres camps allemands, examinant certains jours plus de 100 cadavres. Après son sombre travail à Dachau, il a été interrogé pendant trois jours par les procureurs de l'armée américaine.
Les découvertes du Dr Larson? Dans une interview dans un journal en 1980, il déclare: « Ce que nous avons entendu, c'est que six millions de Juifs ont été exterminés. Une partie de cela est un canular. » Et quelle partie était le canular? Le Dr Larson a déclaré à son biographe, qu'à sa connaissance, il était « le seul médecin légiste en service dans tout le théâtre européen» des opérations militaires alliées, et qu’il était en mesure de confirmer que « jamais un cas de gaz toxique n'a été découvert ».
Aucun autre médecin occidental n'a jamais prétendu avoir trouvé de preuves médico-légales de gazages non plus. Alors, quels indicateurs de gazage les médecins cherchaient-ils ? Larson ne donne pas de réponse, mais le fait est que s'il y avait eu des gazages au monoxyde de carbone ou au cyanure, les indications auraient été extrêmement spectaculaires et facilement visibles. Les cadavres auraient été d'un rouge cerise vif.
L'image ci-dessus est probablement la meilleure des nombreuses images disponibles aujourd'hui montrant à quoi ressemblent les cadavres d'empoisonnement au cyanure et au monoxyde de carbone. Cette image étonnante est tirée du Textbook of Maritime Medecine.
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Références :
Le lobby de la Mémoire contre Faurisson, 2018 (article remanié de Valentin Héciak paru dans Rivarol, le 14 mars 2018, p. 6-7). // 20th Century Truth, « Allied Forensic Autopsies Confirm Disease, Not Gaz » // Radio Christanity – « Holocaust Deprogramming Course ».
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4) 6 millions : un chiffre sans valeur réelle
Le chiffre de 6 000 000 de juifs morts pendant la guerre n’a aucune valeur réelle. Il a été utilisé et prédit des décennies avant la fin de la Seconde Guerre mondiale. Dès 1979, l’historien Martin Broszat le qualifiait de "symbolique". Il soulignait le fait que ce chiffre remontait au XIXe siècle. Il apparaissait dans des journaux américains, notamment le New York Times, qui dénonçaient les "excès" des Russes, des Polonais ou d’autres populations d’Europe centrale ou orientale mettant en danger six millions de Juifs. Il s’agissait d’une formule à caractère publicitaire où des organisations en appelaient à la générosité de tous pour sauver la communauté juive est-européenne.
Selon le livre Breaking the Spell (2006) de Nicholas Kollerstrom, des publications et des orateurs avaient fait référence à la mort ou à la persécution de 6 millions de Juifs à au moins 166 reprises avant la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Le révisionniste américain John Wear, dans la revue Inconvenient History, écrit :
« Dans un article paru dans le numéro du 25 juin 1940 du Palm Beach Post, le Dr Nahum Goldmann, qui était le président du comité administratif du Congrès juif mondial, a déclaré que "si les nazis devaient remporter la victoire finale, 6 millions de Juifs en Europe seraient condamnés à la destruction". Ces paroles interviennent alors que pas un seul Juif n'a été interné et qu’Hitler continuait de plaider pour la paix. Pourtant, le soi-disant Holocauste et les 6 millions de juifs condamnés à la destruction étaient déjà établis. »
La figure des 6 millions réapparaît le 4 janvier 1945, lorsque le chef juif de la propagande soviétique sur les atrocités nazies, Ilya Ehrenburg, déclare que c'est le nombre de Juifs morts pendant la Seconde Guerre mondiale.
Immédiatement après la fin de la guerre en Europe, un article paru dans la Pittsburg Press du 13 mai 1945 titre "Les nazis détruisent 6 millions de Juifs".
Le chiffre de 6 millions de Juifs assassinés par l’Allemagne nazie était considéré comme un fait avéré à la fin du Tribunal Militaire International (TMI) de Nuremberg. Sir Hartley Shawcross a déclaré dans son discours de clôture que « plus de 6 millions » de Juifs ont été tués par les Allemands, et que :
« ... le meurtre [a été] mené comme une industrie de production de masse dans les chambres à gaz et les fours d’Auschwitz, Dachau, Treblinka, Buchenwald, Mauthausen, Majdanek et Oranienburg. »
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Les 6 millions ™: un slogan publicitaire
Il s’agissait d’une formule à caractère publicitaire où des organisations américaines en appelaient à la générosité de tous pour sauver la communauté juive est-européenne. En 1945, le nombre de 6 millions devient celui officiel de Juifs morts pendant la Seconde Guerre mondiale.
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Le cas d’Auschwitz
L'histoire de l'Holocauste prétendait à l'origine qu'environ 4 millions de Juifs étaient morts à Auschwitz-Birkenau. En 1988 encore, à la page 19 du guide officiel du Musée d'État d'Auschwitz, le chiffre officiel de 4 millions de Juifs tués à Auschwitz-Birkenau est affirmé. Les 4 millions de Juifs qui ont péri à Auschwitz-Birkenau ont également été utilisés par la Commission d'État extraordinaire soviétique pour l'enquête sur les crimes nazis, le Tribunal national suprême en Pologne et le Tribunal militaire international (TMI) à Nuremberg. L'estimation des 4 millions de Juifs morts à Auschwitz-Birkenau était basée sur les témoignages de centaines de prisonniers survivants et sur l'avis d'experts.
Robert Faurisson, dans ses écrits, commente la décrue dans les chiffres avancés :
« Tout aussi capricieuses et infondées ont été les estimations du nombre des victimes d’Auschwitz basées sur les témoignages de centaines de prisonniers survivants et sur l'avis d'experts : « Le nombre semble avoir été de 9 millions dans le documentaire Nuit et brouillard, 1956. Il a été à 8 millions, 7 millions, 6 millions ; il est longtemps resté à 4 millions ; en 1990, les plaques des stèles commémoratives du camp portant ce dernier chiffre ont été enlevées pour être remplacées en 1995 par d’autres plaques portant le chiffre de 1 500 000. Mais même ce chiffre a bientôt laissé place, au Musée d’Etat d’Auschwitz, aux chiffres de 1 100 000 ou de 1 000 000. Ont été ensuite tolérés des chiffres inférieurs émis par J.-C. Pressac ou par Fritjof Meyer, rédacteur en chef du Spiegel, qui en mai 2002 a eu le droit de proposer le chiffre "présumé" de 510 000 morts, dont "vraisemblablement" 356 000 tués par gaz (Osteuropa, p. 631-641). »
Le cas de Majdanek
Dans son ouvrage Dissecting the Holocaust, chapitre "Holocaust Victims: A Statistical Analysis, W. Benz and W. N. Sanning – A Comparison", le chimiste Germar Rudolf commente la révision "drastique" du nombre de morts effectuée au fil des ans pour le camp de Majdanek :
« Peu après la prise du camp, les Soviétiques ont fait état d'un bilan de quelque deux millions de morts pour ce camp. Lors du procès polonais de la fin 1944 contre six anciens gardiens du camp, le nombre de morts à Majdanek a été fixé à 1,7 million. Environ un an plus tard, pendant le TMI, les Soviétiques ont affirmé que jusqu'à 1,5 million de détenus avaient été tués dans ce camp. Ce chiffre a toutefois été considérablement réduit trois ans après la guerre, lorsque le juge polonais Zdzisław Łukaszkiewicz a publié les conclusions de la "Commission d'enquête sur les crimes allemands en Pologne", qui ont fixé le nombre de morts dans ce camp à 360 000. Le déclassement suivant a eu lieu après l'effondrement du bloc communiste de l'Est, lorsque l'historien polonais Czesław Rajca a réduit le nombre de morts à 235 000. En 2005, Tomasz Kranz, directeur du musée de Majdanek, a encore réduit le nombre de morts à 78 000, et a retiré cinq des sept chambres à gaz initialement alléguées. Le nombre de morts réels calculé en 1998 [par le chercheur italien] Carlo Mattogno est d'environ 42 000.[Graf et Mattogno (2012) ont calculé que le nombre de morts juifs était légèrement inférieur à 28 000.-Ed.]Quant au "rapport d'expertise" soviétique, il suffit de dire qu'il a exagéré de 1000% la capacité réelle de crémation du seul four. »
Un chiffre exagéré
Le révisionniste américain John Wear s’étonne à juste titre :
« Puisque le chiffre de 6 millions de Juifs morts dans les camps allemands est basé sur les 4 millions de Juifs morts à Auschwitz-Birkenau, on pourrait penser que les 6 millions de Juifs morts dans les camps allemands devraient être ramenés à environ 3 millions. Cependant, le nombre officiel de Juifs morts dans les camps de concentration allemands reste à 6 millions, même si ce chiffre est aujourd'hui manifestement surestimé. »
Germar Rudolf s'interroge :
« Mais si le nombre de corps dans les différents camps continue à baisser et que le total global reste le même ou même augmente, il faut se demander où les victimes ont pu mourir, si ce n'est dans les prétendues chambres à gaz ? Pour résoudre ce problème, on s'efforce toujours, par exemple, d'augmenter le nombre de victimes pour les autres camps. Exemple : pour Treblinka, des chiffres allant de 700 000 à 900 000 ont été la norme jusqu'à présent. Wolfgang Benz postule maintenant entre 1,0 et 1,2 million, dont 974 000 auraient été des Juifs polonais. Ainsi, Treblinka, avec ses plus d'un million de victimes, pèse plus lourd dans l'analyse de Benz qu'Auschwitz - une tendance totalement nouvelle dans les études sur l'Holocauste. »
Le problème de la capacité des fours
John Wear :
« Un autre facteur qui rend impossible le chiffre officiel de 6 millions de Juifs morts dans les camps allemands est le fait que des milliers de cadavres n'auraient pas pu être incinérés chaque jour à Auschwitz-Birkenau comme on le prétend généralement. Ivan Lagacé, directeur d'un grand crématoire à Calgary, au Canada, a témoigné lors du procès Ernst Zündel en 1988 que, d'après son expérience, il n'aurait été possible d'incinérer qu'un maximum de 184 corps par jour à Birkenau. Lagacé a déclaré que l'affirmation selon laquelle les 46 moufles de crémation de Birkenau pouvaient incinérer plus de 4 400 corps en un jour était "ridicule", "absurde" et "au-delà de la réalité". »
Pertes causées par la barbarie soviétique
Le livre The Dissolution of Eastern European Jewry, 1983, de Walter Sanning est probablement l'étude la plus savante jamais écrite sur la démographie juive du XXe siècle, en particulier dans son analyse des changements de population juive liés à la Seconde Guerre mondiale. Sanning fonde son étude presque exclusivement sur des sources alliées, sionistes et pro-sionistes d'Allemagne de l'Ouest. Son analyse comprend des preuves fournies par le sous-secrétaire d'État américain du temps de guerre, l'Institut des affaires juives, l'American Jewish Year Book, les publications officielles du recensement et l'Institut pro-sioniste d'histoire contemporaine de Munich. Sanning garde son livre aussi libre d'émotion que possible afin de contribuer à une véritable discussion sur l'accusation de génocide allemand.
Alors qu'il serait impossible pour quiconque de donner un nombre exact de Juifs morts dans les camps allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, The Dissolution of Eastern European Jewry prouve que loin de 6 millions de Juifs seraient morts pendant la guerre. Sanning calcule que les pertes mondiales subies par les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale avoisinent les 1¼ millions. Il estime que 15 967 000 Juifs étaient vivants en 1941 avant l'invasion allemande de l'Union soviétique, et que la population juive a été réduite à environ 14 730 000 après la guerre.
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Probablement moins d'un million
Stephen F. Pinter, qui était un procureur du ministère américain de la guerre en poste en Allemagne après la guerre, a contesté l'affirmation selon laquelle des millions de Juifs ont été assassinés par l'Allemagne. Dans une déclaration faite en 1959, il écrit :
« D'après ce que j'ai pu déterminer pendant les six années d'après-guerre en Allemagne et en Autriche, un certain nombre de Juifs ont été tués, mais le chiffre d'un million n'a certainement jamais été atteint. J'ai interrogé des milliers de Juifs, anciens détenus des camps de concentration en Allemagne et en Autriche, et je me considère aussi qualifié que n'importe quel homme à ce sujet » (Lettre de Stephen Pinter dans l'hebdomadaire catholique national Our Sunday Visitor, 14 juin 1959, p. 15.).
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Le nombre réel de morts dans tous les camps allemands
La Croix-Rouge internationale était présente dans tous les camps de travail, d'internement, de concentration et les camps de prisonniers pendant la Seconde Guerre mondiale. La Croix-Rouge n'a jamais eu accès à aucun camp soviétique avant, pendant ou après la Seconde Guerre mondiale. Sous la pression des révisionnistes (Robert Faurisson et Ernst Zundel), notamment aux deux procès Zundel (Toronto, 1985 et 1988), ces autorités ont fini par faire des révélations sur ces registres à partir de 1989, malgré les fortes objections d'Israël. Elles affirment n'avoir retrouvé de registres que pour la période du 29 juillet 1941 au 31 décembre 1943, non sans quelques lacunes. Les dossiers de la Croix-Rouge semblent indiquer qu'il n'y avait pas de chambres à gaz dans les camps allemands pendant la Seconde Guerre mondiale et un total de victimes documentées extraordinairement moins élevé que ceux généralement avancés jusqu’alors. Quant aux décès, ils seraient principalement dus au typhus. Ci-dessus, trois documents issus du Service international de recherches d’Arolsen, dépendant de la Croix-Rouge de Genève. A gauche, un résumé de 1979 faisant état 271 301 décès dans les camps allemands. Au centre, de 1980 faisant état de 273 905 décès. A droite, de 1984 faisant état de 282 077 décès.
Germar Rudolf :
« Il existe deux sources principales pour déterminer le nombre des Juifs qui sont morts durant la Seconde Guerre mondiale : le Service international de recherches, dépendant du Comité international de la Croix-Rouge de Genève, mais situé à Bad Arolsen (RFA), et l’ensemble des administrations allemandes chargées de procéder aux versements au titre des "restitutions", des "indemnisations" et des "réparations". Toutes ces instances sont fermées aux chercheurs indépendants. En particulier, le Service international de recherches s’entoure de précautions depuis qu’il constate que les révisionnistes s’intéressent à ses quarante millions de fiches.
À ce jour, seuls les chiffres fournis par le Comité international de la Croix-Rouge peuvent être considérés comme certains. Le bureau spécial du CICR à Bad Arolsen garde la trace de tous les décès officiellement documentés dans les camps de concentration allemands du Troisième Reich. Un résumé au 1er janvier 1993 fait état de 296 081 décès. La répartition de ces décès entre les différents camps est indiquée dans le tableau ci-dessous.
In Germar Rudolf, Dissecting the Holocaust, 2e éd., 2003, p. 212
Un décompte des Juifs constitue probablement environ la moitié du total.
Il faut cependant garder à l'esprit que cette liste n'est pas complète. Les camps de Chelmno, Belzec, Sobibór et Treblinka ne figurent pas dans le tableau, tout comme ceux qui sont morts dans les ghettos. Enfin, il faut se rappeler que selon les "Livres de la mort", environ 66 000 personnes sont mortes à Auschwitz à la fin de 1943 seulement, et que les Américains ont mentionné 25 000 morts dans le camp de concentration de Dachau pendant la guerre. Une estimation réaliste du nombre réel de victimes peut donc être deux fois plus élevée que le total des victimes nominatives enregistrées dans les registres d'Arolsen. Le nombre de victimes enregistrées nommément serait maintenant d'environ 450 000. (W. Sofsky, L'organisation de la terreur - les camps de concentration, Fischer, Francfort 1993, p. 331, note de bas de page 37). Il s'agit sans doute en grande partie de Juifs, mais les chiffres exacts ne sont pas encore connus.
Même de ce point de vue, il est clair que la mort a fait un grand nombre de victimes. »
Selon le révisionniste américain Thomas Dalton [son identité reste floue et pourrait être un pseudonyme- Ed.], « il semble probable qu'environ 570 000 juifs soient morts pendant toute la durée de la Seconde Guerre mondiale ». L’auteur de Debating the Holocaust (2009) commente :
« Le chiffre traditionnel de 6 millions de morts semble donc avoir été une surestimation dramatique et non étayée. Le chiffre le plus probable - environ 570 000 - est inférieur à 10 % de ce chiffre. »
Les chiffres d’Auschwitz
Les procès de Nuremberg nous ont dit que 4 millions de personnes ont été tuées à Auschwitz. C'était un dogme officiel depuis des décennies et tout le monde le croyait comme un fait. Puis, en 1989, lorsque le système communiste s'est effondré, les Russes ont versé dans leurs archives les registres de décès d'Auschwitz qui avaient été capturés et les Polonais ont rapidement révisé le bilan à la baisse, le ramenant à 1,5 million de morts. Ce n'est toujours pas plus crédible que le mensonge original de 4 millions de morts.
Les certificats de décès officiels du camp d'Auschwitz ont révélé que le nombre de morts pour tous les détenus juifs et non-juifs à Auschwitz entre mai 1940 et décembre 1944 était de 74 000, dont environ 30 000 seulement étaient des Juifs. (68 864 décès selon Robert Faurisson qui cite les travaux de Grotum et Parcer) Les registres de décès se composent de 46 volumes qui documentent chaque décès à Auschwitz (chaque certificat de décès comprend le nom complet de la personne décédée, sa profession et sa religion, sa date et son lieu de naissance, son lieu de résidence avant Auschwitz, le nom de ses parents, l'heure du décès et la cause du décès telle que déterminée par un médecin du camp). Les dossiers des années les plus importantes, 1942 et 1943, sont presque complets (il existe également quelques volumes pour l'année 1941, mais aucun pour l'année 1944 ou janvier 1945 date de l'évacuation).
Les services de renseignements britanniques ont décrypté que les Juifs représentaient moins de 40% des prisonniers d'Auschwitz. Les décryptages constituent un enregistrement de jour en jour du nombre de personnes vivant à Auschwitz (et dans d'autres camps) et ces messages interceptés donnent quatre catégories : Polonais, Juifs, Russes et "prisonniers politiques" parfois désignés comme "Allemands". Les Juifs représentaient moins de 40% d'Auschwitz, seulement 12% environ de Dachau et seulement 30% environ de Buchenwald.
Pour l’Américain Arthur R. Butz et pour d'autres révisionnistes, le nombre total de morts à Auschwitz (un complexe qui regroupait à la fin de la guerre un ensemble de 39 camps) doit s'élever dans une fourchette de 100 000 à 150 000, dont moins de 100 000 juifs. L’Italien Carlo Mattogno et le Suisse Jurgen Graf ont articulé un chiffre total de de 136 000. La plupart des juifs n'ont pas été tués mais sont morts, surtout à cause des épidémies de typhus. Les révisionnistes soulignent que, si les Allemands avaient eu à leur disposition de plus grandes quantités de l'insecticide Zyklon B précisément pour combattre ces épidémies, moins de personnes seraient mortes à Auschwitz, non seulement parmi les Juifs, les Polonais, les Russes et les autres détenus, mais aussi parmi les médecins, les gardes et les autres fonctionnaires allemands.
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Des milliards en réparations
Des millions de Juifs ont finalement reçu une compensation personnelle pour leur douleur et leurs souffrances lors du soi-disant Holocauste. En 2020, le gouvernement fédéral allemand avait versé des réparations aux victimes du Troisième Reich pour un montant d'environ 77,8 milliards d’euros. En outre, les Allemands ont versé de nombreux milliards de dollars supplémentaires en fonds privés et publics aux travailleurs forcés du temps de guerre. Les réparations allemandes à Israël et aux Juifs se poursuivent à ce jour.
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Références :
Germar Rudolf, Dissecting the Holocaust, 2e éd., 2003 // "I feel reasonably secure in placing the total in the range 100,000-150,000, probably closer to the former [...]. The number of Jewish dead of natural causes at Auschwitz seems less than 100,000" (Arthur R. Butz's review of Why Did the Heavens not Darken? The "Final Solution" in History, by Arno J. Mayer, The Journal of Historical Review, Fall 1989, p. 369-370 ; voy. aussi "Some Thoughts on Pressac's Opus A Response to a Major Critique of Holocaust Revisionism", Id., May-June 1993, p. 26) // Harry Hinsley, British Intelligence in the Second World War, 1979 // Thomas Grotum, Jan Parcer, "Computer-aided Analysis of the Death Book Entries", Sterbebücher von Auschwitz. Death Books from Auschwitz. Ksiegi zgonow z Auschwitz, herausgegeben vom Staatlichen Museum Auschwitz-Birkenau, 3 Bände, München, Saur Verlag, 1995, I, p. 203-231.// Mark Weber, IHR, Pages From The Auschwitz Death Registry Volumes : http://www.ihr.org/jhr/v12/v12p265_Weber.html // Thomas Dalton, Renegade Tribune, The Great Holocaust Mystery: Reconsidering the Evidence : http://www.renegadetribune.com/the-great-holocaust-mystery-reconsidering-the-evidence/
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5) Absence d'ordres
Aucun ordre n'a jamais été trouvé autorisant le meurtre en masse des Juifs d'Europe.
Raul Hilberg contraint d'admettre : "Pas d'ordre hitlérien" et "pas de plan".
Hilberg au procès de Zundel en 1985.
En 1961, Raul Hilberg, le premier des historiens de l'"Holocauste", "le pape" de la science exterminationniste, a publié la première version de son œuvre majeure, La destruction des Juifs d'Europe. Il y exprime de manière doctorale la thèse suivante : Hitler a donné des ordres pour un massacre organisé des Juifs et tout a été expliqué comme provenant d'une manière ou d'une autre de ces ordres. Cette façon d'exposer la marchandise devait se terminer par un fiasco. Les révisionnistes ayant demandé à voir les ordres d'Hitler, Hilberg fut contraint d'admettre qu'ils n'avaient jamais existé.
Walter Laqueur reconnaît :
« Jusqu'à ce jour, on n'a pas trouvé d'ordre écrit d'Hitler concernant la destruction de la communauté juive européenne et, selon toute probabilité, cet ordre n'a jamais été donné. »
Colin Cross admet :
«Il n'existe donc rien qui ressemble à un ordre écrit signé par lui pour l'extermination des Juifs en Europe.»
Christian Zentner reconnaît:
« On ne peut pas fixer le moment exact où Hitler a donné l'ordre...sans doute il n'a jamais été établi par écrit ... d'exterminer les Juifs. »
Saul Friedländer admet :
« On ne sait pas exactement quand l'idée de l'extermination physique des Juifs s'est imposée à l'esprit d'Hitler. »
Joachim Fest reconnaît :
« Jusqu'à aujourd'hui, la question de savoir quand Hitler a pris la décision pour la Solution Finale de la question juive est en suspens, et pour la simple raison qu'il n'existe pas un seul document sur le sujet. »
Après avoir insinué que « c'est Adolf Hitler en personne qui a sans doute signé la condamnation à mort des Juifs d'Europe », l'historien de l'Holocauste Léon Poliakov, dans son livre Le Bréviaire de la haine, Calmann-Lévy, 1974 [1951], p. 171), admet qu'aucun document confirmant une politique d'extermination n'a été découvert. Il s'exprime ainsi:
« Les trois ou quatre personnes principalement impliquées dans l'élaboration du plan d'extermination totale sont mortes et aucun document n'a survécu ; peut-être qu'aucun n'a jamais existé. »
Les implications de cette déclaration sont claires. La vague référence à "trois ou quatre personnes" indique que le prétendu plan est en fait une hypothèse nébuleuse de la part de l'auteur.
D'une manière générale, l'absence totale de preuves permet aux historiens officiels de donner libre cours aux spéculations les plus diverses.
Personne n’a été en mesure de prouver l’existence d’un seul ordre d’extermination des juifs ; les tentatives pour nous présenter des ordres rédigés par Heinrich Himmler, Reinhard Heydrich ou d’autres en un langage "codé" ou "à décoder" ont échoué.
La réalité, confirmée par des documents, est que l’IIIe Reich ne recherchait pas "la solution finale de la question juive" mais "une solution finale territoriale de la question juive".
Robert Faurisson :
« Après enquête préalable sur les possibilités d’installation d’un foyer juif soit en Palestine, soit à Madagascar, ces deux solutions avaient été écartées. La vraie solution serait à rechercher après la guerre. En attendant, il convenait de traiter les juifs européens comme une minorité hostile ou possiblement hostile. Il fallait concentrer une majorité de ces personnes soit dans des ghettos, soit dans des camps de travail forcé ou de concentration.
La “Solution finale“ à laquelle songeait Hitler pour l’après-guerre était “ territoriale “ (“Eine territoriale Endlösung der Judenfrage“), comme l’attestent le « protocole de Wannsee » et les documents y afférents. »
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La preuve définitive: l'absence d'ordre
D'un point de vue allemand, c'est l'absence d'ordre qui signe l'impossibilité absolue de l'Holocauste.
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Robert Faurisson :
« A la réunion de Wannsee, Heydrich réunit quatorze et non seize hauts fonctionnaires et leur fit part de son intention de procéder à la solution finale de la question juive par l’évacuation (c’est-à-dire la déportation) des juifs vers l’Est. Ceux qui pourraient être affectés au travail y seraient astreints, avec séparation des sexes (comme dans toute prison ou tout camp). Les juifs qui survivraient à cette épreuve seraient après la guerre remis en liberté et constitueraient la cellule germinative d’un renouveau juif. Tel est l’essentiel de ce texte.
Même en Allemagne et jusqu’à la fin de la guerre (mai 1945), il est resté des juifs en tant que tels, non clandestins et des millions de juifs européens ont survécu à la guerre. »
La rencontre Himmler – Musy
Robert Faurisson :
« Le 15 janvier 1945 Heinrich Himmler rencontre à Bad Wildbad, en Forêt Noire, le Suisse Jean Marie Musy, ancien président de la Confédération helvétique, venu de la part des Américains discuter une fois de plus de “l’amélioration du sort des juifs“. Les tractations ont déjà eu leur effet sur un point ; jusque là assignés parfois comme tous les autres aux travaux les plus durs, les juifs se sont vu accorder un privilège, celui de n’être plus affectés aux “travaux durs“ mais seulement aux “travaux normaux“. Dans une note consacrée à cette rencontre H. Himmler en vient à écrire :
« Tout comme chaque immigrant aux Etats-Unis doit verser mille dollars, chaque émigrant quittant le domaine de souveraineté allemand devra également verser mille dollars »
« Il doit être exclu que les juifs que nous laisserons sortir par la Suisse puissent jamais être refoulés vers la Palestine. Nous savons que les Arabes, tout autant que nous Allemands le faisons, refusent les juifs et nous ne voulons pas nous prêter à une indécence telle que d’envoyer de nouveaux juifs à ce pauvre peuple martyrisé par les juifs »
« Bien d’autres documents et bien d’autres faits attestent de ce que le IIIe Reich aspirait à l’expulsion des juifs d’Europe continentale et non à leur extermination. »
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Références : R. Faurisson, « Himmler rend compte de son entretien du 15 janvier 1945 avec Jean-Marie Musy au sujet des juifs », Ecrits révisionnistes, tome VII, 26 juin 2008, p. 111-113.// Blog Robert Faurisson : https://robertfaurisson.blogspot.com/2008/06/heinrich-himmler-rend-compte-de-son.html
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Propagande sur l’Allemagne (Partie I)
«L’Allemagne doit périr !» de Theodore N. Kaufman
Germar Rudolf :
« Le seul plan écrit de génocide pendant la Seconde Guerre mondiale n'était pas un plan allemand d'extermination des Juifs, mais plutôt un plan juif d'extermination des Allemands. Avant qu'il ne soit fait mention d'un tel plan, appelé "Holocauste", et alors que l'Amérique était encore neutre, les sionistes américains, avec l'approbation des médias, ont produit le livre sur le génocide le plus massif de l'histoire : Theodore N. Kaufman dans Germany Must Perish (Argyle Press, Newark, 1941) a littéralement préconisé la stérilisation de 48 000 000 d’hommes et de femmes allemands en âge de procréer, afin que, explique-t-il, le germanisme disparaisse en deux générations. La fervente proposition de Kaufman pour la stérilisation systématique de l'ensemble de la population allemande a été respectueusement accueillie par la presse américaine, y compris par des critiques dans un certain nombre de journaux. Une revue de l'hebdomadaire Time, le 24 mars 1941, qualifie le plan de Kaufman d'"idée sensationnelle". »
Le discours de Samuel Untermyer sur la « guerre sacrée »
John Wear :
« En août 1933, Samuel Untermyer parle d'un projet d'annihilation et d'extermination des Juifs en cours en 1933 et de la guerre qui doit être menée contre l'Allemagne pour l'arrêter.
Samuel Untermyer, parlant au nom des Juifs du monde entier, déclare la guerre à l'Allemagne par un boycott économique.
Peu après, Untermyer donne une émission de radio hystérique dénonçant les Allemands comme "ingrats" et "bêtes cruelles et sauvages", et appelant les chrétiens à s'unir aux Juifs pour détruire l'Allemagne dans une "guerre sacrée". Untermyer a affirmé que les Allemands "anéantissaient" les Juifs en :
« les enfermant dans de vils camps de concentration, les affamant et les torturant, les assassinant et les battant sans motif et ayant recours à toute autre forme de torture imaginable, inhumaine au-delà de toute conception, jusqu'à ce que le suicide soit devenu leur seul moyen d'évasion, et tout cela uniquement parce qu'ils sont ou que leurs lointains ancêtres étaient juifs, et tout cela dans le but avoué de les exterminer. »
Même le récit historique officiel d'aujourd'hui dit seulement que la soi-disant "extermination" des Juifs, et l'utilisation généralisée des camps de concentration en Allemagne, n'ont commencé qu'en 1939, pourtant nous n'étions qu'en 1933 et Untermyer faisait déjà des références claires et directes à ce que nous connaissons aujourd'hui comme "l'Holocauste".
Comment cela est-il possible ? Ce seul fait (et aucune preuve réelle du contraire) prouve que l'histoire de l'Holocauste n'est que le résultat de la propagande juive, plutôt qu'un événement réel. De plus, les juifs sionistes ont poussé le chiffre des "six millions" depuis plusieurs décennies, dès 1897. »
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Références :
Brenton L. Bradberry, The Myth of German Villainy, 2012 // Hans Schmidt, Hitler Boys in America : Re-Education Exposed, 2003.// Wear’s War, Did Jews Fake Hitler’s “Master Race” Phrase To Create War & World Domination? : https://wearswar.wordpress.com/2017/08/26/did-jews-fake-hitlers-master-race-phrase-to-create-war-world-domination/
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6) Absence de documents administratifs et techniques
Robert Faurisson :
Aucun document authentique attestant «l'Holocauste» n'existe nulle part.
« Tandis que sur les crématoires d'Auschwitz on possède des milliers de documents, y compris les factures, au pfennig près, on ne possède sur les "chambres à gaz", qui, paraît-il, flanquaient ces crématoires, ni un ordre de construction, ni une étude, ni une commande, ni un plan, ni une facture, ni une photo. Lors de cent procès (Jérusalem, Francfort, etc.), rien n'a pu être produit. »
Aucune planification n'a été trouvée concernant l'utilisation de chambres à gaz homicides dans les camps de concentration allemands.
« L'histoire de l'Holocauste affirme que les premiers gazages ont eu lieu à Auschwitz en septembre 1941, à l'aide de Zyklon B. Selon la version officiellement acceptée de l'histoire de l'Holocauste, les SS à Auschwitz ont rapidement construit des chambres à gaz homicides à partir de bâtiments ordinaires qui étaient capables de tuer des milliers de personnes à la fois. »
« Cette version officielle du soi-disant Holocauste est une pure absurdité. Les chambres à gaz meurtrières utilisant le Zyklon B ne peuvent pas être construites "à la volée" par des hommes SS sans formation d'ingénieur. Cela est démontré par une comparaison avec les chambres d'épouillage utilisées dans les camps de concentration allemands. Les chambres d'épouillage allemandes ont été brevetées par la firme allemande Degesch, elles ont nécessité une ingénierie extrêmement avancée et ont été soigneusement construites pour être étanches et sûres pour les opérateurs. »
Le 27 décembre 2009, cité dans un article du Toronto Star, l'universitaire juif Robert Jan van Pelt, probablement le dernier à avoir voulu prouver scientifiquement qu’Auschwitz, capitale de "l’Holocauste", avait été un "camp d’extermination" (expression américaine forgée en novembre 1944), c’est-à-dire un camp qui aurait été équipé de "chambres à gaz" d’extermination, concluait ses longues recherches par le constat suivant :
« 99 % de ce que nous savons, nous n’en avons pas en fait les éléments physiques pour le prouver » et de prétendre qu’à l’avenir : « Nous puiserons notre connaissance [de l’Holocauste en général] dans les livres et dans les témoignages des témoins oculaires. […]. Exiger de nous-mêmes que nous ayons plus de preuves matérielles, c’est en réalité, d’une certaine façon, céder aux négateurs de l’Holocauste en fournissant une espèce, en quelque sorte, de preuve spéciale. »
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Références :
Blog Robert Faurisson : https://robertfaurisson.blogspot.com
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7) Absence de témoignages humains allemands
Robert Faurisson :
« L'opinion publique allemande n'avait pas connaissance d'un programme d'extermination des Juifs européens pendant la guerre.
Le public allemand n'a pris conscience du prétendu génocide des Juifs d'Europe que lorsque les troupes américaines et britanniques sont entrées dans les camps de concentration allemands à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les scènes horribles d'énormes piles de cadavres et de détenus survivants émaciés et malades ont été filmées et photographiées pour la postérité par l’U.S. Army Signal Corps. Les films des scènes horribles des camps ont été rendus obligatoires pour la population allemande vaincue, afin que leur fierté nationale soit détruite et remplacée par un sentiment de culpabilité collective.
En outre, aucun des accusés du procès de Nuremberg n'a déclaré connaître un quelconque programme allemand d'extermination des Juifs pendant la guerre.
Hermann Göring, Hans Frank, Ernst Kaltenbrunner, Albert Speer, le général Alfred Jodl et les autres accusés de Nuremberg ont tous nié avoir eu connaissance d'un programme d'extermination des Juifs d'Europe. Bien que ces témoignages soient souvent rejetés comme étant mensongers, la nature catégorique et cohérente de leur témoignage, parfois par des hommes qui pensaient qu'ils seraient pendus, suggère qu'ils disent la vérité. »
Par ailleurs, aucun des généraux du temps de guerre qui ont rédigé leurs mémoires après la guerre n'a fait allusion aux chambres à gaz homicides ni même à l'intention d'exterminer un groupe ethnique.
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Références :
Blog Robert Faurisson : https://robertfaurisson.blogspot.com
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8) L'acte d'accusation soviétique est entièrement faux
Le rapport officiel soviétique sur Auschwitz a été rédigé par les fraudeurs de Katyn.
Deux des enquêteurs soviétiques qui ont compilé le rapport frauduleux attribuant aux Allemands la responsabilité du massacre de plus de 4000 Polonais par le NKVD en 1940 à Katyn ont également signé le rapport officiel soviétique sur Auschwitz.
Le rapport soviétique de 1944 qui accusait les Allemands d'avoir commis le massacre de Katyn a été répertorié à Nuremberg sous la quote 054-URSS. Deux des "experts'' qui ont signé ce rapport étaient:
«Membre de la Commission spéciale d'État, Académicien NN Burdenko» «Membre de la Commission spéciale d'État, Métropolite Nikolaï»
Le rapport officiel soviétique sur Auschwitz a été répertorié à Nuremberg sous 008-URSS. Deux des hommes qui ont signé ce rapport étaient:
«L’Académicien NN Burdenko» «Le Métropolite Nikolaï»
Le troisième signataire du rapport officiel soviétique sur Auschwitz est le charlatan biologique Lyssenko.
Cette citation de Jean-Claude Pressac :
« L'Union soviétique ... piégée par les souvenirs d'un passé coupable (Katyn, les Goulags), et par un présent également coupable, s'est discréditée aux yeux du monde.» (Technique, etc. p. 264.)
En 1944, Burdenko préside une commission d'enquête que l'URSS met en place pour enquêter sur le massacre de Katyn. Cette commission attribue la responsabilité des assassinats aux forces armées allemande. Aujourd’hui il est enfin admis par tous que ce sont les Soviétiques et non les Allemands qui ont commis le massacre d’environ 22 000 officiers polonais, non seulement dans la forêt de Katyn près de Smolensk mais aussi à Kosielsk, Starobielsk et Ostachkov. (Au procès de Nuremberg, il a surtout été question de Katyn).
Le crime de Katyn à Nuremberg
Le Prof. suisse François Naville présidait la commission internationale chargée d’élucider le crime de Katyn.
Le 13 avril 1943, dans la forêt de Katyn, près de Smolensk en Union soviétique, les Allemands, agissant sur la base d'informations obtenues auprès de la population locale, ont découvert sept fosses communes contenant un total de 4 143 corps. L'enquête (au cours de laquelle les corps ont été examinés par une commission composée d'experts médico-légaux de 12 pays européens, par une commission de la Croix-Rouge polonaise et par des officiers américains, britanniques et canadiens choisis parmi les prisonniers de guerre) a montré que le crime avait été commis par les Soviétiques. Lorsque les Soviétiques ont ensuite réoccupé le territoire de Smolensk, les corps de Katyn ont été à nouveau exhumés et une commission composée uniquement de citoyens soviétiques (la Commission Burdenko) a été créée pour rejeter la responsabilité du massacre sur les Allemands. Le 15 janvier 1944, ils invitent également un groupe de journalistes occidentaux. Cet exercice de propagande à grande échelle dans la falsification de l'histoire est toujours attesté par les 38 brochures relatives à l'affaire Katyn, qui se trouvent encore aux Archives d'État de la Fédération de Russie. A Nuremberg, le massacre de Katyn, impudemment attribué aux Allemands par les Soviétiques, a été débattu lors de plusieurs sessions du procès de Nuremberg.
La pièce qui, à Nuremberg, atteste faussement de ce que le massacre des Polonais à Katyn est un crime allemand est à “considérer“ comme faisant partie des “preuves authentiques“ (article 21, phrase 2 de l’article 21 du Statut du TMI).
La vérité, 40 ans après
Les archives de l'État soviétique montrent une lettre de mars 1940 adressée à Staline par le chef de sa police secrète, Beria, ordonnant les meurtres.
L’“affaire de Katyn“ est longtemps restée une énigme. Et ce n’est que le 14 octobre 1992 que la version défendue par François Naville a été officiellement confirmée par les autorités russes. Parmi les archives remises ce jour-là au président polonais Lech Walesa figure en effet un jeu de photocopies qui prouve indiscutablement la culpabilité soviétique. Daté du 5 mars 1940 et signé de la main de Staline, l’ordre en question charge le NKVD (la police politique du régime) de procéder à l’exécution de 25 700 prisonniers de guerre polonais. C’est également le premier document historique attestant la responsabilité directe et personnelle de Staline dans une exécution de masse.
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Hors sujet I – Comment le bourreau en chef de Staline a à lui seul exécuté 15.000 personnes
Il était le plus horrible bourreau de Staline. Vassili Blokhine a non seulement dirigé le peloton d'exécution (connu sous le nom de “groupe spécial“) engagé dans les tueries de masse des « ennemis du peuple » en Union soviétique, mais il a aussi personnellement ôté la vie de 15 000 personnes.
Blokhine est devenu responsable de l'exécution en 1926, en prenant le poste de commandant du service de sécurité soviétique de la Direction politique unifiée d'État (Oguépéou – OGPU). Pendant près de trente ans, cette organisation changera plus d'une fois de nom (NKVD, MGB), tandis que ses dirigeants se succèderont. Seul Blokhine restera inchangé à son poste.
Le bourreau du diable
Les meurtres quotidiens ne peuvent qu'affecter la psyché d'une personne et beaucoup de bourreaux bolchéviques n’ont pu le supporter : ils allaient dans des hôpitaux psychiatriques, tombaient dans une profonde dépression, cherchaient le salut dans l'alcool. Il était même courant de procéder aux exécutions en état d’ébriété.
Vassili Blokhine (image ci-dessus) n'était pas comme ça. Il abordait son activité avec “professionnalisme“ et sang-froid. Il ne buvait pas avant les exécutions et interdisait à ses subordonnés de le faire. Pour lui, « se soulager du stress » n’était autorisé qu'après la fin des opérations.
« La vodka, bien sûr, on en buvait jusqu'à en perdre connaissance. Quoi que vous disiez, le travail n'était pas des plus faciles. On était si fatigués qu'on pouvait à peine tenir sur nos jambes. Et on se lavait à l'eau de Cologne. Jusqu'à la taille. Sinon, on ne pouvait pas se débarrasser de l'odeur de sang et de poudre. Même les chiens nous évitaient, et s'ils aboyaient, ils le faisaient de loin », se souvient Alexandre Emelianov, membre du peloton d'exécution.
Blokhine ne s'est jamais enfermé dans son travail effrayant. Il est probablement le seul bourreau de l'histoire à avoir fait des études supérieures. De plus, il avait une véritable passion pour les chevaux. Sa collection personnelle comprenait quelque 700 livres consacrés à ces animaux.
Endurant et consciencieux, Blokhine a rapidement construit sa carrière. Pendant la période des répressions de masse à la fin des années 1930, les plus haut placés lui faisaient confiance. À l'aide de son pistolet allemand Walther préféré, il a lors des répressions personnellement abattu de hauts dirigeants militaires condamnés, tels que Mikhaïl Toukhatchevski, Iona Yakir et Ieronim Ouborevitch.
Le journaliste Mikhaïl Koltsov, le metteur en scène Vsevolod Meyerhold et l'écrivain Isaac Babel ont également été parmi les victimes personnelles du bourreau de Staline. Blokhine n'a pas non plus hésité à exécuter son ancien chef, le dirigeant du NKVD, Nikolaï Ejov, tombé en disgrâce auprès de l'autorité suprême.
Au seuil de la mort
En 1939, Vassili Blokhine a failli subir de plein fouet le retour du boomerang. Lavrenti Beria, qui venait de devenir chef des organes de sécurité de l'État, a commencé à nettoyer l'appareil étatique des subordonnés d’Ejov. Or, Blokhine n'était pas en dernière place sur sa liste.
Cependant, en s’adressant au “petit père des peuples“ pour concrétiser son projet de condamnation, Beria a essuyé un refus. « Joseph Staline n’a pas été d’accord avec moi, disant qu’il n’y avait pas besoin d’enfermer ces gens », a-t-il confié en 1953.
De retour à son bureau, Lavrenti Beria a immédiatement fait venir Blokhine et d'autres dirigeants de son “ groupe spécial“. Après une longue conversation, ils sont sortis de là avec carte blanche totale pour poursuivre leurs activités.
Fusillade des officiers polonais
Le point culminant de la carrière de Blokhine a été la fusillade, au printemps 1940, d'officiers polonais détenus dans le camp d'Ostachkov, dans la région de Kalinine (aujourd'hui de Tver). Envoyé de Moscou, il a dirigé le processus d'exécution avec trente tchékistes à sa disposition.
« Blokhine a revêtu sa tenue spéciale : une casquette en cuir marron, un long tablier en cuir marron, des gants en cuir marron avec des protections jusqu’au-dessus des coudes. Cela m'a fait une énorme impression – j'ai vu le bourreau ! », a décrit Dmitri Tokarev, chef du département du NKVD pour la région de Kalinine.
Les exécutions se sont alors étalées sur plusieurs nuits, par groupes de 250 personnes. Pour chaque condamné à mort l’on dépensait en moyenne trois minutes.
Après chaque service nocturne, Blokhine distribuait de l'alcool à ses subordonnés agités. Il est le seul à être resté calme, montrant une totale indifférence face à ce qui se passait.
Durant cet épisode du camp d'Ostachkov, 6 311 personnes ont été abattues. Sur le compte personnel de Blokhine figurait la mort de plus de 600 Polonais. L’achèvement des fusillades a été marqué par un grand banquet.
Fin du bourreau
Vassili Blokhine pouvait se considérer comme un homme très chanceux. Il a survécu à plusieurs de ses supérieurs : Guenrikh Iagoda, Nikolaï Ejov, Lavrenti Beria, Viktor Abakoumov. Le pouvoir a par ailleurs déversé sur lui une pluie de récompenses : l'Ordre de Lénine, deux Ordres de l'Étoile Rouge, le premier degré de l'Ordre de la Guerre Patriotique, des insignes de Tchékiste d’honneur.
Peu après le décès de Staline, Blokhine a été envoyé en retraite d'honneur. Mais il n'a pas pu profiter de son repos. Le pays a commencé à examiner les cas des personnes réprimées et à ouvrir des enquêtes sur les crimes du régime stalinien.
Le sanguinaire bourreau a alors été convoqué à plusieurs reprises pour être interrogé. Blokhine a cependant échappé aux poursuites, considéré non pas comme l'organisateur, mais comme une arme aveugle de terreur.
Néanmoins, en novembre 1954, Vassili Blokhine a été déchu du grade de major général « pour s'être discrédité au cours de son travail dans les organes ... et est indigne du haut rang de général à cet égard ». Quelques mois plus tard, il est mort d'un infarctus du myocarde à l'âge de 60 ans (selon d'autres rapports, il se serait tiré une balle).
Ironiquement, le bourreau en chef de Staline a été enterré au cimetière Donskoï de Moscou, où beaucoup de ses victimes reposaient dans des fosses communes.
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Exécutions de masse par fusillades
Tous ces bourreaux sont aujourd'hui également considérés comme des "victimes des répressions de Staline". Certains sont dans les halls de la gloire du FSB (principalement dans les régions).
Les staliniens et les patriotes soviétiques gardent un silence immérité sur un autre type de "stakhanovites" - les bourreaux du NKVD. Parmi eux, il y a de véritables records : Le général Vassili Blokhine a personnellement abattu 20 000 personnes, Peter Maggo et Ivan Nagorni “le boucher de Kiev“ – chacun 10 000. La plupart des bourreaux ont été enterrés avec les honneurs et sont toujours honorés par le siloviki.
En parlant de la répression de Staline, on ne mentionne le plus souvent que le Goulag. Cependant, il n'était qu'une partie de la machine répressive. Des centaines de milliers de personnes avant le Goulag n'ont pas survécu, finissant leur chemin dans les salles d'exécution ou les sites de tueries. Le NKVD (plus tard le MGB) a développé le système de fusillades, qui fonctionnait comme une machine.
L'ampleur de ce système est étonnante. Au plus fort de la répression, en 1937, 353 074 personnes ont été abattues, soit près de 1 000 par jour. En 1938, c'était 328.618. Ensuite le travail a fortement baissé. Il a fallu cependant exécuter des dizaines de milliers d'officiers polonais (Katyn, Kalinin) puis des déserteurs pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le nombre écrasant d'exécutions (jusqu'à 60%) a été effectué à Moscou, après de courts interrogatoires et un emprisonnement dans la Lubyanka et un verdict extrajudiciaire immédiat de la "troïka". Par conséquent, les "stakhanovistes" du NKVD travaillaient principalement dans la capitale. Leur cercle était limité - pour l'ensemble de Moscou, seulement 10 à 15 personnes. Un nombre aussi restreint de bourreaux ne s'explique pas par le fait qu'il était difficile de trouver des candidats, mais parce que le véritable bourreau devait être maître de son affaire : avoir une psyché stable (la psyché s'est néanmoins brisée même dans le cas de stakhanovistes expérimentés), des compétences professionnelles, le secret ; (même les plus proches parents des bourreaux ne savaient pas ce qui constituait leur travail au sein du NKVD), et le dévouement à la cause.
Référence aux corps signée par Blokhine.
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Références : Russia Beyond, Boris Egorov, Comment le bourreau en chef de Staline a à lui seul exécuté 15.000 personnes, 2020 // Tolkovatelia, Les bourreaux records de Staline (en russe), 2013 : http://ttolk.ru/2013/02/07
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(Suite)
Les libérateurs soviétiques d’Auschwitz, arrivés le 27 janvier 1945, n’y ont vu aucune chambre à gaz !
Robert Faurisson :
« A partir de 1941, le mouvement de résistance à l'intérieur du camp de concentration d'Auschwitz a répandu un flot ininterrompu d'histoires d'horreur et de rapports sur les massacres de détenus. Mais le pesticide Zyklon B n'a même jamais été mentionné comme l'arme du crime, mais plutôt des "bains électriques", des gaz de combat et un "marteau pneumatique". Même après l'occupation du camp par l'Armée rouge, le 27 janvier 1945, le correspondant de guerre judéo-soviétique Boris Polevoï a publié dans la Pravda du 2 février un rapport sur un "tapis roulant électrique" sur lequel les détenus étaient systématiquement tués avec du "courant électrique" avant d’être conduits au sommet d’un haut-fourneau où ils étaient enfournées. »
La version selon laquelle le Zyklon B est l'arme du crime ne se forme qu’au cours des mois suivants.
« Quelques semaines plus tard, les autorités soviétiques, jetant aux poubelles de l’histoire cette explication du juif russe Boris Polevoï, se rallieront à l’explication américaine du gaz et des fours, telle que forgée notamment par le juif slovaque Rudolf Vrba, le fameux faux témoin, adepte dans ses témoignages de ce qu’il appelait la « licentia poetarum » (sic) ou « licence poétique ».
L’embryon des histoires d’exterminations massives à Auschwitz venait du mouvement de résistance à l’intérieur du camp.
Le communiste juif allemand Bruno Baum, condamné en 1935 à dix ans de prison pour activité anti-gouvernementale avec Erich Honecker, futur président de l'Allemagne de l'Est communiste, et transféré à Auschwitz depuis la prison de Brandebourg en 1943, était, de son propre aveu, l'un des plus actifs fabricants de propagande du camp. Après la fin de la guerre, Baum a écrit ses mémoires, qui ont été publiées dans trois éditions différentes (1949, 1957, 1961). La première édition, publiée en 1949, se lit comme suit à la page 34 :
« Je crois qu'il n'est pas exagéré de dire que la majorité de la propagande d'Auschwitz diffusée à cette époque dans le monde entier a été écrite par nous-mêmes dans le camp. »
Une page plus loin, Baum renchérit :
« Nous avons fait cette propagande [pour] le public mondial jusqu'à notre dernier jour de présence à Auschwitz ».
Baum admet donc généreusement que les rapports du mouvement de résistance étaient de la "propagande".
La propagande communiste juive concernait aussi d’autres camps de concentration. Le 15 novembre 1942, le Mouvement de résistance du ghetto de Varsovie publiait un long rapport dans lequel il était dit qu’entre la fin juillet et le début novembre, deux millions de juifs avaient été exterminés à Treblinka dans des chambres à vapeur de “steam chambers“ (chambres à vapeur) pour tuer leurs victimes (document du TMI PS-3311).
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9) Le procès Nuremberg reprend l'accusation soviétique
Robert Faurisson :
La propagande juive à la fin de 1944
Au printemps 1944 deux juifs évadés d’Auschwitz s’étaient réfugiés en Slovaquie. Là, avec l’aide de coreligionnaires, ils commencèrent à mettre au point une histoire des camps d’Auschwitz, de Birkenau (camp annexe d’Auschwitz) et de Majdanek, décrits par eux comme des « camps d’extermination ».
Rudolf Vrba” – L’HoloFaux en personne. Ici à New York, novembre 1978, lors d'un entretien avec Claude Lanzmann pour le documentaire Shoah.
Le plus connu de ces juifs était Walter Rosenberg, alias Rudolf Vrba, lequel vit encore aujourd’hui au Canada. Leur récit, hautement fantaisiste, passa ensuite, toujours dans des milieux juifs, en Hongrie, en Suisse et, enfin, aux États-Unis. Il prit la forme d’un rapport dactylographié publié par le War Refugee Board, en novembre 1944, sous le timbre de la présidence des États-Unis ; le War Refugee Board devait sa création à Henry Morgenthau Junior (1891-1967), secrétaire au Trésor, qui allait se rendre célèbre par le « plan Morgenthau » qui, s’il avait été suivi par Roosevelt et Truman, aurait abouti à l’anéantissement physique, après la guerre, de millions d’Allemands.
Ce rapport servit de matrice à la « vérité » officielle d’Auschwitz. Les Soviétiques s’en inspirèrent pour leur document URSS-008 du 6 mai 1945 qui, au procès de Nuremberg, se vit accorder, comme leur rapport sur Katyn, le statut de document « à valeur authentique », qu’il était interdit de contester. Selon ce document, les Allemands avaient tué à Auschwitz plus de quatre millions de personnes, notamment en les gazant avec l’insecticide appelé « Zyklon B ». Cette « vérité » officielle allait s’effondrer en 1990.
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Références : Arthur Butz, The Hoax of the Twentieth Century, p. 89-99.
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Propagande sur l’Allemagne (Partie II)
Le mythe des gazages des populations civiles est une invention serbe qui remonte à 1916.
Pendant la Première Guerre mondiale (1914 à 1918), il a été largement rapporté que les Allemands, et leurs alliés, utilisaient des chambres à gaz pour tuer des milliers de prisonniers. Cependant, après la fin de la guerre, Stanley Baldwin a admis au parlement britannique qu'il s'agissait de propagande, et que de telles chambres à gaz n'avaient jamais existé. Il s'est également excusé publiquement auprès du peuple allemand pour cette insulte raciste à son égard.
Les deux pièces reproduites ici sont, toutes deux, extraites d’un même journal londonien, le Daily Telegraph. A vingt-six ans de distance, ledit journal a repris les mêmes chiffres : le 22 mars 1916, il annonce l’assassinat de sept cent mille Serbes et, le 25 juin 1942, il titre sur l’assassinat de sept cent mille juifs. En 1916, on raconte que les Allemands, les Autrichiens et les Bulgares « exterminent » les Serbes de différentes façons et, notamment, au moyen de gaz asphyxiants soit dans des églises, soit dans des lieux non autrement décrits ; ces gaz émanent de bombes ou de machines à produire des gaz.
« Le mythe des gazages des juifs durant la seconde guerre mondiale n’est que le produit de recyclage du mythe du gazage des Serbes pendant la première guerre mondiale », remarque Robert Faurisson :
« En 1942, on veut nous faire croire que les Allemands « exterminent » (c’est encore le mot) les juifs de multiples façons et, en particulier – c’est le modernisme – en utilisant un, et un seul, camion adapté en chambre à gaz, qui permet d’éliminer pas moins de mille juifs par jour. »
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22 mars 1916
ATROCITÉS EN SERBIE
700.000 victimes
De notre correspondant. Rome, lundi (18 h 45).
Les gouvernements alliés ont reçu témoignages et documents, qui seront prochainement publiés, prouvant que l’Autriche et la Bulgarie se sont rendues coupables d’horribles crimes en Serbie, où les massacres qu’ils ont commis sont pires que ceux perpétrés par la Turquie en Arménie.
Aujourd’hui, le gouvernement italien a publié le témoignage de deux prisonniers italiens qui se sont évadés d’Autriche par la Serbie et ont trouvé refuge en Roumanie. Pourtant, ce que ces deux prisonniers ont vu et appris n’est rien, comparé avec les témoignages produits par les Serbes eux-mêmes et communiqués par M. Pasitch au gouvernement italien et au pape. Selon des informations dignes de foi, le nombre des victimes des Autrichiens et des Bulgares a dépassé sept cent mille. Des régions entières, avec villes et villages, ont été dépeuplées par des massacres. Femmes, enfants et vieillards ont été enfermés dans des églises par les Autrichiens et passés à la baïonnette ou étouffés par le moyen de gaz asphyxiants. C’est ainsi que, dans une seule église de Belgrade, trois mille femmes, enfants et vieillards ont été suffoqués.
Des réfugiés serbes ont déclaré, sans que ce soit sous serment, qu’ils ont assisté à la distribution de bombes et de machines à produire des gaz asphyxiants, distribution faite aux Bulgares par les Allemands et les Autrichiens, avec les instructions d’emploi de ces instruments en vue d’exterminer la population serbe. Les Bulgares ont usé de cette méthode à Nich, Pirot, Prizren et Negotin où les habitants sont morts suffoqués. Les Autrichiens ont employé des moyens identiques en différentes parties du Monténégro.
Source : Blog Robert Faurisson
Quant à l’article de juin 1942 selon lequel les Allemands ont tué industriellement « 700 000 juifs en Pologne à l’aide chambres à gaz mobiles » réalisant ainsi le « plus grand massacre de l’histoire de l’humanité », le journal précise que « un millier de Juifs en moyenne étaient gazés chaque jour ». L’article, reproduit sur le site web du Telegraph, énumère également le nombre de victimes de massacres dans sept villes. En voici deux paragraphes : « Des enfants dans des orphelinats, des retraités dans des maisons de retraite et des malades dans des hôpitaux ont été abattus. Dans de nombreux endroits, les Juifs ont été déportés vers des "destinations inconnues"" et tués dans les bois voisins. » « À Vilna, 50 000 Juifs ont été assassinés en novembre. Le nombre total de Juifs abattus dans ce district et dans les environs de Kovno lituanien est de 300 000. »
Etonnamment, l'article, qui faisait référence spécifiquement au "plus grand massacre de l'histoire de l’humanité", a été publié à la cinquième page d'un numéro de six pages et eut peu d'écho ailleurs.
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Les alliés occidentaux n’ont jamais libéré de camps de la mort équipés de chambres à gaz.
Aucun des alliés occidentaux (Grande-Bretagne, Canada, États-Unis, Australie, France, etc.) n'a libéré de camps équipés de chambres à gaz ou d'autres systèmes de meurtre de masse. Tous les prétendus camps de la mort équipés de chambres à gaz ont été libérés par les Russes. Par conséquent, toute preuve présumée de l'existence de camps de la mort et/ou de chambres à gaz provenait uniquement de la Russie soviétique. Les alliés occidentaux ont libéré un total de 12 camps principaux et les Russes soviétiques 8 camps principaux.
Camps d'extermination - Les restes de la propagande soviétique
Germar Rudolf :
« Derrière le "rideau de fer", l'Union soviétique était libre de faire toutes les déclarations scandaleuses qu'elle voulait sur les camps de concentration allemands de la Seconde Guerre mondiale, et elle l'a fait.
Peu importe ce que les larbins de Joseph Staline prétendaient, aucun des prétendus "camps d'extermination" n'avait de chambres à gaz homicides.
Il est temps de jeter la propagande soviétique sur les "chambres à gaz meurtrières" dans la poubelle de l'histoire. »
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Poésie communiste : "Tuez les Allemands ! Tuez !"
Ilya Ehrenburg - l'un des auteurs, journalistes et personnalités culturelles les plus prolifiques de l'Union soviétique. Né à Kiev, dans l'Empire russe, au sein d'une famille juive privilégiée.
Il a été l'un des plus ardents défenseurs du communisme, étant impliqué dans le développement de la révolution bolchevique dès 1905.
Mais Ehrenburg était peut-être plus connu pour sa propagande haineuse violemment antiallemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Il y exhortait les troupes soviétiques à tuer tous les Allemands qu'elles rencontraient sans pitié.
C’est lui qui déclare le 4 janvier 1945 que “six millions“ est le nombre de Juifs morts pendant la Seconde Guerre mondiale.
Dans un article publié en 1942 intitulé "Tuez", Ehrenburg a incité le simple soldat russe à traiter les Allemands comme des sous-hommes. Le dernier paragraphe se termine :
« Les Allemands ne sont pas des êtres humains. Désormais, le mot "Allemand" est la plus horrible des malédictions. Désormais, le mot "Allemand" nous frappe au vif. Nous n'avons rien à discuter. Nous ne nous exciterons pas. Nous allons tuer. Si vous n'avez pas tué au moins un Allemand par jour, vous avez gaspillé cette journée... Si vous ne pouvez pas tuer un Allemand avec une balle, alors tuez-le avec votre baïonnette. Si votre partie du front est calme et qu'il n'y a pas de combat, alors tuez un Allemand entre-temps ... Si vous avez déjà tué un Allemand, alors tuez-en un autre - il n'y a rien de plus amusant pour nous qu'un tas de cadavres allemands. Ne comptez pas les jours, ne comptez pas les kilomètres. Ne comptez qu'une chose : le nombre d'Allemands que vous avez tués. Tuez les Allemands ! ... - Tuez les Allemands ! Tuez les Allemands ! »
Après la guerre, ce maître du mensonge psychopathe s'est joint à son compatriote et propagandiste Vassili (Iosif Solomonovitch) Grossman pour produire un "Livre noir" fictif et jeter les bases de ce qui est connu sous le nom d’"Holocauste". Le reste est de l'histoire.
Ehrenburg n'a jamais oublié ses racines juives et, avant sa mort, il a organisé le transfert de ses archives privées au centre de culte tribal de Yad Vashem à Jérusalem.
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Références : Communism Blog - Communist Poetry: "Kill the Germans! Kill them!" : https://communismblog.wordpress.com/2015/03/11/communist-poetry-kill-the-germans-kill/
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