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Initiative contre la germanophobie - Les Allemands n’ont pas tué les Juifs (Deuxième partie)

Dernière mise à jour : 24 avr. 2021




10) Le gouvernement britannique n'y croyait pas


Les dirigeants britanniques ne croyaient ni aux “chambres à gaz“ ni à l’extrermination systématique des Juifs.


L'usine britannique de contes – Les origines de l’histoire des chambres à gaz


Passés maître dans l'art de la propagande de guerre les Britanniques savaient qu'en 1918 déjà on avait accusé les Allemands de suffoquer des prisonniers dans des chambres à vapeur. 25 ans plus tard ils n'étaient pas dupes des histoires concernant des chambres à gaz fantastiques.


Un nationaliste britannique, qui a signé sous le pseudonyme d’“Andie Ritchie“, a publié un essai sur les origines de l'histoire des chambres à gaz en hommage au professeur Robert Faurisson à l'occasion de son 88e anniversaire, le 25 janvier 2017. Ci-après, de larges extraits :


« Depuis plus de trente ans, les historiens ont connaissance de mémorandums autrefois secrets du responsable des services de renseignement britanniques Victor Cavendish-Bentinck (image ci-contre) dans lesquels il met en doute l'utilisation présumée de chambres à gaz homicides par l'Allemagne national-socialiste. Écrivant à ses collègues de Whitehall à la fin du mois d'août 1943, Cavendish-Bentinck utilisait un langage dédaigneux qui, aujourd'hui, dans la plupart des pays européens, le verrait sans doute poursuivi pour "négationnisme".


Vingt ans après le procès Irving-Lipstadt, il est maintenant possible d'accéder à un plus large éventail de documents britanniques, y compris des documents de renseignement. Dans cet essai, je vais tenter de clarifier ce que ces documents nous apprennent sur le rôle de la propagande et des renseignements britanniques par rapport aux premières allégations de gazage meurtrier par l'Allemagne national-socialiste. Les conclusions peuvent être brièvement résumées :


· Le Political Warfare Executive britannique (P.W.E) et son prédécesseur ont d'abord déployé des histoires de gazage meurtrier dans le cadre des efforts de propagande dans deux domaines sans rapport avec le traitement des Juifs. Leur objectif était de semer la dissension et la démoralisation parmi les soldats et les civils allemands, et parmi les alliés de l'Allemagne.


· En partie parce qu'ils étaient au courant de ces premières initiatives de propagande, le Britannique Victor Cavendish-Bentinck, un haut responsable de l’Intelligence Service, prêt à croire à peu près n’importe quoi sur le compte des Allemands, et son collègue du Foreign Office Roger Allen ne crurent pas aux histoires ultérieures selon lesquelles des chambres à gaz homicides avaient été utilisées pour assassiner des Polonais et des Juifs. Ils réussirent à faire retirer ces allégations du projet de déclaration commune anglo-américaine sur les crimes allemands en Pologne, publié le 30 août 1943.


Partie I : Les premiers révisionnistes ? - Dès 1943, certains hauts responsables de la propagande de guerre britannique déploraient " cette histoire de chambres à gaz".


Fin août 1943, l'ambassade de Pologne à Londres informe le gouvernement britannique de la déportation et de l'anéantissement de centaines de milliers de Juifs des provinces de Lublin et de Bialystok.


Cavendish-Bentinck, “Chairman of the British Intelligence Committee“ ne perd pas de temps pour transmettre son analyse, plus tard dans la journée du 27 août, à la direction de Foreign Office, en y ajoutant sa note de scepticisme :


« Selon moi, il est incorrect de qualifier de "fiables" les informations polonaises concernant les atrocités allemandes. Les Polonais, et dans une bien plus large mesure les Juifs, ont tendance à exagérer les atrocités allemandes afin de nous échauffer ("in order to stroke us up"). Ils semblent avoir réussi. M. Allen et moi-même avons suivi les atrocités allemandes de très près. Je ne crois pas qu'il existe de preuve qui puisse être acceptée par un tribunal que des enfants polonais ont été tués sur place par des Allemands lorsque leurs parents ont été déportés pour travailler en Allemagne, ni que des enfants polonais ont été vendus à des colons allemands. En ce qui concerne la mise à mort de Polonais dans des chambres à gaz, je ne pense pas qu'il y ait de preuve que cela ait été fait. Il y a eu beaucoup d'histoires à ce sujet, et nous les avons fait passer dans les rumeurs du P.W.E. sans croire qu'elles étaient fondées. En tout cas, il y a beaucoup moins de preuves qu'il n'y en a pour le meurtre en masse des officiers polonais par les Russes à Katyn. D'un autre côté, nous savons que les Allemands cherchent à détruire les Juifs de tout âge, à moins qu'ils ne soient aptes pour le travail manuel. Je pense que nous affaiblissons nos arguments contre les Allemands en donnant publiquement foi à des histoires d'atrocités pour lesquelles nous n'avons aucune preuve. Ces exécutions de masse dans des chambres à gaz me rappellent les histoires d'utilisation de cadavres humains pendant la dernière guerre pour la fabrication de graisse, qui était un mensonge grotesque et a conduit à écarter les histoires vraies d'atrocités allemandes comme étant de la simple propagande. Je suis très triste de voir que nous devons singer les Russes et parler d'"hitlérite" au lieu d'"Allemands". »


Cavendish-Bentinck ajoute une note manuscrite à William Strang, qui, en tant que sous-secrétaire adjoint, occupait la troisième place dans la hiérarchie du Foreign Office :

« J'ose dire que ma minute est trop tardive pour être utile, mais je suis certain que nous commettons une erreur en donnant publiquement foi à cette histoire de chambres à gaz. »

En fait, il n'était pas trop tard : Cavendish-Bentinck et Allen deviennent en effet devenus les révisionnistes de l'Holocauste à succès. La réponse du Département central du Foreign Office est la suivante :


« Il semble trop tard pour faire des changements substantiels. Mais nous pourrions télégraphier à Washington et à Moscou.»


A 21h05 ce soir-là, un télégramme "le plus urgent" est envoyé (portant la mention "d'un secret particulier et doit être conservé par le destinataire autorisé et non transmis") :


« Après réflexion, nous ne sommes pas convaincus que les preuves concernant l'utilisation des chambres à gaz soient suffisamment substantielles pour justifier leur inclusion dans une déclaration publique ... et nous préférerions, si le gouvernement des États-Unis est d'accord, que la phrase en question se termine par "camps de concentration" : "Veuillez télégraphier d'urgence les vues du gouvernement des États-Unis ».


Des télégrammes similaires sont envoyés aux Premiers ministres des Dominions (Canada, Australie, Nouvelle-Zélande et Afrique du Sud) pour rétracter la référence antérieure aux "chambres à gaz".


Les Américains acceptent les changements. Le secrétaire d'État Cordell Hull en informe dûment son ambassadeur à Moscou :


« À la suggestion du gouvernement britannique qui déclare qu'il n'y a pas suffisamment de preuves pour justifier la déclaration concernant l'exécution dans des chambres à gaz, il a été convenu de supprimer la dernière phrase ».


Les mots "où ils sont maintenant systématiquement mis à mort dans des chambres à gaz" sont supprimés de la déclaration avant qu'elle ne soit publiée simultanément à Londres et à Washington.



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Partie II : Chuchotements de gaz - Les Britanniques lancent des rumeurs de gaz dès 1940.


Andie Ritchie poursuit :


« L’Intelligence Service britannique et son prédécesseur ont d'abord déployé des histoires de gazage meurtrier dans le cadre d'efforts de propagande dans deux domaines sans lien avec le traitement des Juifs. Leur objectif était de semer la dissension et la démoralisation parmi les soldats et les civils allemands, ainsi que parmi les alliés de l'Allemagne.

Le dossier documentaire montrant la promotion par les propagandistes britanniques des histoires de gazage meurtrier s'étend de décembre 1940 (sous SOE) à mars 1942 (sous PWE). Au cours de cette période, les histoires de gazage ne concernaient ni les Juifs ni les Polonais. Le responsable des services de renseignement britanniques Victor Cavendish-Bentinck, écartant les affirmations ultérieures sur les gazages, soupçonnait que les lobbies juifs et polonais avaient repris les rumeurs que les services de renseignement britanniques avaient diffusées et y avaient mis leur propre version, dans un cas de ce que l'on appellera plus tard le "blowback", défini comme suit par l'historien du renseignement Mark Lowenthal :

« La principale controverse soulevée par les activités de propagande est celle du blowback. La CIA ne peut entreprendre aucune activité de renseignement aux États-Unis. Cependant, une histoire pourrait être plantée dans un média à l'étranger qui sera également rapporté aux États-Unis. C'est le blowback. »


A partir d'août 1941, le Comité UP était présidé par David Bowes-Lyon, frère cadet de la Reine de l'époque (et oncle de l'actuelle Reine Elizabeth II) - il était également un cousin de Victor Cavendish-Bentinck. Il a ensuite résumé l'objectif des “sibs“ - (du latin sibilare : chuchoter, souffler) - dans un document "Très secret" destiné aux hauts fonctionnaires :

« L'objet des rumeurs de propagande est... d'induire l'alarme, le découragement et la confusion chez l’ennemi, et l'espoir et confidence chez les amis, aux oreilles desquels il vient. Si une rumeur semble susceptible de réjouir à l’occasion nos ennemis, elle est calculée pour porter en elle le germe d'une ultime et grave déception pour eux.


Les rumeurs varient énormément quant à leur degré de crédibilité, l'ampleur de leur diffusion et le type de public auquel elles s'adressent ; mais elles ont en commun ces facteurs, à savoir qu'elles sont destinées à être répétées verbalement par toutes sortes de canaux, et qu'elles sont censées induire un certain état d'esprit dans le grand public, sans nécessairement tromper les personnes bien informées. »


Le comité de Propagande souterraine (“Underground Propaganda“), qui comprenait des représentants du PWE, du SOE, du MI6 et du ministère de la guerre économique, était chargé, dans le cas de “sibs“, de décider des rumeurs appropriées, qui seraient ensuite diffisées par le Foreign Office ou le Joint Intelligence Committee à l’étranger . Un message de David Bowes-Lyon à David Stephens (secrétaire du PWE), daté du 1er février 1942, permet de mieux comprendre :


« La diffusion de ces rumeurs approuvées est la fonction du SOE (Special Operation Executive). A cette fin, des organisations de chuchotage ont été créées dans des pays neutres et en France inoccupée. Des lignes ont également été établies par lesquelles les rumeurs peuvent être transmises aux collaborateurs du SOE en Allemagne, et des directives sur la propagande orale à une organisation du nord de l'Italie.


Il convient de souligner que la méthode de diffusion est essentiellement orale, et qu'il s'agit de la forme de propagande la plus difficile à laquelle les services de sécurité ennemis doivent faire face.


En Europe, les rumeurs ne sont pas délibérément placées dans la presse et la radio, bien qu'elles soient parfois apparues dans les journaux ou les émissions, ayant été reprises par des correspondants ou des commentateurs.


Aux États-Unis, cependant, une agence de presse contrôlée par le SOE a été utilisée pour les placer dans la presse du continent américain ; mais là encore, les journaux n'avaient pas du tout conscience que le matériel était inspiré d'une quelconque manière.


Les rumeurs sont donc la forme de propagande la plus secrète de toutes. Bien que l'ennemi puisse soupçonner qu'une certaine rumeur a été lancée par le gouvernement britannique, il ne peut jamais la prouver. Même s'ils réussissent à capturer un agent chargé de répandre des rumeurs, il n'y aura aucune preuve écrite contre lui, et s'ils lui extorquent des aveux, rien n'est plus facile que le gouvernement britannique de nier toute l'histoire.


En fait, bien que plus de 2 000 rumeurs aient été diffusées l'année dernière, nous n'avons aucune preuve que l'ennemi ait jamais remonté jusqu'à une organisation de chuchotage britannique. Celles qui ont été démenties ou mentionnées d'une autre manière ont, à notre connaissance, été attribuées à d'autres sources. »


Des exemples de rumeurs :


Les Allemands euthanasient leurs soldats blessés dans les hôpitaux français


« Parmi les autres sibs d'euthanasie (les premières sont diffusées en novembre 1940), il y avait une "rumeur selon laquelle les médecins des hôpitaux militaires en France ont reçu pour instruction de rendre la mort facile pour les soldats et les aviateurs incurables". Ce “sib“ a été renforcé par la suggestion (destinée à promouvoir le ressentiment interarmées) selon laquelle, dans le cas de l'infanterie, la perte d'un membre équivaudrait à une incapacité entraînant l'euthanasie alors que cela "ne devait pas être considéré comme une incapacité dans le cas de l'armée de l'air ou des troupes SS". »

Les Allemands gazent les civils blessés


« Les lettres interceptées de civils suisses en août 1941, et dont le contenu était parvenu aux oreilles de l’attaché militaire à Berne, le colonel H.A. Cartwright (qui était en fait un officier du MI6), ont montré qu'ils transmettaient innocemment des versions de l'histoire des chambres à gaz. Au sujet de l’une d’elles il est rapporté :


« Quelqu'un de Berne qui était en Allemagne a dit que les nouvelles bombes d'Angleterre étaient horribles, qu’elles brisaient la moitié d'une rue en morceaux, et que quelque part dans un abri les gens étaient tous au plafond écrasés comme des mouches. C'était terrible, et tant de gens étaient malades des nerfs car il n’y avait pas de place pour eux dans les hôpitaux, et avec certains qui n'allaient pas mieux, ils ouvrent juste le gaz et les tuent, comme les grands blessés aussi... »


Bien que la plupart des “sibs“ provenaient du PWE, le succès de cette rumeur sur les chambres à gaz a conduit à une suggestion du War Office transmise au Joint Intelligence Committee de Cavendish-Bentinck en novembre 1941. Ils l'avaient entendue de leur attaché militaire à Berne, le colonel H.A. Cartwright (qui était en fait un officier du MI6) comme "une histoire qui, avec quelques variations, a circulé librement à Berne, et est venue de divers informateurs tout à fait indépendants, toujours de sources apparemment fiables".


Les soldats allemands blessés sont gazés dans un tunnel


Dans cette version de la rumeur :


« Les gardes et les surveillants des trains contenant des soldats allemands blessés du front de l'Est ont l'ordre, à certains endroits, de mettre leurs masques à gaz. Les trains entrent ensuite dans un tunnel où ils restent pendant plus d'une demi-heure. À la sortie du tunnel, tous les soldats blessés sont morts. Les soldats gravement blessés sont traités de la même manière dans les hôpitaux dits d'urgence, qui sont nombreux. »


Cartwright avait ajouté :


« Le garde qui a fourni cette information aurait été en service dans l'un des trains dans lesquels des soldats blessés ont été "gazés". Il a juré de garder le secret sous peine de mort, mais a déclaré qu'il ne pouvait plus cacher son secret au monde extérieur en raison de sa conscience, et qu'il voulait que le public allemand apprenne le sort de ses soldats blessés. »


Les Allemands créent des véhicules de crémation


En 1941, le SOE « répandit une rumeur selon laquelle les Allemands avaient commandé 500 unités mobiles de crémation aux usines Ford de Cologne et d'Anvers pour qu'elles soient prêtes au printemps ». Ce “sib“ est revenue sous la forme d'une histoire circulant en France selon laquelle « l'armée allemande fait installer des fours crématoires dans des camions et incinère tous ses propres morts » (…) « Cela permet aux Allemands de fixer une figure pour leurs pertes à n'importe quel prix, et de ne laisser aucune preuve pour les contester ». Plus tard, une lettre suisse interceptée a montré une variante de cette rumeur, selon laquelle les Allemands « brûlent leurs morts dans des fours crématoires itinérants et gardent leurs pertes soigneusement cachées jusqu'à la fin de la campagne. De cette façon, les membres de la famille attendent et espèrent que tout ira bien ».


Les travailleurs étrangers sont envoyés à la chambre à gaz


Plus tard dans le mois de novembre 1941, une note de la guerre Office le directeur adjoint des opérations, le colonel John Sinclair (qui est devenu chef du MI6 de 1953 à 1956), adressée à David Bowes-Lyon, a approuvé le nouveau développement de l'histoire des chambres à gaz par le Comité de propagande clandestine :


« Les Allemands ont besoin de tous les hôpitaux qu'ils ont pour leurs propres blessés, donc les travailleurs étrangers qui tombent gravement malades sont simplement envoyés à la chambre à gaz. »


Plus tard, on a donné une autre tournure à cette phrase :


« Les travailleurs étrangers ne doivent pas aller en Allemagne parce qu'ils sont transférés en Pologne occupée ou dans des districts bombardés, gazés si malades, stérilisés, trompés sur leur salaire, ou susceptibles d'être traités comme des otages. »


Toujours en novembre 1941, le Comité de propagande clandestine approuve un “sib“ qui associe astucieusement l'euthanasie par gazage au typhus et au défaitisme :


« Ces histoires de gazage des blessés sur le front de l'Est sont dues à un malentendu. Les camions et les trains à gaz ne sont utilisés que pour les cas de peste et sont vraiment miséricordieux car les pauvres n'auraient de toute façon aucune chance. »


Les Corned Beef de Russes faits à Kiev


Au même moment un sib fantastiquement macabre fait allusion à un meurtre de masse et au cannibalisme industrialisé :


« Les Allemands rassemblent des prisonniers russes en bonne santé et les transfèrent par lots de mille à la fois dans un camp de prisonniers près de Kiev. C'est peut-être une coïncidence que des boîtes de conserve de "bœuf russe" soient déjà exportées d'une usine près de Kiev vers les régions les plus touchées de la Ruhr. »


Le front de l’Est est ravagé par le typhus


Alors que la situation sur le front de l'Est s'aggravait, le Comité exécutif du SOE a noté :

« Nous sommes maintenant arrivés à une situation où il est pratiquement impossible de faire la distinction entre les "retours" sur certaines de nos campagnes de rumeurs et les véritables rapports de l'ennemi et du territoire occupé. Nous avons, par exemple, depuis quatre mois, mené une campagne soutenue sur le sujet du typhus de Fleck sur le front de l'Est. Cela n'a suscité aucune réaction notable, mais le nombre de rapports n'a cessé d'augmenter, jusqu'à ce que la prévalence de cette maladie soit désormais un fait accepté. Il semble probable que les rapports fassent maintenant référence à de véritables foyers, mais la campagne de rumeurs peut s'attribuer le mérite d'avoir mis dans l'esprit du peuple allemand une idée exagérée de sa gravité. »


Il est peut-être significatif que les dirigeants de SOE enregistrent ici le fait que - dans le cas du typhus - les rumeurs de propagande sont devenues réalité. S'ils avaient été au courant de l'utilisation réelle de chambres à gaz homicides, Cavendish-Bentinck aurait pu faire une remarque similaire en août 1943 : mais il ne l'a pas fait.


En fait, lorsque le Daily Mirror, le 23 mars 1942, fait état d’euthanasie par gazage comme rapporté par son correspondant à Lisbonne, il est souligné par le SOE comme un "retour" d'un de leurs “sibs“, plutôt qu'une histoire potentiellement vraie. L’article du Mirror se lisait comme suit :


« Par la veuve d'un des hommes concernés, j'apprends que 300 Allemands blessés à l'hôpital de Dresde ont été tranquillement évacués avec du gaz car il est peu probable qu'ils soient encore utiles à la Reichswehr. Tous avaient perdu des membres ou des bras sur le front de l'Est, ou avaient des blessures corporelles épouvantables. »


Conclusion :


Andie Ritchie :

« J'ai répertorié ces toutes premières références à des gazages meurtriers parce qu'elles indiquent que Victor Cavendish-Bentinck pensait avoir de bonnes raisons, en août 1943, de ne pas croire les histoires de meurtres en masse de Polonais et de Juifs dans des chambres à gaz. Il est bien sûr illégal dans de nombreux pays européens d'exprimer un tel point de vue aujourd'hui.


Contrairement à la marée montante du révisionnisme historique, les historiens orthodoxes ou "exterminationnistes" suggèrent aujourd'hui que le gazage meurtrier des Juifs a commencé en février et mars 1942, et soutiennent que les premiers gazages meurtriers de prisonniers soviétiques et polonais à Auschwitz ont eu lieu en août-septembre 1941. Pourtant, les SOE lançaient une rumeur ou "sib" sur le gazage des "incurables" (c'est-à-dire l'euthanasie par chambre à gaz) en décembre 1940, et une extension de cette rumeur au gazage des soldats gravement blessés était déjà en cours à l'été 1941 - c'est-à-dire avant les tout premiers prétendus gazages de prisonniers à Auschwitz.


Les révisionnistes admettent qu'un programme d'euthanasie a été lancé en Allemagne au début de la guerre (avec des injections létales), mais il a été abandonné en août 1941 sur ordre d'Adolf Hitler en raison de l'ampleur de l'opposition religieuse, notamment de la part de l'évêque catholique von Galen de Münster. L'utilisation présumée de chambres à gaz dans ce programme d'euthanasie a été considérée par les révisionnistes comme une tentative de renforcer les mythes de l'Holocauste. L'invention par les propagandistes britanniques d'un aspect "chambre mortelle" de l'euthanasie pourrait, dans ce contexte, être considérée comme la base d'accrétions ultérieures de mythes.


Avec autant de lacunes dans le dossier documentaire, nous ne saurons peut-être jamais exactement comment ces histoires ont été construites. Ce que nous pouvons dire, c'est que les archives existantes des SOE et PWE sapent fatalement l'un des arguments du professeur Richard Evans contre David Irving. Comme indiqué ci-dessus, Evans a écrit :

« Il n'y avait aucune preuve ici ou ailleurs, en effet, que l'exécutif britannique de la guerre politique avait inventé l'histoire des chambres à gaz. »


En fait, le PWE/SOE a certainement inventé des histoires sur les gazages meurtriers - les inventions ont circulé bien avant que de tels gazages ne soient supposés avoir eu lieu. »


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La collusion de la Grande-Bretagne dans la création de propagande d’atrocités allemandes


La lettre du 29 février 1944 du ministère britannique de l'Information [c'est-à-dire de la Propagande] à la BBC et aux membres supérieurs du clergé britannique, soulignée en rouge ci-dessus, reproduite dans le livre de 1958 intitulé “Allied Wartime Diplomacy : A Pattern in Poland“ d'Edward J. Rozek, pages 209-210.


Le ministère britannique de l’information déclare en 1944 qu’une propagande d’atrocités allemandes doit être créée pour détourner l’attention des ravages de l’URSS en Europe centrale.

Le 29 février 1944, le ministère britannique de l'Information adresse une lettre des plus cyniques à la British Broadcasting Company (BBC) et à des membres de haut rang du clergé britannique exhortant ces groupes à coopérer avec une campagne de propagande orchestrée destinée à détourner l'attention du public britannique et américain de les actes meurtriers commis par l'armée bolchevique russe qui s'approche en accusant les Allemands de crimes bien plus monstrueux contre l'humanité.


La lettre énonce en termes très clairs ce qui suit :


· Nous connaissons tous les crimes commis par les bolcheviks au cours des 24 dernières années en Russie et en Europe de l'Est.

· Il est inévitable qu'ils fassent de même en Europe centrale.

· Nous dissimulerons leurs crimes en mentant sur les Allemands.

· Le public n'est pas aussi stupide qu'il l'était, nos mensonges seront meilleurs.

· Vous (la BBC et l'Église) devez répandre ces mensonges, de façon convaincante.


Monsieur,

Le ministère me demande de vous envoyer la lettre circulaire suivante:

Il est souvent du devoir des bons citoyens et des pieux chrétiens de fermer les yeux sur les particularités de ceux qui nous sont associés.


Mais le moment vient où de telles particularités, bien qu’elles soient encore niées en public, doivent être prises en compte lorsque nous devons agir.


Nous connaissons les méthodes de gouvernement employées par le dictateur bolchevique en Russie [Staline] même d'après, par exemple, les écrits et les discours du Premier ministre lui-même au cours des vingt dernières années. Nous savons comment l'Armée rouge s'est comportée en Pologne en 1920 et en Finlande, en Estonie, en Lettonie, en Galice et en Bessarabie seulement récemment.


Nous devons donc tenir compte de la manière dont l'Armée rouge se comportera certainement lorsqu'elle envahira l'Europe centrale. À moins que des précautions ne soient prises, les horreurs manifestement inévitables qui en résulteront exerceront une pression excessive sur l'opinion publique de ce pays.


Nous ne pouvons pas réformer les bolcheviks, mais nous pouvons faire de notre mieux pour les sauver - et nous-mêmes - des conséquences de leurs actes. Les révélations du dernier quart de siècle rendront les simples dénégations peu convaincantes. La seule alternative au déni est de détourner l'attention du public de l'ensemble du sujet.


L'expérience a montré que la meilleure distraction est la propagande d'atrocité dirigée contre l'ennemi. Malheureusement, le public n'est plus aussi vulnérable qu'à l'époque des «Usines de cadavres», des «Bébés belges mutilés» et des «Canadiens crucifiés ».


Votre coopération est donc vivement sollicitée pour détourner l'attention du public des agissements de l'Armée rouge en soutenant sans réserve les diverses charges contre les Allemands et les Japonais qui ont été et seront mises en circulation par le ministère.


Votre expression de croyance peut convaincre les autres.


Je suis, monsieur, votre obéissant serviteur,

(signé) H. HEWET, SECRÉTAIRE ADJOINT


Le ministère ne peut entrer dans aucune correspondance de quelque nature que ce soit concernant cette communication qui ne devrait être divulguée qu'aux personnes responsables.


Dans l'avant-dernier paragraphe, notez le mot "malheureusement" ainsi que la mention des trois histoires d'atrocités (voir ci-dessous) qui sont reconnues comme des mensonges de propagande dont le peuple britannique est tombé amoureux pendant la Première Guerre mondiale.


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Propagande sur l’Allemagne (Partie III)


L'usine à cadavres : Appelée "la plus épouvantable" et aussi "l'histoire d'atrocité la plus populaire" de la Première Guerre mondiale, qui soutenait que, parce que les graisses étaient si rares en Allemagne en raison du blocus naval britannique, les cadavres des champs de bataille allemands étaient transformés en graisse, qui était ensuite utilisée pour fabriquer de la nitroglycérine, des bougies, des lubrifiants et même du doublage de bottes. Selon l'historien Randal Marlin, « la véritable source de cette histoire se trouve dans les pages des journaux appartenant à Lord Northcliffe ». Adrian Gregory dit qu'il s'agissait d'un "mythe urbain", qui avait été diffusé pendant des mois avant de recevoir un quelconque avis officiel.


Les bébés belges mutilés : Les journaux britanniques ont accusé les soldats allemands d'une série de crimes en Belgique, notamment : arracher les yeux de civils, couper les mains d'adolescents, violer et mutiler sexuellement des femmes, donner des grenades à main à des enfants pour qu'ils jouent avec, et faire subir des coups de baïonnette à des bébés. (Le dernier mensonge a été ressuscité pendant la Seconde Guerre mondiale par des Juifs qui prétendaient que les "Nazis" ou les SS avaient régulièrement passé des bébés juifs à la baïonnette, et certains, comme Elie Wiesel, l’ont souvent répété).


Les Canadiens crucifiés : L'histoire de propagande sur les atrocités commises contre un soldat allié servant dans le Corps d'armée canadien sur le front occidental, qui a peut-être été crucifié à la baïonnette sur une porte de grange ou à un arbre. Les récits des témoins oculaires sont contradictoires, aucun corps crucifié n'a été retrouvé et aucune connaissance n'a été découverte quant à son identité. Mais cela a pu donner des idées à certaines personnes car l'historien Keith Lowe écrit qu'en 1945 à Gross Heydekrug, en Prusse, « une femme allemande a été crucifiée sur la croix de l'autel de l'église locale, avec deux soldats allemands pareillement pendus de chaque côté ». En 1939, il y avait déjà des photographies d'Allemands ethniques en Pologne, y compris d'enfants, qui avaient été cloués sur les côtés des granges en position de crucifixion. Cela a été fait aux Allemands, mais pas par les Allemands.

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Une reprise du mythe des “usines à cadavres“


« Les mensonges de l’“Holocauste“ sont calqués sur ceux de la Première Guerre mondiale. Toutes ces « usines de mort » nazies, comme celle d’Auschwitz, ne sont qu’une reprise du mythe des “usines à cadavres“ allemandes de 1914-1918. On les a simplement modernisées en leur ajoutant parfois le gaz (version juive américaine de novembre 1944) et parfois l’électricité (version juive soviétique de février 1945). On a fait croire au bon peuple, déjà généralement prévenu contre l’emploi de la crémation des cadavres, que les Allemands, nation réputée moderne et connue pour l’abondance de ses ingénieurs et de ses chimistes, avaient construit des bâtiments possédant, outre une salle de crémation, des pièces appelées “chambres à gaz“ (en réalité, des “dépositoires“, Leichenhalle ou Leichenkeller, techniquement conçus pour y entreposer des cadavres en attente de crémation). Ainsi en est-on arrivé à nous persuader que ces diables d’Allemands étaient assez bêtes pour loger sous un même toit, d’un côté, des chambres pleines d’un gaz hautement inflammable et hautement explosif (l’acide cyanhydrique ou cyanure d’hydrogène contenu dans le pesticide Zyklon B inventé dans les années 1920) et, de l’autre, des fours crématoires qu’il fallait laborieusement porter à 900 degrés. »


- Robert Faurisson


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Références :


Andie Ritchie, Inconvenient History, Britain’s Rumor Factory, Origins of the Gas Chamber Story, 2017 : https://www.inconvenienthistory.com/9/2/4269#_ftn41 // Walter Laqueur, Hitler’s Holocaust, Encounter, July 1980, pp. 6-25. // Mark Lowenthal, Intelligence: From Secrets to Policy, 2015.// Janv27.org, Britain’s collusion in creating “death camp”atrocity lies exposed - https://jan27.org/incredible-cynicism-of-winston-churchills-government-exposed/


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Les procès de Nuremberg de 1945 à 1949 et les "confessions" sous la torture




Germar Rudolf :


« Les procès de Nuremberg se sont tenus dans la ville allemande de Nuremberg de 1945 à 1949. Ces procès ont été tenus par les alliés victorieux (France, Grande-Bretagne, États-Unis et Russie soviétique) avec les Allemands comme défendeurs. Il s'agissait de la pire sorte de procès à grand spectacle, le juge principal étant Nikitchenko, qui avait présidé les procès à grand spectacle de Staline de 1936 à 1938 en Union soviétique.


La Cour a fait des constatations ridicules comme la transformation des Juifs en abat-jour et même en savon, ces affirmations sont maintenant discréditées et le musée de l'Holocauste en Israël admet qu'elles étaient fausses.


Le président de la Cour suprême des États-Unis, Harlan Fiske Stone, a qualifié les procès de Nuremberg de fraude. Il a déclaré que « le procureur général américain Jackson est parti mener sa partie de lynchage de haut niveau à Nuremberg ». Il a ajouté : « Je ne me soucie pas de ce qu'il fait aux nazis, mais je déteste voir la prétention qu'il dirige un tribunal et qu'il procède selon le droit commun. »

Le président John F Kennedy, dans son livre Profiles in Courage, a critiqué Nuremberg comme étant un "procès spectacle".


Les alliés ont utilisé des tortures extrêmement brutales contre leurs prisonniers allemands, non seulement pendant la guerre, mais aussi après, pour les forcer à fournir des aveux frauduleux pour des crimes qu'ils n'ont jamais commis - tout cela pour obtenir des condamnations lors de procès pour crimes de guerre. Le sujet est bien connu des révisionnistes, mais les faits ont été étouffés par le courant dominant pendant plus de 70 ans.


Le sénateur américain Joseph McCarthy, dans une déclaration faite à la presse américaine le 20 mai 1949, a attiré l'attention sur les cas de torture pour obtenir des aveux.

En traitant ces affaires, le sénateur McCarthy a déclaré à la presse :


« J'ai entendu des témoignages et lu des preuves documentaires selon lesquels les accusés ont été battus, maltraités et torturés physiquement par des méthodes qui ne pouvaient être conçues que dans des cerveaux malades. Ils ont été soumis à des procès simulés et à des prétendues exécutions, on leur a dit que leurs familles seraient privées de leurs cartes de rationnement. Toutes ces choses ont été faites avec l'approbation du procureur afin d'assurer l'atmosphère psychologique nécessaire à l'extorsion des aveux requis. Si les États-Unis laissent de tels actes commis par quelques personnes rester impunis, alors le monde entier peut à juste titre nous critiquer sévèrement et douter à jamais de la justesse de nos motivations et de notre intégrité morale. »


Les méthodes d'intimidation décrites ont été répétées lors des procès de Francfort-sur-le-Main et de Dachau, et un grand nombre d'Allemands ont été condamnés pour des atrocités sur la base de leurs aveux.


Les méthodes utilisées par les interrogateurs américains comprenaient des passages à tabac brutaux, le fait de placer une cagoule sur le prisonnier et de le frapper au visage avec des poings en laiton, de lui casser la mâchoire, de lui arracher les dents, de lui donner des rations de famine et de le mettre à l'isolement. Les prisonniers se voyaient ensuite présenter des déclarations préparées à signer, "avouant" divers crimes. »





Les procureurs de Nuremberg - Kempner, Rapp, Niederman - tous juifs. Dans une lettre adressée à sa femme, le procureur général de Nuremberg, Thomas J. Dodd, a écrit que l'équipe du ministère public était composée à 75 % de Juifs.


Les "aveux" du commandant d’Auschwitz Rudolf Hoess.


Aucune preuve n'étaye davantage le canular de l'Holocauste que les déclarations ou les "aveux" de Rudolf Hoess, l'ancien commandant du camp d'Auschwitz-Birkenau. Les raisons pour lesquelles ces "aveux" étaient non seulement importants mais essentiels pour les procureurs alliés étaient qu'ils n'avaient pas de preuves réelles de leurs monstrueuses affirmations ; ils n'avaient pas d'autopsies, ni de documents, ni même de théorie crédible sur la façon dont des crimes d'une telle ampleur auraient pu être commis. En comparaison, obtenir des aveux était d'une facilité enfantine.


Dans ses mémoires écrites au cours des derniers mois de sa vie, alors qu'il était en captivité en Pologne en attendant son exécution, l'ancien commandant d'Auschwitz Rudolf Hoess a écrit qu'il avait été gravement maltraité par ses ravisseurs britanniques juste après la fin de la guerre.


« J'ai été terriblement traité par la police de sécurité de campagne [britannique]. ... Lors du premier interrogatoire, ils m'ont battu pour obtenir des preuves. Je ne sais pas ce que contient la transcription, ni ce que j'ai dit, même si je l'ai signée, parce qu'ils m'ont donné de l'alcool et m'ont battu avec un fouet. C'était trop dur à supporter, même pour moi. ... Minden sur la Weser River ... là, ils m'ont traité encore plus durement, surtout le premier procureur britannique, qui était major. ... J'étais à toutes fins utiles psychologiquement disséqué. ... Ils m'ont aussi laissé aucun doute sur ce qui allait m'arriver. »



Rudolf Hoess, représenté dans son uniforme de prisonnier de Nuremberg, a été victime de tortures violentes pendant des jours et des nuits entiers par ses ravisseurs de l'armée britannique. Au moment où ses "aveux" ont été présentés au tribunal comme "preuve de l'Holocauste", il a admis qu'il aurait avoué n'importe quoi pour faire cesser ces tortures incessantes. Le livre "Legions of Death", écrit par Rupert Butler et publié par Hamlyn Books, Londres, Royaume-Uni, 1983 ; pages 234 à 238, traite de ce sujet.


Germar Rudolf poursuit :


« Les enquêteurs américains responsables des interrogatoires (et qui plus tard ont fait office de procureur dans les procès) étaient : le lieutenant-colonel Burton F. Ellis (chef du Comité des crimes de guerre) et ses assistants, le capitaine Raphael Shumacker, le lieutenant Robert E. Byrne, le lieutenant William R. Perl, M. Morris Ellowitz, M. Harry Thon et M. Kirschbaum. Le conseiller juridique de la cour était le colonel A. H. Rosenfeld. Le lecteur comprendra immédiatement, à la lecture de leurs noms, que la majorité de ces personnes étaient "partiales pour des raisons raciales", selon les termes du juge Wenersturm - c'est-à-dire qu'elles étaient juives, et n'auraient donc jamais dû être impliquées dans une telle enquête.


Lorsqu'on a demandé au général Taylor, le procureur général, où il avait obtenu le chiffre des "six millions“, il a répondu qu'il était basé sur les aveux du général S.S. Otto Ohlendorf. Lui aussi a été torturé. Mais en ce qui concerne ces "aveux" en général, nous ne pouvons pas faire mieux que de citer le Sunday Pictorial britannique en examinant le rapport du juge van Roden : « Des hommes forts ont été réduits à des épaves brisées prêtes à marmonner tout aveu exigé par leurs procureurs. »


Pratiquement tous les enquêteurs américains qui ont porté des affaires devant les tribunaux militaires américains à Dachau étaient des "réfugiés juifs d'Allemagne" qui "détestaient les Allemands", se rappelle Joseph Halow, un sténographe judiciaire de l'armée américaine lors des procès de Dachau en 1947. « Beaucoup d'enquêteurs ont donné libre cours à leur haine en essayant de forcer les Allemands à faire des aveux en les traitant brutalement », y compris en les « battant sévèrement ».



Benjamin Ferencz (ci-dessus, à gauche), procureur américain principal juif aux tribunaux de Nuremberg pour les crimes de guerre en 1945 et 1947 évoque la manière dont les témoignages étaient triés :


« Nous ne disposions pas d'une salle d'audience ordinaire où nous pouvions appeler des témoins et les interroger, en présence d'une secrétaire et de quelqu'un qui procédait au contre-interrogatoire ou qui garantissait leurs droits. Nous rassemblions les déclarations des témoins que nous considérions comme favorables et ils rédigeaient une déclaration sous serment. Et ils devaient ensuite le faire sous serment devant un officier. Si elle provenait d'un témoin hostile, nous l'interrogions en privé pour voir si nous pouvions déterminer la vérité. Et lorsque nous arrivions au point où nous estimions avoir établi la vérité, nous lui demandions d'écrire de sa propre main et de signer ; puis nous faisions généralement venir un officier pour en témoigner. » - Interview USHMM 1994.


Le lieutenant William Perl (ci-dessus, au centre) était un juif autrichien qui avait émigré en Amérique en 1940. Il était le principal interrogateur des Allemands accusés du massacre de Malmedy. En effet, il parlait couramment l'allemand et, de fait, de nombreux interrogateurs à Nuremberg étaient des Juifs allemands ou autrichiens qui avaient émigré en Amérique avant la Seconde Guerre mondiale et étaient connus sous le nom de "Ritchie Boys". Il y avait environ 9000 de ces Juifs en Amérique et ils étaient spécialisés dans l'"interrogatoire" des prisonniers allemands. Perl était un sioniste actif qui avait travaillé pour faire entrer illégalement des Juifs européens en Palestine avant de venir en Amérique. Perl était également un bon ami et associé du sioniste Ze'ev Jabotinsky, fondateur de la meurtrière organisation terroriste Irgun en Israël. Perl a supervisé la torture des accusés allemands.

Le colonel Robin Stephens (photo ci-dessus, à droite) était responsable d'un programme de torture sadique pendant et après la Seconde Guerre mondiale, encore largement couvert par le gouvernement britannique. Une grande partie des "preuves" fabriquées sous la contrainte a servi de prétexte pour condamner les dirigeants nationaux-socialistes pour crimes de guerre. »


La Cage de Londres a été utilisée en partie comme un centre de torture, à l'intérieur duquel un grand nombre d'officiers et de soldats allemands ont été soumis à des mauvais traitements systématiques. Au total, 3 573 hommes sont passés par la Cage, un réseau de neuf "cages" réparties dans toute la Grande-Bretagne et gérées par la Section d'interrogatoire des prisonniers de guerre (PWIS), qui relevait de la Direction du renseignement militaire, et plus de 1 000 ont été persuadés de faire des déclarations sur des crimes de guerre. De plus, la brutalité ne s'est pas arrêtée avec la guerre : un certain nombre de civils allemands ont rejoint les militaires qui y ont été interrogés jusqu'en 1948. Des inspections de la Croix-Rouge n’ont jamais pu avoir lieu dans ces centres d’interrogatoires, les autorités britanniques, comme le dit Darius Rejali dans son livre Torture et démocratie, refusant celles-ci en arguant que « les prisonniers étaient soit des civils, soit des criminels au sein des forces armées, donc non protégés par la Convention de Genève ».

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11) En fait personne n'y croyait


Robert Faurisson :


« L’on a trop tendance à oublier que toutes sortes d’autorités qui auraient dû mentionner et dénoncer l’emploi par les Allemands de cette arme prodigieuse qu’aurait été la chambre à gaz nazie se sont abstenues de le faire. Tel a été le cas aussi bien de hauts responsables du camp des vainqueurs comme Eisenhower (Croisade en Europe, 500 p, 1948, ), Churchill (Mémoires sur la Deuxième Guerre mondiale, 1948-53, 4736 pages) et De Gaulle (Mémoires de Guerre, 54-59, 1518 pages) que d’instances indépendantes comme le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), lequel avait bel et bien eu libre accès pendant la guerre à Auschwitz, ou comme le Vatican ; un historien comme René Rémond, vu sa spécialité, aurait dû mentionner ces chambres à gaz mais s’était abstenu de le faire. J’allais découvrir tout au long de nos entretiens son profond scepticisme en la matière. »

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Dans un rapport de 1650 pages de la Croix-Rouge, il n'est jamais fait mention des chambres à gaz.


Les visites d’inspection de la Croix-Rouge


La Croix-Rouge a effectué des visites normales et de routine dans les camps de concentration pendant la guerre et ses rapports publiés ne faisaient aucune allusion à un gazage humain en cours.


La Croix-Rouge internationale (CICR) comprenant un certain nombre de fonctionnaires américains, britanniques, français et suisses, a inspecté les camps de concentration allemands tout au long de la guerre. Celle-ci avait un accès illimité chaque mois à tous les camps de concentration allemands, y compris Auschwitz.


Elle disposait d'hommes à l'intérieur qui lui rendaient compte en détail des activités dans les camps. Auschwitz a reçu à plusieurs reprises la visite d'équipes d'inspection de la Croix-Rouge qui étaient autorisées à parler aux représentants des prisonniers seuls, afin d'entendre directement les témoignages sur les mauvais traitements, la chicane, l'interruption de la distribution du courrier et des colis, les problèmes de santé, les questions de nourriture et de rationnement, etc. Ils ont interrogé des milliers de prisonniers et leur ont livré des milliers de colis.


Elle a été chargée d'enquêter sur les rumeurs de massacres et de gazages. Après son enquête, elle a rapporté au gouvernement américain qu'elle n'avait trouvé aucune trace de meurtre de masse, mais a dit dans ses rapports qu'elle avait constaté de terribles pertes en vies humaines dues aux épidémies et au manque de fournitures causés par la guerre.

Le 29 septembre 1944, Maurice Rossel et d'autres délégués du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) ont effectué une visite d'inspection au camp de concentration d'Auschwitz. Dans son rapport sur cette visite, la délégation du CICR a déclaré qu'elle n'avait trouvé aucune confirmation des rumeurs de gazages humains, et que les prisonniers interrogés n'en avaient pas fait mention. (Voir les documents relatifs aux travaux du Comité international de la Croix-Rouge en faveur des détenus civils dans les camps de concentration allemands entre 1939 et 1945 [Genève : CICR, 1975], p. 76-77. éd. française, Genève, juin 1946, p. 92).


Dans une lettre du 22 novembre 1944 adressée aux responsables du Département d'État américain, la Croix-Rouge déclara « Nous n'avons pu découvrir aucune trace d'installations d'extermination de prisonniers civils. Cela corrobore un rapport que nous avions déjà reçu d'autres sources... ». (Ce point sera développé plus bas - Ed.)


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Spécial - Les Juifs et les camps de concentration : une évaluation factuelle par la Croix-Rouge


Richard Verrall, dans “Six Million Really Die ?“ :


« Il existe une étude sur la question juive en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale et les conditions des camps de concentration allemands qui est presque unique par son honnêteté et son objectivité, le rapport en trois volumes du Comité international de la Croix-Rouge sur ses activités pendant la Seconde Guerre mondiale, Genève, 1948.

Ce compte rendu complet, provenant d'une source entièrement neutre, a intégré et développé les conclusions de deux ouvrages précédents : Documents sur l'activité du CICR en faveur des civils détenus dans les camps de concentration en Allemagne, 1939-1945 (Genève, 1946), et Inter Arma Caritas ("la charité au milieu des combats") : the Work of the ICRC during the Second World War (Genève, 1947). L'équipe d'auteurs, dirigée par Frédéric Siordet, a expliqué dans les premières pages du Rapport que leur objet, dans la tradition de la Croix-Rouge, avait été la stricte neutralité politique, et c'est là que réside sa grande valeur.

Le CICR a appliqué avec succès la convention militaire de Genève de 1929 afin d'avoir accès aux internés civils détenus en Europe centrale et occidentale par les autorités allemandes. En revanche, le CICR n'a pu obtenir aucun accès à l'Union soviétique, qui n'avait pas ratifié la convention. Les millions d'internés civils et militaires détenus en URSS, dont on sait que les conditions sont de loin les pires, sont complètement coupés de tout contact ou contrôle international.


Le rapport de la Croix-Rouge est utile en ce sens qu'il clarifie d'abord les circonstances légitimes dans lesquelles les Juifs étaient détenus dans les camps de concentration, c'est-à-dire en tant qu'étrangers ennemis. En décrivant les deux catégories d'internés civils, le rapport distingue le second type comme « Les civils déportés pour des raisons administratives“ (en allemand, "Schutzhäftlinge"), qui ont été arrêtés pour des motifs politiques ou raciaux parce que leur présence était considérée comme un danger pour l'État ou les forces d'occupation » (vol. 111, p. 73). Ces personnes, poursuit-il, « ont été mises sur le même pied que les personnes arrêtées ou emprisonnées en vertu du droit commun pour des raisons de sécurité ». (P.74).


Le Rapport admet que les Allemands ont d'abord été réticents à permettre la surveillance par la Croix-Rouge des personnes détenues pour des raisons de sécurité, mais vers la fin de 1942, le CICR a obtenu d'importantes concessions de la part de l'Allemagne. Ils furent autorisés à distribuer des colis alimentaires aux principaux camps de concentration en Allemagne à partir d'août 1942, et « à partir de février 1943, cette concession fut étendue à tous les autres camps et prisons » (vol. 111, p. 78). Le CICR établit rapidement des contacts avec les commandants des camps et lança un programme de secours alimentaire qui continua à fonctionner jusqu'aux derniers mois de 1945, pour lequel des lettres de remerciement affluèrent de la part des internés juifs.


Les bénéficiaires de la Croix-Rouge étaient principalement des Juifs


Le rapport indique que « jusqu'à 9 000 colis étaient emballés chaque jour. De l'automne 1943 à mai 1945, environ 1 112 000 colis d'un poids total de 4 500 tonnes ont été envoyés dans les camps de concentration » (vol. III, p. 80). En plus de la nourriture, ces colis contenaient des vêtements et des produits pharmaceutiques. « Les colis furent envoyés à Dachau, Buchenwald, Sangerhausen, Sachsenhausen, Oranienburg, Flossenburg, Landsberg-am-Lech, Flöha, Ravensbrück, Hamburg-Neuengamme, Mauthausen, Theresienstadt, Auschwitz, Bergen-Belsen, dans des camps près de Vienne et en Allemagne centrale et méridionale. »


« Les principaux bénéficiaires étaient des Belges, des Néerlandais, des Français, des Grecs, des Italiens, des Norvégiens, des Polonais et des Juifs apatrides » (vol. III, p. 83).

Au cours de la guerre, « le Comité a été en mesure de transférer et de distribuer sous forme de secours plus de vingt millions de francs suisses collectés par les organisations sociales juives du monde entier, en particulier par l'organisation américaine Joint Distribution Committee of New York » (Vol. I, p. 644). Cette dernière organisation a été autorisée par le gouvernement allemand de maintenir des bureaux à Berlin jusqu'à l'entrée en guerre des Américains. Le CICR s'est plaint que l'obstruction de leur vaste secours pour les internés juifs ne venait pas des Allemands mais du blocus serré des Alliés sur l'Europe. La plupart de leurs des achats de denrées alimentaires de secours ont été effectués en Roumanie, en Hongrie et en Slovaquie.


Le CICR a particulièrement apprécié les conditions libérales qui ont prévalu à Theresienstadt jusqu'à leur dernière visite en avril 1945. Ce camp, « où se trouvaient environ 40 000 Juifs déportés de divers pays, était un ghetto relativement privilégié » (vol. III, p. 75). Selon le rapport, « les délégués du Comité ont pu visiter le camp de Theresienstadt (Terezin) qui était exclusivement utilisé pour les Juifs et était régi par des conditions spéciales. D'après les informations recueillies par le Comité, ce camp avait été mis en place à titre expérimental par certains dirigeants du Reich... Ces hommes souhaitaient donner aux Juifs les moyens de mettre en place une vie communautaire dans une ville sous leur propre administration et en ayant une autonomie presque complète. ... deux délégués ont pu visiter le camp le 6 avril 1945. Ils confirment l'impression favorable obtenue lors de la première visite » (vol. I, p. 642).


Le CICR a également fait l'éloge du régime d’Ion Antonescu de Roumanie fasciste, où le Comité a pu prolonger une aide spéciale à 183 000 Juifs roumains jusqu'à l'époque de l'occupation soviétique. L'aide a ensuite cessé, et le CICR se plaignait amèrement de n'avoir jamais réussi « à envoyer quoi que ce soit en Russie » (vol. II, p. 62). La même situation appliquée à de nombreux camps allemands après leur "libération" par les Russes. Le CICR a reçu un flux volumineux de courrier d'Auschwitz jusqu'à la période de l'occupation soviétique, où de nombreux internés ont été évacués vers l'ouest. Mais les efforts de la Croix-Rouge pour envoyer des secours aux internés restant à Auschwitz sous contrôle soviétique ont été vains. Cependant, la nourriture et les colis continuaient à être envoyés aux anciens détenus d'Auschwitz transférés à l'ouest dans des camps tels que Buchenwald et Oranienburg.

Aucune preuve de génocide


L'un des aspects les plus importants du rapport de la Croix-Rouge est qu'il clarifie la véritable cause des décès qui se sont sans doute produits dans les camps vers la fin de la guerre. C'est ce que dit le rapport : « Dans la situation chaotique de l'Allemagne après l'invasion, pendant les derniers mois de la guerre, les camps n'ont reçu aucune nourriture et la famine a fait un nombre croissant de victimes. Alarmé par cette situation, le gouvernement allemand en informe enfin le CICR le 1er février 1945 ... En mars 1945, les discussions entre le président du CICR et le général S.S. Kaltenbrunner donnent des résultats encore plus décisifs. Les secours peuvent désormais être distribués par le CICR, et un délégué est autorisé à séjourner dans chaque camp ... » (Vol. III, p. 83).


Il est clair que les autorités allemandes se sont efforcées de remédier à cette situation désastreuse dans la mesure de leurs possibilités. La Croix-Rouge déclare explicitement que l'approvisionnement en nourriture a cessé à cette époque en raison du bombardement des transports allemands par les Alliés et que, dans l'intérêt des Juifs internés, elle avait protesté le 15 mars 1944 contre « la barbarie de la guerre aérienne des Alliés » (Inter Arma Caritas, p. 78). Le 2 octobre 1944, le CICR avertit le ministère allemand des Affaires étrangères de l'effondrement imminent du système de transport allemand, en déclarant que les conditions de famine pour les personnes dans toute l'Allemagne devenaient inévitables.


En traitant ce rapport complet en trois volumes, il est important de souligner que les délégués de la Croix-Rouge internationale n'ont trouvé aucune preuve, dans les camps de l'Europe occupée par l'Axe, d'une politique délibérée d'extermination des Juifs. Dans l'ensemble de ses 1600 pages, le rapport ne mentionne même pas une telle chose comme une chambre à gaz.


Il admet que les Juifs, comme beaucoup d'autres nationalités en temps de guerre, ont souffert de rigueurs et de privations, mais son silence complet sur le sujet de l'extermination planifiée réfute largement la légende des “Six Millions“.


Comme les représentants du Vatican avec lesquels ils travaillaient, la Croix-Rouge s'est trouvée dans l'incapacité de se livrer aux accusations irresponsables de génocide qui étaient devenues à l'ordre du jour. En ce qui concerne le véritable taux de mortalité, le rapport souligne que la plupart des médecins juifs des camps étaient utilisés pour combattre le typhus sur le front oriental, de sorte qu'ils n'étaient pas disponibles lorsque les épidémies de typhus de 1945 ont éclaté dans les camps (vol. I, p. 204 et suivantes) - Au demeurant, il est fréquemment affirmé que les exécutions de masse ont été effectuées dans des chambres à gaz habilement déguisées en douches. Une fois de plus, le rapport ne tient pas compte de cette allégation. « Les délégués ont inspecté non seulement les lieux de lavage, mais aussi les installations de bains, de douches et de blanchisserie. Ils ont souvent dû intervenir pour que les installations soient rendues moins primitives, et pour les faire réparer ou agrandir » (vol. III, p. 594).


Tous n'ont pas été internés


Le chapitre 3 du volume III du rapport de la Croix-Rouge (I. Population civile juive) traite de "l'aide apportée à la partie juive de la population libre", et ce chapitre montre clairement que tous les Juifs européens n'ont pas été placés dans des camps d'internement, mais sont restés, sous réserve de certaines restrictions, dans la population civile libre. Cela est en contradiction directe avec la "rigueur" du prétendu "programme d'extermination" et avec l'affirmation des mémoires de Höss, qui sont des faux, selon laquelle Eichmann était obsédé par l'idée de s'emparer de "tous les Juifs qu'il pouvait trouver".


En Slovaquie, par exemple, où l'assistant d'Eichmann, Dieter Wisliceny, était responsable, le rapport indique qu’ « une grande partie de la minorité juive avait l'autorisation de rester dans le pays, et à certaines périodes, la Slovaquie était considérée comme un refuge comparatif pour les Juifs, en particulier pour ceux venant de Pologne. Ceux qui sont restés en Slovaquie semblent avoir été relativement en sécurité jusqu'à la fin du mois d'août 1944, lorsqu'un soulèvement contre les forces allemandes a eu lieu. S'il est vrai que la loi du 15 mai 1942 avait entraîné l'internement de plusieurs milliers de Juifs, ces personnes étaient détenues dans des camps les conditions de nourriture et de logement étaient tolérables, et où les internés étaient autorisés à effectuer un travail rémunéré à des conditions presque égales à celles du marché du travail libre » (vol. I, p. 646).


Non seulement un grand nombre des quelque trois millions de Juifs européens évitent l'internement, mais l'émigration des Juifs se poursuit tout au long de la guerre, généralement par la Hongrie, la Roumanie et la Turquie. Ironiquement, l'émigration juive d'après-guerre à partir des territoires occupés par l'Allemagne a également été facilitée par le Reich, comme dans le cas des Juifs polonais qui s'étaient enfuis en France avant son occupation. « Les Juifs de Pologne qui, pendant leur séjour en France, avaient obtenu des permis d'entrée aux États-Unis étaient considérés comme des citoyens américains par les autorités d'occupation allemandes, qui acceptaient en outre de reconnaître la validité d'environ trois mille passeports délivrés aux Juifs par les consulats des pays d'Amérique du Sud » (vol. I, p. 645).


En tant que futurs citoyens américains, ces Juifs étaient détenus au camp de Vittel, dans le sud de la France, pour étrangers américains. L'émigration des Juifs européens de Hongrie, en particulier, s'est déroulée sans entrave pendant la guerre, sans que les autorités allemandes ne s'y opposent. « Jusqu'en mars 1944 », dit le rapport de la Croix-Rouge, « les Juifs qui avaient le privilège d'obtenir des visas pour la Palestine étaient libres de quitter la Hongrie » (Vol. I, p. 648). Même après le remplacement du gouvernement Horthy en 1944 (à la suite de sa tentative d'armistice avec l'Union soviétique) par un gouvernement plus dépendant de l'autorité allemande, l'émigration des Juifs se poursuivit.


Le Comité obtint l'engagement de la Grande-Bretagne et des États-Unis « de soutenir par tous les moyens l'émigration des Juifs de Hongrie », et le CICR reçut du gouvernement américain un message indiquant que « le gouvernement des États-Unis ... réitère expressément son assurance que des dispositions seront prises par lui pour la prise en charge de tous les Juifs qui, dans les circonstances actuelles, sont autorisés à partir » (vol. I, p. 649).


PDF du Rapport (en anglais) du Comité international de la Croix-Rouge sur ses activités pendant la Seconde Guerre mondiale.

Rapport du CICR de 1948, numérisation des pages 641 - 657 du Volume I plus résumé des autres pages des Volumes II et III sur le même sujet.


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Références :

- Le chapitre 9 du livre Did Six Million Really Die ?: https://thesixmillionfactorfiction.blogspot.com/

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« Les révisionnistes ont, d’ores et déjà, gagné la partie »


« Dès 1983-1985, Raul Hilberg, se rendant aux arguments de « Faurisson et d’autres … », a dû abandonner la prétention de nous expliquer, arguments et documents à l’appui, que le IIIe Reich avait, avec une efficacité proprement germanique, conçu, préparé, mis au point, organisé et financé l’assassinat de millions de juifs européens. L’éminent historien juif américain s’en est finalement trouvé réduit à tenter de nous faire croire que cette gigantesque tuerie s’était produite par l’opération du Saint Esprit ou, pour reprendre ses propres termes, « par une incroyable rencontre des esprits, par une transmission de pensée consensuelle au sein d’une vaste bureaucratie » qui avait, d’elle-même, spontanément décidé, paraît-il, de renoncer progressivement à l’écrit au profit de l’oral voire de la télépathie si bien qu’aucune preuve écrite ou matérielle ne peut attester de ce que six millions de juifs (ou, dans son cas, un peu moins) ont été systématiquement tués soit sur le Front de l’Est, soit dans des chambres à gaz, principalement à Auschwitz. »

-Robert Faurisson


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En septembre 1944, une équipe de la Croix-Rouge est envoyée contrôler la rumeur de chambres à gaz à Auschwitz mais ne peut trouver d'installations d'extermination.


Une visite d'inspection au camp de concentration d'Auschwitz a été effectuée le 29 septembre 1944 par le médecin suisse Maurice Rossel et d'autres délégués du Comité international de la Croix-Rouge. Dans son rapport sur cette visite, la délégation du CICR a déclaré n'avoir trouvé aucune confirmation des rumeurs de gazages humains, et que les prisonniers interrogés n'en ont pas parlé. (Voir Documents relatifs aux travaux du Comité international de la Croix-Rouge au profit des détenus civils dans les camps de concentration allemands entre 1939 et 1945 [Genève: CICR, 1975], p. 76–77. Éd. En français, Genève, Juin 1946, p. 92.)


Dans une lettre du 22 novembre 1944 adressée aux responsables du département d'État américain, la Croix-Rouge indique :




« En réponse à votre lettre du 17 novembre, dans laquelle vous nous demandiez si un délégué du Comité international de la Croix-Rouge avait réussi à visiter le camp d'Auschwitz, nous sommes en mesure de vous fournir les informations suivantes : C'est un fait que l'un de nos délégués a pu entrer dans ce camp. Il a pris contact avec le commandant afin d'organiser un éventuel envoi de secours pour les prisonniers civils qui s'y trouvaient. Selon son impression, le camp était une sorte de "camp de concentration étendu" où les détenus étaient obligés d'effectuer divers types de travaux, y compris des travaux à l'extérieur du camp. Notre délégué nous a dit qu'il n'avait pu découvrir aucune trace d'installations d'extermination de prisonniers civils. Ce fait corrobore un rapport que nous avions déjà reçu d'autres sources, à savoir que depuis plusieurs mois, il n'y avait plus eu [sic] d'extermination à Auschwitz. En tout cas, il ne s'agit pas d'un camp contenant exclusivement des juifs. Nous vous fournissons ces informations personnellement et confidentiellement, car nous ne souhaitons évidemment pas publier le fait que cette visite a eu lieu. Si elle était connue du public, cela pourrait donner l'impression que le Comité international dispose de moyens pour intervenir en faveur des détenus de ce camp. De plus, les Autorités Détentrices pourraient être tentées d'affirmer que cette visite d'un délégué du Comité international est une preuve suffisante que les détenus du camp sont bien traités. Les moyens dont nous disposons sont loin d'être suffisants pour assurer cette amélioration du traitement des prisonniers civils à Auschwitz ou dans d'autres camps de concentration. Nous sommes convaincus que vous comprendrez nos motivations et que vous considérerez ces informations comme confidentielles, sauf en ce qui concerne la légation des États-Unis, à laquelle vous pouvez communiquer ce qui précède, si vous le jugez nécessaire. »


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La visite du Dr Rossel à Theresienstadt


Durant ses huit mois de mission à Berlin pour le CICR (12 avril 1944-1er janvier 1945), le Dr. Maurice Rossel (1916/1917-après 1997) a participé, seul ou accompagné d’un autre délégué, à dix-sept missions qui incluaient généralement la visite de plusieurs camps. Le 23 juin 1944, il visite le camp modèle de Theresienstadt et rapporte que la vie dans la colonie juive était "presque normale". Les clichés pris par Maurice Rossel, vraisemblablement trente-six, semblent d’une extraordinaire banalité. Ils contribuent à dissiper le mystère entourant le ghetto de Theresienstadt.


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Il n’y croyait pas non plus


Aldo Dami (1898-1977), éminent juif de Genève, historien et professeur d'Université dans la cité du même nom, était chargé d'étudier et de traduire pendant la guerre les rapports qui arrivaient à Genève en provenance de Pologne, de Slovaquie pour dénoncer les atrocités perpétrées dans les camps de concentration nazis. Dans son ouvrage paru en 1960, Réflexions hétérodoxes sur la politique, il donne clairement le sentiment qu’il ne croyait pas lui non plus en l’existence d’installations d’exécution dans les camps, lorsqu’il écrit :


"(...) Les chambres à gaz (qui, en 1939 n'existaient pas encore, ont été "inventées" en 1942 et n'ont même été "officiellement" découvertes qu'à la faveur de l'avance alliée, donc de la "victoire".)"


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La capitulation du CICR après la guerre


La Croix-Rouge, comme le Vatican et comme bien d’autres instances, a déclaré après la guerre qu’elle avait tout ignoré de ces affaires de “chambres à gaz“ et de “génocide“. La réalité est différente : ces instances avaient forcément entendu parler de ces histoires, mais de rapides enquêtes avaient sans doute donné à penser qu’on se trouvait en face de bobards de guerre.


Après la guerre, il a néanmoins fallu pour le CICR s’aligner sur le verdict de Nuremberg qui rendait l’Allemagne national-socialiste responsable du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale et d’un génocide planifié à l’encontre des Juifs.


Le cas de Maurice Rossel est révélateur. Ce médecin suisse et fonctionnaire du CICR pendant l'Holocauste est connu pour avoir visité le camp de concentration de Theresienstadt le 23 juin 1944, rapportant que la vie des déportés dans le camp était "presque normale", et celui d’Auschwitz en septembre 1944 où il ne constata pas d’installations d’extermination. Pour le CICR son rapport sur Theresienstadt est désormais considéré comme "emblématique de l'échec du CICR" pendant l'Holocauste. Il aurait sapé la crédibilité du rapport Vrba-Wetzler [prétendument plus précis selon la thèse exterminationniste- Ed.], et aurait induit le CICR en erreur quant à la solution finale. Quant au 27 janvier 1945, qui marque l'anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz, « cette date est synonyme d'un échec, celui de n'avoir pas pu apporter protection et assistance à des millions de victimes exterminées dans les camps de la mort. »


La Suisse, le CICR et les médias, encore aujourd’hui, relaieront l’histoire officielle qui cantonne la Croix-Rouge durant la Seconde Guerre mondiale dans un rôle douteux.



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Une image annonciatrice ? Celle diffusée de Charles Biederman, directeur du SIR d’Arolsen.


Robert Faurisson :



Les Archives Arolsen au procès Zündel


L’autre expert, appelé par l’accusation avant C. Browning, avait été Charles Biedermann, citoyen helvétique, délégué du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et, surtout, directeur du Service international de recherches (SIR) établi, en RFA, à Arolsen. Ce dernier organisme possède des informations d’une richesse inouïe sur le sort individuel des victimes du national-socialisme et, en particulier, sur les anciens concentrationnaires. Je prétends que c’est à Arolsen qu’on pourrait, si on le voulait, déterminer le véritable nombre de juifs morts durant la guerre.


L’accusation ne tira pour ainsi dire aucun profit de la déposition de cet expert. En revanche, le contre-interrogatoire permit à la défense de marquer de nombreux points. C. Biedermann reconnut que le CICR n’avait jamais trouvé de preuve de l’existence de chambres à gaz homicides dans les camps allemands. La visite de l’un de ses délégués à Auschwitz en septembre 1944 avait conclu tout au plus à l’existence d’une rumeur en la matière. A sa confusion, l’expert fut obligé d’admettre qu’il commettait une erreur en prêtant aux nationaux-socialistes l’expression de « camps d’extermination» ; il ne s’était pas rendu compte qu’il s’agissait là d’une expression forgée par les Alliés. Il prétendait que le CICR s’était montré impartial pendant et après le conflit ; on lui démontra le contraire. Après le conflit, le CICR avait fait chorus avec les Alliés. C. Biedermann déclara ne pas connaître de rapports du CICR sur les atrocités subies par les Allemands vers la fin de la guerre et juste après la guerre ; en particulier, il ne savait rien du traitement affreux réservé à bien des prisonniers allemands. Le CICR ne possédait rien, paraît-il, sur les déportations massives des minorités allemandes de l’Est, rien sur les horreurs de «la grande débâcle», rien sur les exécutions sommaires et, en particulier, le massacre au fusil, à la mitrailleuse, à la pelle et à la pioche de cinq cent vingt soldats et officiers allemands qui s’étaient rendus aux Américains à Dachau le 29 avril 1945 (pourtant, Victor Maurer, délégué du CICR, était là). Le SIR classait au nombre des « persécutés » du nazisme même les prisonniers de droit commun qui s’étaient trouvés en camps de concentration. Il se fiait aux données du «musée d’Auschwitz » (organisme communiste). A partir de 1978, afin d’entraver toute recherche révisionniste, le SIR avait fermé ses portes aux historiens et chercheurs, sauf à ceux pourvus d’une autorisation spéciale de l’un des dix gouvernements (dont celui d’Israël) qui surveillent l’activité du SIR. Désormais, il fut interdit au SIR d’établir, comme il l’avait fait jusque-là, des évaluations statistiques du nombre des morts dans les différents camps. Les précieux rapports d’activité annuels ne devaient plus être communiqués au public sinon pour leur premier tiers, qui ne présente aucun intérêt pour le chercheur. C. Biedermann confirma une nouvelle qui avait filtré en 1964 au procès de Francfort : à la libération d’Auschwitz, les Soviétiques et les Polonais avaient découvert le registre mortuaire de cet ensemble de trente-neuf camps et sous-camps. Le registre se composait de trente-huit ou trente-neuf volumes. Les Soviétiques conservent à Moscou trente-six ou trente-sept de ces volumes tandis que les Polonais gardent au « musée d’Auschwitz » les deux ou trois autres volumes, dont ils ont fourni copie au SIR d’Arolsen. Mais ni les Soviétiques, ni les Polonais, ni le SIR n’autorisent la consultation de ces volumes. C. Biedermann ne voulut pas même révéler le nombre des morts répertoriés dans les deux ou trois volumes dont le SIR possède la copie. Il est clair que, si le contenu du registre mortuaire d’Auschwitz était rendu public, c’en serait fini du mythe des millions de morts de ce camp.


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Six questions à Jean-Paul II à propos d'Edith Stein


Robert Faurisson :


Au Vatican, sur la place Saint-Pierre, le dimanche 11 octobre 1998, Jean-Paul II a procédé à la canonisation de Thérèse Bénédicte de la Croix (dans le siècle, Edith Stein), religieuse carmélite d'origine juive, née à Breslau (Silésie) le 12 octobre 1896 et, selon la version officielle, morte à Auschwitz (Silésie) le 9 août 1942. Au cours de son homélie, le pape a prononcé la phrase suivante :


Parce qu'elle était juive, Edith Stein fut déportée [des Pays-Bas] avec sa sœur Rosa et de nombreux autres juifs des Pays-Bas dans le camp de concentration d'Auschwitz, où elle trouva la mort avec eux dans les chambres à gaz..


La fin de cette phrase implique que, pour le pape, les chambres à gaz nazies ont vraiment existé. Jamais jusqu'à présent ni Jean-Paul II ni aucun autre pape avant lui n'avait ainsi pris la responsabilité d'affirmer l'existence et le fonctionnement de véritables abattoirs chimiques dans un camp de concentration allemand. Pie XII en particulier, mort en 1958, s'était jusqu'au bout abstenu de le faire et, comme lui, dans leurs mémoires de guerre, rédigés de 1948 à 1959, Churchill, Eisenhower et De Gaulle s'étaient refusés à mentionner génocide et chambres à gaz.


Pourquoi Jean-Paul II a-t-il pris cette extraordinaire initiative et de quelles preuves disposait-il, d'abord pour affirmer l'existence de ces chambres à gaz, puis pour préciser qu'Edith Stein, sa sœur Rosa et de nombreux autres juifs des Pays-Bas avaient trouvé la mort dans de telles chambres à gaz à Auschwitz ? Par ailleurs, dans la même homélie, Jean-Paul II a ajouté :


En célébrant à partir d'aujourd'hui la mémoire de la nouvelle sainte, nous ne pourrons manquer de rappeler également, chaque année, la Shoah, ce programme barbare visant à éliminer un peuple, et qui coûta la vie à des millions de frères et de sœurs juifs.


Là encore se pose une question : de quelles preuves le pape disposait-il d'abord, pour affirmer l'existence d'un programme visant à éliminer le peuple juif, puis pour avancer le chiffre de plusieurs millions de victimes de ce programme ? Plus un seul historien, en particulier Raul Hilberg, n'ose prétendre avoir trouvé la trace d'un tel plan, y compris dans "le procès-verbal de Wannsee" ; quant aux millions de victimes juives, où le décompte des pertes juives a-t-il été vraiment fait ?


Avec ces questions et quelques autres à l'esprit, j'ai consulté, dans la vaste bibliographie qui était consacrée à E. Stein, d'abord un ouvrage de référence publié en France en 1990, puis trois livres récents publiés en 1998 ainsi qu'une étude datant également de 1998 et, enfin, un assez grand nombre d'articles en différentes langues. J'ai conscience de ce qu'il s'agit là d'une enquête limitée. Il est évident que, si la permission en était accordée aux révisionnistes, je consulterais, pour commencer, les archives, extrêmement étendues, du Service international de recherches (SIR) établi en Allemagne à Arolsen-Waldeck ; malheureusement ces archives sont l'objet d'une surveillance attentive et spécialement du fait de l'Etat d'Israël. Le dossier constitué en vue de la béatification d'E. Stein, puis de sa canonisation m'intéresserait également mais le Vatican n'en permet pas la consultation. Aussi me vois-je réduit à solliciter des autorités vaticanes en général et du pape en particulier la faveur de m'accorder une réponse aux quelques questions ci-dessous formulées et à d'autres questions aussi qu'on trouvera plus loin.


Des diverses publications que j'ai consultées, il ressort qu'en réalité on ne sait ni où, ni quand, ni comment sont disparues E. Stein et sa sœur. On n'a donc apparemment pas le droit d'avancer aujourd'hui comme une certitude qu'elles ont été 1) tuées, 2) dans une ou plusieurs chambres à gaz à Auschwitz, 3) le 9 août 1942 (puisque aussi bien c'est cette date qui a été retenue par de nombreux auteurs ainsi que par le pape, lequel a souhaité faire du jour anniversaire de la mort d'E. Stein une journée de commémoration, par toute l'Eglise catholique, de la Shoah).

(…)


Conclusion


Par l'intermédiaire de l'Osservatore Romano à qui j'adresse le présent texte pour qu'il soit transmis à l'autorité compétente du Vatican, je me permets donc, en résumé, de poser à Jean-Paul II les questions suivantes dans l'espoir d'une réponse que je puisse, avec son autorisation, rendre publique :


1. Quelles preuves avez-vous qu'Edith Stein soit morte à Auschwitz dans une chambre à gaz d'exécution le 9 août 1942 ?


2. Quelle preuve avez-vous que l'Allemagne avait un programme visant à éliminer physiquement le peuple juif?


3. Avez-vous ordonné une enquête, notamment auprès du Service international de recherches (SIR) d'Arolsen-Waldeck pour savoir si, par exemple, Edith et Rosa Stein ne sont pas mortes ailleurs qu'à Auschwitz ou si elles n'ont pas été victimes des épidémies de typhus qui, notamment en 1942, ont ravagé le camp d'Auschwitz jusqu'à y provoquer parfois des centaines de morts par jour, y compris chez les gardiens allemands et les médecins SS du camp ?


4. Des membres de la famille Stein, internés pendant la guerre par les Allemands, ont-ils survécu jusqu'à pouvoir assister à la cérémonie de canonisation du 11 octobre 1998 au Vatican ?


5. Les évêques des Pays-Bas ne portent-ils pas, à la différence des autorités protestantes, la responsabilité première de la décision allemande de déporter les juifs catholiques ?


6. Pourquoi relève-t-on, d'une langue à l'autre, de graves variantes dans le texte de l'homélie prononcée le 11 octobre 1998 ?


N.B. Vincent Reynouard vient de publier un examen révisionniste du cas d'Edith Stein ; voy. "Sur Edith Stein", ANEC Information, 29 octobre 1998, p. 3-5.

4 novembre 1998


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Références :

Blog Robert Faurisson - Le révisionnisme au Canada : Les procès Zündel : https://robertfaurisson.blogspot.com/1988/08/le-revisionnisme-au-canada-les-proces.html

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L’émigration juive

Germar Rudolf :

« Il y avait environ 3 millions de Juifs dans l'Europe occupée par l'Allemagne. Plus de la moitié des Juifs qui ont migré vers l'Union soviétique après 1939 venaient de Pologne. Selon Louis Levine, président de l'American Jewish Council for Russian Relief, qui a effectué une tournée d'après-guerre en Union soviétique et a présenté un rapport sur le statut des Juifs dans ce pays, la majorité de ces personnes ont été évacuées vers l'est après le lancement de l'invasion par les armées allemandes. À Chicago, le 30 octobre 1946, il déclara qu’ « au début de la guerre, les Juifs furent parmi les premiers à être évacués des régions occidentales menacées par les envahisseurs hitlériens, et envoyés en sécurité à l'est de l'Oural. Deux millions de Juifs ont ainsi été sauvés. » Ce nombre élevé est confirmé par le journaliste juif David Bergelson, qui a écrit dans le journal yiddish de Moscou Ainikeit, le 5 décembre 1942, que « grâce à l'évacuation, la majorité (80%) des Juifs d'Ukraine, de Russie blanche, de Lituanie et de Lettonie avant l'arrivée des Allemands ont été sauvés ». Reitlinger est d'accord avec l'autorité juive Joseph Schechtmann, qui admet que de très nombreux Juifs ont été évacués, bien qu'il estime un nombre légèrement plus élevé de Juifs russes et baltes restés sous occupation allemande, entre 650 000 et 850 000 (Reitlinger, The Final Solution, p. 499). En ce qui concerne ces Juifs soviétiques restés sur le territoire allemand, il sera prouvé plus tard que pendant la guerre en Russie, pas plus de cent mille personnes ont été tuées par les groupes d'action allemands en tant que partisans et commissaires bolcheviques, qui n'étaient pas tous Juifs.

Il est certain que des milliers de parents ont été séparés de part et d'autre du rideau de fer, chacun croyant que l'autre avait péri mais était en fait toujours en vie. Le cas des retrouvailles entre deux frères après que l'un ait reconnu l'autre au Montel Williams Show avec David Cole démontre qu'il a dû y avoir des milliers d'autres cas de ce genre. » Les Juifs étaient encore en vie après la Seconde Guerre mondiale La raison la plus simple pour rejeter l'histoire de l'Holocauste en général est que la grande majorité des Juifs européens étaient encore en vie à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le professeur Arthur Butz, l'auteur du Canular du XXe siècle, a fait cette affirmation il y a près de trente ans - et il a été absolument correct, comme le montre la citation suivante, tirée d'une source juive récente et crédible et citée dans l’excellent livre Did Six Million Really Die :

« La Semaine juive a appris que deux nouvelles études visant à déterminer la localisation des survivants juifs de l'Holocauste, en vue de leur affectation future aux plus nécessiteux, diffèrent largement quant au nombre de survivants dans le monde. Sergio DellaPergola, démographe à l'Institut du judaïsme contemporain de l'Université hébraïque de Jérusalem, a recensé 1 092 000 survivants dans le monde. Jacob Ukeles, un chercheur en politique à Manhattan, en a trouvé 688 000. L'enquête d'Ukeles, une mise à jour de celle qu'il a préparée en 2000 pour la Conférence sur les revendications matérielles des Juifs contre l'Allemagne, n'a trouvé que des différences mineures par rapport à son effort précédent. Lawrence Eagleburger, président de la Commission internationale sur les réclamations d'assurance à l'époque de l'Holocauste, a commandé les deux enquêtes. Eagleburger avait espéré utiliser ces chiffres pour déterminer comment distribuer 13,2 millions de dollars par an en fonds humanitaires pour les survivants dans le besoin dans le monde entier. Si quelqu'un avait produit une vidéo montrant JFK s'adressant à un public des mois après son assassinat "présumé" à Dallas - en tenant un journal avec un texte montrant que le journal a clairement été publié longtemps après cette date, nous saurions tous qu'il y a quelque chose qui cloche sérieusement avec l'histoire qui nous a été racontée. Un certain nombre d'événements "présumés" pourraient être démystifiés de la même manière s'ils étaient faux. L'"holocauste" est un tel faux événement en raison des preuves étonnantes dont nous disposons aujourd'hui.

L'étonnante découverte par Sergio DellaPergola de 1 092 000 survivants juifs de l'holocauste en vie en 2003 est examinée en détail dans son rapport de 2003. Il est clair que le nombre de "survivants juifs de l'holocauste" vivant plus de cinquante-cinq ans après la guerre est si énorme qu'on peut se demander si des Juifs ont péri pendant la Seconde Guerre mondiale. Toute analyse statistique conservatrice et raisonnable du déclin de la population au cours des années d'après-guerre conclurait sûrement qu'il y avait plus de cinq millions de "survivants juifs de l'holocauste" en vie à la fin de la guerre. Il ne fait aucun doute que des Juifs innocents ont été tués, mais il n'y a aucune raison valable de croire que les morts juives étaient statistiquement inhabituelles pour une longue et horrible guerre au cours de laquelle des dizaines de millions de civils innocents de toutes nationalités ont été tués. Si l'on se base uniquement sur les chiffres, l'histoire généralement acceptée est un canular monumental. Le fait que ce canular continue d'être accepté dans le monde entier, même en Allemagne, est un hommage à l'énorme pouvoir et à l'influence des victimes supposées et de la communauté juive en général. L'unicité des allégations de gazage de masse a également fait appel aux côtés les plus sombres de l'imagination et de la crédulité humaines. »

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