Les médias grand public et l'Holocauste prétendu
Les médias grand public ne remettent jamais en question le récit officiel de l'Holocauste et attaquent tous ceux qui le font. Ils ont créé le terme "négationniste de l'Holocauste" pour toute personne qui ne croit pas ou qui ose remettre en question le récit officiel. Le "négationniste" est l'un des vocables à la mode multiculturels tels que "fasciste/nazi/raciste/homophobe" conçus pour dénigrer la personne décrite comme telle, et conduire à des "attaques de meute" par les médias, les politiciens et la foule politiquement correcte de gauche en général. Cependant, il faut garder à l'esprit qu'environ 96% des médias du monde occidental sont contrôlés par des juifs et/ou des sionistes. Vous remarquerez que les juifs/sionistes sont prêts à garder la gestion des journaux/chaînes de télévision et autres médias à perte, simplement pour garder le contrôle des médias mainstream.
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Allemagne : Israël extorque une augmentation gigantesque des réparations versées aux survivants éternels de LOLocauste Captain Harlock Démocratie Participative 16 août 2019
L’audace de ces juifs, j’arrive à peine à y croire.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a annoncé jeudi que l’Allemagne avait accepté d’augmenter les compensations versées régulièrement aux rescapés de la Shoah de plusieurs centaines d’euros par mois. « Nous avons négocié avec le gouvernement allemand pour qu’il accorde une aide supplémentaire aux survivants de la Shoah, en plus de l’aide que nous allouons », a déclaré Netanyahu dans un communiqué. « C’est important, ces personnes le méritent et je remercie le gouvernement allemand. »
Si Bibi pensait qu’il s’agissait de réparations légitimes, il n’aurait pas remercié Merkel : il aurait vaguement gueulé en disant que c’était vraiment la moindre des choses et qu’elle devrait avoir honte de ne pas en verser le double.
Mais non, il dit « merci ».
Ce qui en langage diplomatique signe le crime.
La juiverie sait qu’elle tient là une escroquerie unique dans l’histoire et elle entend bien presser le citron au maximum.
Je n’ose même pas imaginer le nombre de vieux youpins depuis longtemps desséchés dans leurs tombes qui continuent de toucher des centaines de milliers de dollars du haut de leurs 130 ans.
Israël va bientôt compter le plus grand nombre de centenaires de la planète. Ces juifs ne vont pas tarder à affirmer avoir découvert un traitement miracle qui explique cette formidable longévité.
Et puis, ils ont également cette invention qui ne pouvait germer que dans une cervelle d’escroc ashkénaze : la transmission du « traumatisme » post-holocaustique de père en fils.
Bref, l’argent va devoir couler à flots, indéfiniment.
Ils travaillent aussi depuis quelques années à un autre projet : faire payer 19 milliards de dollars à l’Allemagne de l’Est en dépit du fait qu’elle ait été absorbée par la RFA. Faire raquer deux gouvernements pour un seul état, il n’y a que des vampires de Judée pour tenter pareille opération.
L’an passé, ils ont même réussi à faire payer l’Allemagne pour les « survivants de l’Holocauste » d’Afrique du Nord. C’est-à-dire les séfarades qui n’ont jamais vu la couleur d’un uniforme allemand de toute la guerre.
Il n’y a rien d’étonnant au fond.
Si cette race de truands a pu faire croire que la Mer Rouge s’ouvrait devant elle à des milliards de goyim stupides, elle peut bien faire croire aux douches à insecticide d’Adolf Hitler pour garnir ses comptes en banque.
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La vérité est gagnante : Plus de 9 millions d'Italiens sont désormais convaincus que l'"Holocauste" n'a jamais eu lieu. (Paru dans Christians for Truth) « Un récent sondage en Italie a révélé qu'au cours des 15 dernières années, le nombre de personnes qui croient maintenant à juste titre que l'Holocauste n'a jamais eu lieu a été multiplié par cinq : Plus de 15 % des personnes interrogées lors d'un sondage en Italie ont déclaré que l'Holocauste n'avait jamais eu lieu. Les résultats font partie du rapport annuel d'Eurispes sur l'Italie, publié jeudi. Le sondage de l'organisation non gouvernementale sonde les opinions des Italiens sur un certain nombre de sujets, notamment la crédibilité du gouvernement, des médias et de l'histoire, y compris cette année l'Holocauste. La prévalence de la négation de l'Holocauste parmi les 1 120 adultes italiens interrogés est plus de cinq fois supérieure à celle de l'édition 2004, où 2,7 % des personnes interrogées ont déclaré que l'Holocauste ne s'était jamais produit. Près de 24 % des personnes interrogées ont déclaré que les Juifs contrôlaient l'économie et les médias, et 26 % ont déclaré qu'ils contrôlaient la politique américaine. Près des deux tiers ont indiqué que les cas récents d'antisémitisme sont isolés et n'ont aucune incidence sur la portée réelle de l'antisémitisme en Italie. Environ 20 % sont d'accord avec cette affirmation selon laquelle beaucoup pensent que Benito Mussolini, allié et mentor d'Hitler et père du fascisme du XXe siècle, "était un grand leader qui n'a fait que quelques erreurs".
C'est la preuve du triomphe du révisionnisme historique qui s'acharne sur la version officielle juive de la Seconde Guerre mondiale. Et certains des révisionnistes les plus éminents sont des Juifs eux-mêmes.
Les Juifs, comme ils le font toujours, ont surjoué avec l'Holocauste.
L'objectif de ce mensonge était à l'origine d'utiliser l'Holocauste pour susciter la sympathie internationale afin de justifier la fondation de l'ersatz d'État d'Israël, ce qu'il a fait.
Après que les Juifs aient obtenu Israël, ils auraient dû laisser l'Holocauste s'effacer comme une relique de la propagande de guerre, mais au lieu de cela, ils l'ont utilisé comme une "carte de sortie de prison" chaque fois qu'un Juif, où que ce soit dans le monde, est accusé d'un crime.
Ils utilisent également l'Holocauste pour justifier les lois sur le "discours de haine" afin de faire taire toute critique des Juifs, où qu'ils soient dans le monde et pour quelque raison que ce soit.
Dans un élan de paranoïa, ils ont fait du déni de l'Holocauste un crime dans de nombreux pays, allant jusqu'à jeter en prison une grand-mère de 91 ans pour avoir partagé des documents méticuleux prouvant que l'Holocauste n'avait pas pu avoir lieu.
Lorsque vous commencez à jeter des grands-mères en prison pour ne pas vous avoir cru, vos mensonges sont des mensonges à vie.
Tant de témoignages juifs sont si incroyables et absurdes que même les historiens juifs traditionnels doivent se défaire de beaucoup de ces "témoignages" qu'ils jugent "inexacts", comme les ridicules récits macabres de Josef Mengele.
Et plus que toute autre chose, c'est Internet qui a contribué à détruire les fables juives sur lesquelles le château de cartes connu sous le nom d'Holocauste a été construit.
Et aucune "éducation" à l'Holocauste auprès de jeunes écoliers impressionnables ne fonctionnera. Ils ont essayé cela depuis 30 ans maintenant et plus de gens que jamais trouvent l'Holocauste au mieux douteux. Chaque jour, des millions de nouvelles personnes sont exposées à un aspect du révisionnisme historique en ligne, et tout ce qu'il faut, c'est un mème puissant et perspicace pour faire tomber tout l'édifice du mensonge. » https://christiansfortruth.com/truth-is-winning-over-9-million-italians-now-convinced-the-holocaust-never-happened/
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Grande Bretagne : Un van aide les survivants de la Shoah à témoigner durant la pandémie.
[C’est la piste aux étoiles… mais les funambules sont de plus en plus gras et le fil de plus en plus mince…]
------------------------------------------------------------------------------------ Les juifs du monde entier exigent que Facebook ne laisse plus les goyim douter de l’existence des 6 trillions de juifs théoriquement gazés à l’insecticide par Adolf Hitler
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Une exposition en ligne explique comment des milliers de Juifs allemands et autrichiens ont été arrêtés en Grande-Bretagne et envoyés à l’étranger, où ils ont été incarcérés.
Les hommes portaient des uniformes avec un grand cercle dans le dos qui ressemblait à une cible.
[Ces Canadiens étaient très mal informés sur le sort des Juifs en Europe, sans quoi ils n’auraient jamais osé !]
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63% des Américains n’ont jamais entendu parler de la théorie bizarre de l’Holocauste Captain Harlock Démocratie Participative 16 septembre 2020 L’empire juif s’écroule sous nos yeux. The Guardian : Près des deux tiers des jeunes adultes américains ne savent pas que 6 millions de Juifs ont été tués pendant l’Holocauste, et plus d’un sur dix croit que les Juifs ont causé l’Holocauste, selon une nouvelle enquête, révélant des niveaux d’ignorance choquants sur le plus grand crime du 20ème siècle.
Selon l’étude réalisée auprès d’adultes âgés de 18 à 39 ans, près de la moitié (48%) ne pouvait pas nommer un seul camp de concentration ou ghetto établi pendant la seconde guerre mondiale.
Près d’un quart des répondants (23%) ont déclaré qu’ils croyaient que l’Holocauste était un mythe, ou qu’il avait été exagéré, ou encore qu’ils n’en étaient pas sûrs. Un répondant sur huit (12 %) a déclaré qu’il n’avait absolument pas entendu parler de l’Holocauste ou qu’il ne pensait pas en avoir entendu parler.
Plus de la moitié (56 %) ont déclaré avoir vu des symboles nazis sur leurs plateformes de médias sociaux et/ou dans leurs communautés, et près de la moitié (49 %) ont vu des messages de négationnisme ou de distorsion de l’Holocauste sur les médias sociaux ou ailleurs en ligne.
« Les résultats sont à la fois choquants et tristes, et ils soulignent pourquoi nous devons agir maintenant, alors que les survivants de l’Holocauste sont encore avec nous pour exprimer leur histoire », a déclaré Gideon Taylor, président de la Conférence sur les revendications matérielles des Juifs contre l’Allemagne (Claims Conference) qui a commandé l’enquête.
président de la Conférence sur les revendications matérielles des Juifs contre l’Allemagne
Ce juif, à lui seul, explique en effet pourquoi, en théorie, le génocide des juifs aurait pu avoir lieu.
Mais il n’y a pas eu de génocide juif.
Il y a uniquement eu une mise au travail autoritaire des juifs sur un modèle plus coercitif que le Service du Travail Obligatoire auquel de nombreux jeunes Français ont participé dans d’excellentes conditions.
Beaucoup de jeunes volontaires français de la Waffen SS étaient des travailleurs réquisitionnés qui, une fois plongés dans les usines allemandes au milieu des ouvriers allemands, ont découvert le modèle national-socialiste. Tout était fait pour l’ouvrier, contrairement à la France juive du Front Populaire, rongée par le marxisme et l’exploitation financière.
Ce qu’ils ont vu des avancées sociales, la fraternité ouvrière réservée aux Français, les a convaincus de se jeter dans la mêlée sous l’uniforme de la révolution sociale portée à ce moment-là par l’Allemagne.
Les juifs, eux, ont été traumatisés par le travail manuel. Ils en parlent encore 75 ans après.
Le juif Gideon Taylor, en tant que racketteur en chef de l’Allemagne occupée, n’a pas commandité ce sondage par hasard. Il tâte le terrain de l’opinion américaine pour savoir combien de temps la juiverie pourra utiliser toute la force du gouvernement fédéral pour saigner financièrement l’Allemagne et les nations d’Europe.
Tel est le juif, dénué de toute forme de scrupule, toujours prêt à tout pour amasser de l’or et ruiner la vie des gens honnêtes.
Taylor a ajouté : « Nous devons comprendre pourquoi nous ne faisons pas mieux pour éduquer une jeune génération sur l’Holocauste et les leçons du passé. Cela doit servir d’avertissement pour nous tous, et de feuille de route pour indiquer aux responsables gouvernementaux où ils doivent agir ».
L’enquête, la première à descendre jusqu’au niveau des États américains, classe les États selon un score basé sur trois critères : les jeunes ont-ils vraiment entendu parler de l’Holocauste, peuvent-ils nommer un camp de concentration, un camp de la mort ou un ghetto, et savent-ils que 6 millions de Juifs ont été tués ?
L’État qui a obtenu le meilleur score est le Wisconsin, où 42 % des Millenials et de la Génération Z ont répondu aux trois critères, suivi du Minnesota à 37 % et du Massachusetts à 35 %. Les États les moins bien notés étaient la Floride (20 %), le Mississippi (18 %) et l’Arkansas (17 %).
Au niveau national, 63% des personnes interrogées ne savaient pas que 6 millions de Juifs avaient été assassinés pendant l’Holocauste, et plus d’un sur trois (36%) pensait que 2 millions ou moins avaient été tués.
63% des 330 millions d’Américains sont de facto sur nos positions et ignorent le mythe de l’holocauste.
36% des 330 millions d’Américains sont de facto révisionnistes et comprennent d’instinct que les 6 millions relève de l’escroquerie.
1% des 330 millions d’Américains sont des menteurs juifs.
Onze pour cent des personnes interrogées dans l’ensemble des États-Unis pensaient que les Juifs avaient causé l’Holocauste, la proportion étant de 19 % dans l’État de New York, suivie de 16 % en Louisiane, au Tennessee et au Montana, et de 15 % en Arizona, dans le Connecticut, en Géorgie, au Nevada et au Nouveau Mexique.
Comme je le disais plus haut, l’unique chose qui pourrait servir d’argument en faveur de ce concept d’holocauste est la nature même des juifs, ce qu’ils sont et ce qu’ils font.
Quiconque a connu et souffert sous les juifs pourraient croire que d’autres, ayant souffert comme eux, aient décidé d’en finir avec cette race. Mais à l’évidence, les juifs ne peuvent pas venir devant nous et dire, « et bien, voyez-vous, d’autres n’ont pas eu votre patience et nous ont assassiné parce que nous sommes collectivement des ordures, des escrocs et des criminels ». Quoique véridique, ce ne serait pas un argument de nature à conforter la position de la juiverie contemporaine. C’est la raison pour laquelle ces juifs viennent à nous en nous affirmant qu’ils auraient été assassinés par Adolf Hitler parce qu’ils étaient innocents de tout, purs de tout blâme et surtout, généreux au delà de toute limite, partout et tout le temps.
Bref, plus inoffensifs que des moines bouddhistes tibétains.
Je pense que vous conviendrez avec moi que les juifs sont plus nuisibles que des tibétains.
Les juifs pensaient pouvoir maintenir cette énormité éternellement, pour peu que leurs médias la martèlent suffisamment.
Mais ce n’est pas ce qui se produit. Les goyim n’ont plus d’espace disque disponible pour tourner sur holocauste4ever.exe
Au niveau national, 44 % des personnes interrogées ont pu identifier Auschwitz-Birkenau, et seulement 3 % connaissaient Bergen-Belsen. Au Texas, six personnes interrogées sur dix ne pouvaient pas nommer un seul camp de concentration ou ghetto.
Cependant, près des deux tiers (64%) des adultes américains du millénaire et de la Génération Z pensent que l’enseignement de l’Holocauste devrait être obligatoire dans les écoles. Sept sur dix ont déclaré qu’il n’était pas acceptable qu’un individu ait des opinions néo-nazies.
La Claims Conference, dont la mission est de « rendre justice aux victimes juives de l’Holocauste », a mis en place un groupe de travail pour superviser l’enquête. Elle comprenait des survivants de l’Holocauste, des historiens et des experts de Yad Vashem et du Musée mémorial de l’Holocauste des États-Unis.
Les données ont été recueillies à partir de 1 000 entretiens à l’échelle nationale et de 200 entretiens dans chaque État avec de jeunes adultes âgés de 18 à 39 ans sélectionnés au hasard.
Dites-vous que ce fiasco a lieu en dépit de 75 ans de propagande sur les saucisses de juifs gazés et les douches à gaz d’Adolf Hitler.
Trois quarts de siècle de livres, de films hollywoodiens, de documentaires, d’émissions spéciales, de « témoignages » de survivants centenaires.
Et d’exercices de nécromancie.
Malgré cela, malgré ce torrent de mensonges, l’écrasante majorité des Américains n’a pas la moindre idée de ce que signifie cette théorie absurde de chambres froides polonaises où Adolf Hitler aurait secrètement fait tuer avec de l’insecticide 6 millions de juifs.
Dans 50 ans, plus personne sur cette terre ne comprendra même de quoi ces juifs essaient de parler. Tout particulièrement dans un monde dominé par l’Asie et la Chine dont les peuples confondront les juifs avec une espèce de sauterelle ou d’escargot.
Aussi implacable que soit la terreur juive actuelle, elle nous paraîtra, d’ici 50 ans, totalement grotesque. Tout ça paraîtra pour ce que c’est : absurde. Des noms s’élèveront, comme celui du Professeur Faurisson, et plus près de nous, celui de Vincent Reynouard que vous devez soutenir si vous le pouvez en faisant connaître ses travaux. L’évidence, demain, pourrait vite faire oublier que ce concept des 6 millions fût autrefois un dogme religieux aussi incontestable que l’incarnation du Christ au 15ème siècle.
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Références : Démocratie Participative, 63% des Américains n’ont jamais entendu parler de la théorie bizarre de l’Holocauste :https://democratieparticipative.digital/63-des-americains-nont-jamais-entendu-parler-de-la-theorie-bizarre-de-lholocauste
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Hors les camps
15) Les circonstances de la guerre
Le "Polocauste"
Germar Rudolf écrit :
« L’animosité violente des Polonais catholiques à leur immense communauté juive est bien connue. Lorsque les Russes ont envahi la Pologne, l’une des plus grandes craintes des dirigeants polonais et du gouvernement était que les 500 000 résidents juifs du district de Nalevski à Varsovie se lèvent contre eux pour soutenir les armées bolcheviques qui avançaient. De nombreux Juifs polonais ont fui après l’échec de l’attaque russe et un certain nombre de ceux qui sont restés ont été rapidement massacrés par les Polonais lorsque le gouvernement central s’est effondré après l’invasion allemande de 1939. » On parle de "Polocauste".
Le "Russiacauste" Germar Rudolf :
« Bien que les chiffres exacts des morts parmi les autres détenus d’Auschwitz en 1945 ne soient pas disponibles, plusieurs rapports militaires soviétiques existants font état d’un nombre de morts compris entre 7 000 et 10 000 morts. D’anciens membres de la milice polonaise ont par la suite affirmé que de nombreux morts avaient été abattus par les troupes russes alors qu’ils tentaient de quitter le camp libéré. Les Russes n’ont plus détestaient les Juifs, se souvenant de leur sauvagerie contre eux pendant les purges de Josef Staline. La vérité ne sera probablement jamais connue, mais au moins cette atrocité ne peut être imputée aux Allemands, qui se trouvaient à des centaines de kilomètres de là à l’époque. »
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Il est important de noter que dans son livre The Dissolution of Eastern European Jewry, 1983, Walter Sanning montre que beaucoup de ces pertes juives ont été causées non pas par l'impact direct de la guerre ou par un programme de génocide allemand, mais par la barbarie soviétique. Sanning affirme que des centaines de milliers de Juifs ont perdu la vie lors de la déportation soviétique vers l'Est ou dans les camps de travail et de concentration sibériens. Sanning conclut que l'approvisionnement en nourriture, les abris et les vêtements fournis aux détenus juifs dans les camps soviétiques étaient terriblement insuffisants et que les soins médicaux étaient presque totalement inexistants. La conclusion de Sanning est soutenue par l'historien juif Gerald Reitlinger (The Final Solution, 1961, p.499), qui déclare : « En Sibérie du Sud, le taux de mortalité était très élevé pour...les Juifs...».
Selon l'analyse de Sanning, plus de Juifs sont morts dans les camps soviétiques que dans les camps allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.
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Document vidéo : L'Histoire secrète de l'Archipel du Goulag (Secret History: The Gulag Archipelago)
https://www.youtube.com/watch?v=adc34lToCYM Ce documentaire de Jean Crépu & Nicolas Miletitch (2008) détaille la création du roman d’Alexandre Soljenitsyne “L’Archipel du Goulag », oeuvre capitale du XXe siècle écrite dans le plus grand secret en URSS, qui fera plus tard partie du programme scolaire public russe. ------------------------------------------------------------------------------------
Les Einsatzgruppen dans les territoires orientaux occupés
Jürgen Graf :
« Les quatre Einsatzgruppen ont été formés après l'attaque préventive allemande contre l'URSS. Leur tâche principale consistait à combattre les bandes de partisans opérant derrière le front. Le personnel total des Einsatzgruppen, y compris les opérateurs radio, les chauffeurs, les traducteurs, les infirmières, etc., ne représentait qu'environ 3 000 personnes. Selon les exterminationnistes, ceux-ci étaient responsables, non seulement de la lutte contre les partisans, mais aussi de l'extermination impitoyable de tous les Juifs sur le territoire soviétique conquis. Selon l'Enzyklopaedie des Holocaust, les Einsatzgruppen ont tué 1,25 million de Juifs et "des centaines de milliers d'autres nationalités soviétiques" rien qu'au printemps 1943, soit au total au moins un demi-million de personnes. Cela signifie que chaque membre des Einsatzgruppen, y compris les opérateurs radio, les chauffeurs, les traducteurs et les infirmières, aurait dû tuer en moyenne 500 personnes juives et non-juives chacun - près d'une par jour, si l'on considère les dimanches et les jours fériés.
Miraculeusement, les près de deux millions de corps (puisque les Einsatzgruppen sont censés avoir continué à assassiner des gens même après le printemps 1943, après tout) ont disparu sans laisser de traces. Dans des circonstances normales, bien sûr, ce n'est pas le cas. Se débarrasser d'un corps est le cauchemar de tout meurtrier. Après le meurtre de la famille du tsar russe, les corps ont été brûlés et on leur a jeté de l'acide, mais ils pouvaient encore être identifiés.
Le rapport des spécialistes de l'Holocauste :
« La tâche du Sonderkommando... était d'ouvrir les fosses communes, d'enlever les corps, de les brûler et de disperser les cendres. »
Selon ce qui précède, les victimes de meurtre étaient d'abord enterrées, puis déterrées à nouveau plus tard, et enfin brûlées ! Mais l'ancien emplacement des fosses communes peut être identifié assez facilement par des photographies aériennes, même des années plus tard, en raison de la perturbation du terrain. Même si les Allemands avaient réussi à brûler deux millions de corps et à éliminer les fragments d'os et les dents, l'emplacement des fosses communes pourrait encore être retrouvé. Où se trouvent-ils ? Il n'y a donc aucune preuve matérielle des deux millions de meurtres commis sur le front de l'Est. Les preuves documentaires consistent en des "rapports d'événements" des Einsatzgruppen en URSS au RSHA à Berlin. Ces rapports auraient été trouvés par les alliés dans les dossiers du RSHA après la guerre.
Selon les exterminationnistes, la raison pour laquelle aucun document sur les chambres à gaz n'a jamais été trouvé, est que les "nazis" voulaient dissimuler leurs crimes ; ils n'ont donc donné leurs ordres de meurtre qu'oralement, ou du moins ont détruit tous les documents existants. Mais les rapports incriminant les Einsatzgruppen, qui révèlent un programme d'assassinat monstrueux à l'Est, ont été laissés traîner là où ils pouvaient être trouvés ! Ils auraient pu brûler les quelques dossiers sur le sujet en un rien de temps, facilement! C'est très étrange. »
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Le Dr Arthur Robert Butz met également en doute l'authenticité des rapports des Einsatzgruppen. Butz écrit:
« Ils [les documents] sont mimés et les signatures sont très rares et, lorsqu'elles se produisent, elles apparaissent sur des pages non incriminantes. Le document NO-3159, par exemple, porte une signature, R. R. Strauch, mais uniquement sur une page de couverture indiquant les emplacements des différentes unités des Einsatzgruppen. Il y a également le document NO-1128, qui aurait été transmis par Himmler à Hitler et qui fait état, entre autres, de l'exécution de 363 211 Juifs russes en août-novembre 1942. Cette déclaration se trouve à la page quatre de NO-1128, tandis que les initiales dites d'Himmler se trouvent à la page un, sans importance. De plus, les initiales d'Himmler étaient faciles à falsifier : trois lignes verticales traversées par une ligne horizontale. » ---
Les documents soviétiques affirment qu'en trois ans de guerre, de juillet 1941 à juillet 1944, les partisans soviétiques en Biélorussie « ont éliminé environ 500 000 soldats et officiers allemands, 47 généraux, fait sauter 17 000 transports militaires ennemis et 32 trains blindés, détruit 300 000 voies ferrées, 16 804 véhicules et un grand nombre d'autres fournitures matérielles de toutes sortes ». ( S. Telpuchowski, Die Geschichte des Grossen Vaterländischen Krieges 1941- 1945, Bernard & Graefe Verlag für Wehrwesen, Frankfurt/Main 1961, p. 284). Ces pertes, il faut le rappeler, se sont produites dans un seul secteur du front de l'Est, et donnent donc au lecteur une idée de l'ampleur et de l'intensité de la guerre derrière la ligne de front allemande.
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Références : Carlo Mattogno, The Einsatzgruppen in the Occupied Eastern Territories: Genesis, Missions and Actions, 2018. In Renegade Tribune :http://www.renegadetribune.com/the-einsatzgruppen-in-the-occupied-eastern-territories ------------------------------------------------------------------------------------
Le prétendu massacre de 33 771 Juifs à Babi Yar en 2 jours et l'opération d'incinération de masse 2 ans plus tard pour le cacher
Le massacre de Babi Yar est mentionné dans les rapports des Einsatzgruppen. Après le retrait de l'armée allemande en septembre 1941, il y a eu une série d'attaques à l'explosif qui ont provoqué des incendies et des centaines de morts. En représailles, les Allemands auraient emmené 33 000 Juifs aux abords de la ville de Kiev, les auraient abattus et jetés dans le ravin à la fin du mois de septembre. Pendant la guerre, des dizaines de milliers d'autres juifs auraient été assassinés à cet endroit. Deux ans plus tard exactement, alors que l'Armée rouge approchait de Kiev, les corps sont censés avoir été déterrés et brûlés sans laisser de traces, de sorte qu'il n'y a pas non plus de preuves matérielles.
Plusieurs auteurs révisionnistes, principalement Herbert Tiedemann et Udo Walendy, ont examiné les preuves relatives à Babi Yar de manière très approfondie. Les rapports des témoins oculaires se contredisent sur tous les points possibles. Outre les fusillades, il est beaucoup question de coups de baïonnette, d'enterrements vivants, de meurtres à l'aide de mines terrestres, de grenades à main, de noyades dans le Dnieper et d'autres absurdités similaires. Le nombre de victimes mentionnées au cours des années s'élève à 300 000.
Les très rares chiffres donnés dans le rapport 106 sont des fabrications avérées. Ce rapport affirme qu'il y avait environ 300 000 Juifs à Kiev au moment où il a été rédigé. Cependant, la population de Kiev au moment de la rédaction du rapport était passée de 850 000 personnes ou plus à environ 305 000 en raison des évacuations. Ainsi, s'il y avait encore 300 000 Juifs à Kiev le 7 octobre 1941, il n'y aurait pratiquement plus eu personne à Kiev qui n'était pas juif. Les experts allemands qui ont rédigé les rapports des Einsatzgruppen n'auraient pas commis une erreur aussi grave dans leur rapport.
Enfin, les photos aériennes du ravin de Baba Yar prises pendant la guerre et évaluées par John Ball sont le coup de grâce de la légende de Babi Yar. Une comparaison des photos prises entre 1940 et 1944 montre que les fosses communes - qui auraient été creusées, comblées, creusées à nouveau plus tard, puis refermées - n'ont jamais existé, car sinon le ravin aurait montré des changements topographiques massifs. Les photos aériennes ne les révèlent en aucune façon.
Le massacre de Babi Yar n'est donc qu'une nouvelle escroquerie. Aucune autre accusation de crime portée contre les Allemands sur le front de l'Est n'a été faite avec un tel effet de propagande ; aucune autre atrocité n'est censée avoir fait autant de victimes. Comme ce massacre inventé apparaît dans les rapports des Einsatzgruppen, les rapports ont été soit totalement falsifiés, soit du moins manipulés à grande échelle. Ainsi, la seule "preuve documentaire" des millions de meurtres commis sur le front de l'Est s'effondre au sol.
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Références :
Renegade Tribune , The Alleged Babi Yar Massacre Of 33,721 Jews In 2 Days & The Mass Cremation Operation 2 Years Later to Hide :
: http://www.renegadetribune.com/the-alleged-babi-yar-massacre-of-33771-jews-in-2-days-the-mass-cremation-operation-2-years-later-to-hide-it // Wears’s War, The Contradictions & Impossibilities Of The “Holocaust by Bullets” Allegation & Why It’s Critical The Story Is Believed : https://wearswar.wordpress.com/2017/12/23/the-contradictions-impossibilities-of-the-holocaust-by-bullets-allegation-why-its-critical-the-story-is-believed/
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HORS SUJET II – Les crimes soviétiques contre l’humanité du NKVD Le massacre dans les prisons
Les massacres de prisonniers du NKVD étaient une série d'exécutions massives de prisonniers politiques menées par le NKVD, le Commissariat du peuple pour les affaires intérieures de l'Union soviétique, dans toute l'Europe de l'Est, principalement en Pologne, en Ukraine, dans les pays baltes et en Bessarabie. Après le début de l'invasion allemande de l'Union soviétique le 22 juin 1941, les troupes du NKVD étaient censées évacuer les prisonniers politiques vers l'intérieur de l'Union soviétique, mais la retraite précipitée de l'Armée rouge, le manque de transport et d'autres fournitures et le mépris général des procédures légales ont souvent entraîné l'exécution des prisonniers.
Les estimations du nombre de morts varient d'un endroit à l'autre : près de 9 000 en RSS d'Ukraine, 20 000 à 30 000 en Pologne orientale (qui fait maintenant partie de l'Ukraine occidentale), le nombre total atteignant environ 100 000 victimes d'exécutions extrajudiciaires en l'espace de quelques semaines. Le lancement de l'opération Barbarossa a surpris le NKVD, dont les prisons et les établissements pénitentiaires des territoires annexés par l'Union soviétique au lendemain du pacte Molotov-Ribbentrop étaient remplis de prisonniers politiques. Dans l'est de la Pologne occupée, le NKVD a été chargé d'évacuer et de liquider plus de 140 000 prisonniers (ordre d'évacuation du NKVD n° 00803). En Ukraine et en Biélorussie occidentale, 60 000 personnes ont été contraintes d'évacuer à pied. Selon le décompte officiel soviétique, plus de 9 800 personnes auraient été exécutées dans les prisons, 1 443 dans le cadre du processus d'évacuation, 59 pour avoir tenté de s'échapper, 23 par les bombes allemandes et 1 057 pour d'autres raisons.
Des Allemands ethniques assassinés dans une prison du GPU de Ternopil, en Ukraine, à l'approche des troupes allemandes, sont identifiés par leurs proches le 10 juillet 1941.
« Ce n'est pas seulement le nombre de personnes exécutées », a écrit l'historien Yury Boshyk, cité par Orest Subtelny, à propos des meurtres, « mais aussi la manière dont ils sont morts qui a choqué la population. Lorsque les familles des personnes arrêtées se sont précipitées dans les prisons après l'évacuation soviétique, elles ont été horrifiées de découvrir des corps si gravement mutilés que beaucoup ne pouvaient être identifiés. Il était évident que beaucoup de prisonniers avaient également été torturés avant de mourir ; d'autres ont été tués en masse ».
Environ deux tiers des 150 000 prisonniers ont été assassinés ; la plupart des autres ont été transportés à l'intérieur de l'Union soviétique, mais certains ont été abandonnés dans les prisons s'il n'y avait pas le temps de les exécuter, et d'autres ont réussi à s'échapper. Le NKVD a tué des prisonniers dans de nombreux endroits, de la Pologne à la Crimée. Immédiatement après le début de l'invasion allemande, le NKVD a commencé à exécuter un grand nombre de prisonniers dans la plupart de ses prisons, et il a évacué le reste dans des marches de la mort. La plupart d'entre eux étaient des prisonniers politiques, qui ont été emprisonnés et exécutés sans procès. Les massacres ont ensuite été documentés par les autorités allemandes d'occupation et ont été utilisés dans la propagande antisoviétique et antijuive. Après la guerre et ces dernières années, les autorités ont identifié pas moins de 25 prisons dont les prisonniers ont été tués et un nombre beaucoup plus important de sites d'exécution de masse.
Le massacre de Lviv
Lviv (Lwów dans la Pologne d'avant-guerre) : les massacres dans cette ville ont commencé immédiatement après l'attaque allemande, le 22 juin et se sont poursuivis jusqu'au 28 juin. Le NKVD a exécuté plusieurs milliers de détenus dans plusieurs prisons provisoires. Parmi les méthodes d'extermination les plus courantes, on tirait sur les prisonniers dans leurs cellules, on les tuait à l'aide de grenades lancées dans les cellules ou on les affamait dans les caves. On estime que plus de 4000 personnes ont été tuées de cette façon, alors que le nombre de survivants est estimé à environ 270.
Un soulèvement ukrainien a brièvement forcé le NKVD à battre en retraite, mais il est rapidement revenu pour tuer les prisonniers restants dans leurs cellules. Par la suite, des étudiants en médecine ont décrit la scène dans l'une des prisons :
« De la cour, les portes menaient à un grand espace, rempli de haut en bas de cadavres. Ceux du bas étaient encore chauds. Les victimes avaient entre 15 et 60 ans, mais la plupart avaient entre 20 et 35 ans. Elles étaient allongées dans des poses variées, les yeux ouverts et le visage couvert d'un masque de terreur. Parmi elles se trouvaient de nombreuses femmes. Sur le mur gauche, trois hommes ont été crucifiés, à peine recouverts par les vêtements de leurs épaules, avec des organes masculins sectionnés. En dessous d'eux, sur le sol, à moitié assis et penchés, deux religieuses avec ces organes dans la bouche. Les victimes du sadisme du NKVD ont été tuées d'une balle dans la bouche ou à l'arrière de la tête. Mais la plupart ont été poignardées dans l'estomac à l'aide d'une baïonnette. Certaines étaient nues ou presque nues, d'autres en vêtements de ville décents. Un homme était en cravate, probablement juste arrêté. » Zoom - Le pogrom de Lviv Les Soviétiques sont chassés de Lwów (Lviv) par l'offensive allemande contre l'URSS (opération Barbarossa) déclenchée le 22 juin 1941.
Les l’entrée de l’armée allemande à Lwów, les portes des prisons furent ouvertes et l'importance du massacre des prisonniers du NKVD, perpétré par les Soviétiques, fut révélée. On estime le nombre de victimes à la prison de Brygidki à 10 000, même si plus tard les enquêtes allemandes ramèneront les estimations à un total de 4 000 victimes. Le rapport rédigé par le juge Möller indiquait que les juifs étaient responsables des atrocités soviétiques.
Peu après l'arrivée des Allemands en ville, les rétorsions contre les Juifs commencèrent, perpétrés par des nationalistes ukrainiens qui leur reprochaient d’être restés. Avant ces massacres, la ville se trouve en zone d'occupation soviétique à la suite de la double invasion menée en 1939 par les Allemands à l'ouest et les Soviétiques à l'est. L'occupation soviétique s'est traduite par de nombreux assassinats et déportations dont furent victimes les habitants polonais, ukrainiens et juifs jugés comme ennemis du régime tandis que beaucoup de juifs faisaient partie des rangs du NKVD, ce qui contribua à l'exacerbation de l'antisémitisme de la population ukrainienne nationaliste, d'ailleurs également hostile aux Polonais (majoritaires). ------------------------------------------------------------------------------------
Attribution mensongère du massacre de Vinnytsia aux “nazis“ puis occultation du site par les Soviétiques.
Lorsque les armées allemandes envahirent l'Union soviétique lors de l'opération Barbarossa, elles mirent au jour, sur information, plusieurs charniers secrets contenant les corps de milliers de victimes de la terreur rouge du NKVD, la police politique secrète soviétique. Les plus connus furent ceux de Katyn près de Smolensk, en Russie, à la frontière avec la Biélorussie, de Bykivnia dans la banlieue de Kiev et de Vinnytsia également en Ukraine. Environ 30 000 personnes furent arrêtées en 1937 et 1938 dans la seule région de Vinnytsia. Vingt-huit mille passèrent par la prison de la ville. Pratiquement toutes disparurent, beaucoup étant exécutées à la chaîne dans le garage du NKVD, qui disposait d'une évacuation des eaux adaptée à l'écoulement du sang. D'après A. Sutton Khrouchtchev aurait été l'un des superviseurs des exécutions de Vinnytsia.
Lorsque les Allemands occupèrent la ville de Vinnytsia, les édiles leur indiquèrent en mai 1943 qu'il existait des fosses communes, rue Lytinska. Des témoins indiquèrent les lieux exacts où les corps furent enterrés : un verger, un parc et un cimetière. Les Allemands organisèrent alors des fouilles. Elles commencèrent en juin 1943. Quatre-vingt-onze fosses furent identifiées et ouvertes ; elles contenaient 9 432 corps dont 149 de sexe féminin ; 5 644 corps se trouvaient dans le verger. On renonça à fouiller complètement le parc.
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Une évacuation des eaux adaptée à l’écoulement du sang
A Vinnytsia, les bolchéviques ont exécuté des milliers de personnes par balles dans le garage du NKVD, qui disposait d'une évacuation des eaux adaptée à l'écoulement du sang.
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Les rapports soulignèrent que les moyens de datation disponibles permettaient d'affirmer que les assassinats avaient été effectués en 1937 et en 1938, soit plusieurs années avant l'invasion allemande. Ils indiquèrent que toutes les victimes avaient été tuées par balle, les mains liées derrière le dos et qu'il s'agissait d'une part, pour la grande majorité, d'Ukrainiens de souche de conditions populaires (ouvriers et paysans) et pour certains d'entre eux de personnes d'origine polonaise. 670 corps furent explicitement identifiés, la plupart par leurs proches lors des visites d'identification organisées à cette fin, dont 28 étaient d'origine polonaise.
Les jeunes femmes étaient enterrées nues. Beaucoup de crânes présentaient des enfoncements liés à l'emploi d'objets contondants, laissant supposer qu'elles avaient été achevées si les deux balles de 22 long rifle s'étaient avérées insuffisantes. Les corps exhumés furent finalement à nouveau enterrés dans le cadre d'une cérémonie religieuse conduite par le métropolite Vissarion d'Odessa et un nombreux clergé orthodoxe, en présence de représentants d'églises étrangères. Un monument fut érigé à la mémoire des victimes de la “terreur stalinienne“..
Lorsque les Soviétiques reprirent le contrôle de la région, ils commencèrent par changer le texte de la stèle de Vinnytsia désormais en hommage aux “victimes de la terreur nazie“. Comme à Katyn, à Bykivnia et dans les autres charniers découverts par les Allemands, la propagande officielle de l'URSS attribuera les massacres aux nazis et interdira toute enquête. Puis les autorités communistes détruiront tout et construiront un parc de jeux et une piste de danse sur la partie du site qui était dans le parc public.
À la suite de la dislocation de l'Union soviétique et de l'indépendance de l'Ukraine, un nouveau monument a été érigé dans le parc à la mémoire des “victimes du totalitarisme“, un terme équivoque qui ne fait pas l'unanimité. À l'instar des autres charniers découverts à Kiev, Jytomyr, Kamianets-Podilskyï ou Ternopil, les gouvernements ukrainiens successifs font peu d'efforts pour étudier et aménager les sites. Les autorités actuelles de la ville de Vinnytsia interdisent l'érection de monuments nouveaux. Le site ne figure pas dans les guides touristiques.
Les crimes soviétiques de Bykivnia attribués jusqu’en 2008 à la "barbarie nazie". Le village de Bykivnia est situé près de Kiev (capitale de l'Ukraine). Les personnes exécutées par le NKVD y ont été enterrées entre 1936 et 1941, dans la forêt de Darnytsia. Les premières victimes, de la prison de Lukianivka, ont été enterrées ici à la fin des années 1920. Officiellement, la construction d'une zone spéciale pour les enterrements secrets a commencé en 1936. Dès lors, les victimes du régime communiste y ont été enterrées secrètement et systématiquement.
Les estimations se situent entre 30.000 et 100.000 victimes, bien que certains disent que le nombre est plus élevé. Un fait généralement admis est que 100.000 est le minimum. Des objets appartenant à des officiers polonais ont également été trouvés ici. On a découvert qu'ils appartenaient à 3 400 victimes du massacre de Katyn de 1940, lorsque 21 000 officiers polonais ont été exécutés par le NKVD.
Trois enquêtes furent exigées par les témoins pendant la période soviétique : toutes conclurent que la fosse commune contenait le corps de victimes de la "barbarie nazie". Un monument fut même érigé en 1988 portant mention de cette attribution fausse. Il fallut attendre l'indépendance de l'Ukraine pour que des études honnêtes commencent sur le site et un rapport des autorités ukrainiennes de 2008 pour que les victimes soient réattribuées officiellement à la répression stalinienne.
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Références : Wikipedia : NKVD prisoner massacre.// Lviv museum recounts Soviet massacres : https://web.archive.org/web/20190115065512/http://www.cdvr.org.ua/content/lviv-museum-recounts-soviet-massacres // Hiroaki Kuromiya, The Voices of the Dead: Stalin's Great Terror in the 1930s, 2007. // Hiroaki Kuromiya, The Voices of the Dead: Stalin's Great Terror in the 1930s, 2007.
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La revendication des "80 000 Juifs abattus et jetés dans le Danube".
Un ajout relativement récent à l'histoire de l'Holocauste est l'affirmation selon laquelle au moins 80 000 Juifs ont été abattus sur les rives du Danube dans la capitale hongroise, Budapest, à la fin de 1944 et au début de 1945. Les corps ont été, selon l'allégation, ensuite jetés dans le fleuve.
Selon les "narrateurs de l’Holocauste", ces victimes étaient des Juifs apparemment choisis au hasard dans la ville par des membres du parti des Croix fléchées alors au pouvoir. C'est ainsi que le musée officiel israélien de l'Holocauste, Yad Vashem, décrit les événements :
« Près de 80 000 Juifs ont été tués à Budapest même, abattus sur les rives du Danube puis jetés dans le fleuve. »
Les "preuves" utilisées pour "prouver" cette allégation se limitent à une poignée de récits douteux de "survivants", et à une ou deux photographies. Ces éléments sont examinés ci-dessous.
Avant cela, cependant, il est utile de comprendre qu'il y a deux problèmes pratiques majeurs avec l'ensemble de l'allégation de "fusillade massive le long du fleuve".
Problème 1 : La question physique des 80 000 corps dans le Danube
Tout d'abord, l'espace pur que 80 000 corps occuperaient bloquerait littéralement le Danube, qui traverse le centre de Budapest.
L'espace qu'occuperaient 80 000 corps serait d'environ 368 000 pieds carrés. On ne prétend pas, bien sûr, que 80 000 corps ont été déversés dans le fleuve d'un seul coup, mais l'effet cumulatif serait le même, même si le courant du fleuve emportait de nombreux corps en aval.
À un moment donné, quelque part, une énorme masse de cadavres serait apparue, qui constituerait un ensemble de preuves incontestables, et serait enregistrée. Il n'existe aucune preuve de ce type.
Deuxièmement, la quantité de munitions nécessaires pour abattre 80 000 personnes serait immense. Les bourreaux de la Croix fléchée auraient dû utiliser au moins 80 000 balles (s'il s'agissait d'exécutions "en un seul coup"), et probablement plus. Cela représenterait bien plus de 1 016 kilogrammes de plomb déversés dans la rivière. Cela laisserait également une trace impossible à dissimuler.
Problème 2 : la durée du contrôle de Budapest par les Croix fléchées
Le deuxième problème physique majeur de l'histoire de la "fusillade de masse" à Budapest est le fait que le Parti des Croix fléchées n'a eu le contrôle physique de la ville que du 15 octobre au 26 décembre 1944, soit 72 jours au total.
Cela s'explique par le fait que le Parti des Croix fléchées a été désigné comme le parti au pouvoir le 15 octobre, après la destitution du leader de longue date de la Hongrie, l'amiral Horthy (qui voulait se rendre et rejoindre les Soviétiques contre l'Allemagne). Le 26 décembre, l'armée soviétique a encerclé et assiégé la ville, et la bataille qui s'en est suivie a été l'un des sièges les plus sanglants de toute la guerre. La ville se rendit le 13 février 1945, après que les dernières unités des armées hongroise et allemande aient été coincées dans une petite poche sur la rive près du palais de Budavár, loin du centre ville.
Les conditions de combat, y compris le bombardement par l'artillerie terrestre et les attaques aériennes constantes de l'Armée de l'air rouge, auraient rendu impossible la réalisation de "massacres" pendant le siège.
Cela signifie que si l'affirmation selon laquelle 80 000 Juifs ont été abattus et jetés dans le Danube est vraie, alors les hommes des Croix fléchées auraient dû abattre 1 112 Juifs par jour, chaque jour, ou 46 par heure, 24 heures sur 24 - s'ils travaillaient à plein temps à ne rien faire d'autre. C'est très peu probable, et un tel massacre 24 heures sur 24 laisserait des milliers de témoins et une énorme masse de preuves - toutes absentes.
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Références : The Writtings of Peter Winter, The “80,000 Jews Shot and Thrown in the Danube” Claim. Blog https://peterwinterwriting.blogspot.com/2020/08/the-80000-jews-shot-and-thrown-in.html
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Les 34 000 Juifs pendus aux lampadaires et brûlés par les Roumains à Odessa.
Le prétendu massacre d’Odessa, appelé parfois « le petit Babi Yar » (qui est aussi mensonger que le « grand », - Ed.), est parmi les plus importants de la Seconde Guerre mondiale après ceux des camps d’extermination. Selon l’histoire officielle soviétique, entretenue encore aujourd’hui par l’Ukraine aux dépends des Roumains exhortés « d’assumer leur passé », 5 000 Juifs sont exécutés, « pendus en groupes de 3 à 5 victimes à chaque lampadaire le long des boulevards d'Odessa », et entre 25 000 et 34 000 abattus ou brûlés vifs en octobre 1941 par les forces roumaines sous contrôle allemand. Le chiffre de 22 500 juifs tués est avancé dans un rapport coordonné par Elie Wiesel (rapport officiel assumé par l’Etat roumain). Le Musée mémorial américain de l'Holocauste, quant à lui, soutient que « les forces roumaines et allemandes ont tué presque 100 000 juifs à Odessa pendant l'occupation de la cité ».
Les prétendus massacres commencèrent le 22 octobre 1941, six jours après l’entrée des troupes roumaines à Odessa, après un attentat par des partisans soviétiques contre le quartier général roumain de la ville tuant le général Ioan Glogojeanu, commandant d’Odessa, 16 officiers, 46 sous-officiers et soldats roumains ainsi que 4 officiers de marine allemands. Le bilan a fait 135 victimes. Le soir même, le général Ion Antonescu aurait ordonné des représailles implacables contre la population civile, en particulier contre les Juifs, prétendant, conformément à sa propagande, que “tous les Juifs sont communistes“. Plus de 100 000 Juifs ukrainiens, au total, auraient été massacrés jusqu’à l’hiver 1942 dans la métropole de la mer Noire et dans les territoires environnants. Il est cependant peu probable que le nombre de victimes, compte tenu du manque de preuves matérielles entourant ces exactions, puisse dépasser quelques dizaines à Odessa.
Image à gauche, maquette du Musée de l’Holocauste d’Odessa des entrepôts de munitions dans lequel 24 000 juifs (30 000 selon d’autres sources) auraient été enfermés à l’intérieur puis mitraillés à travers des orifices percés dans les murs et leurs cadavres aspergés d’essence et brûlés. A droite, Mihail Zaslavsky, 93 ans en 2018, présenté comme l’unique survivant connu du massacre lorsqu’il a « échappé aux Nazis », âgé de 16 ans au moment des faits.
Cette photographie, à gauche, montrant sept personnes pendues à une potence improvisée semble la seule présentée publiquement pour attester de la pendaison de pourtant 5000 Juifs aux lampadaires de la métropole de la mer Noire en octobre 1941. A droite, quelques corps jonchant le sol à Byrzula (aujourd’hui Podilsk), ville située à 168 km au nord-ouest d’Odessa. Cette image sert également à témoigner de massacres de Juifs dans les territoires alentours.
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Références :
Wikipedia : Massacres d’Odessa (1941) // Site Odesskiy.com - Odessa, octobre 1941. Mémoire (en russe)http://odesskiy.com/chisto-fakti-iz-zhizni-i-istorii/odessa-oktjabr-1941-god-pamjat.html
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Propagande sur l’Allemagne (Partie IV)
« La Judée déclare la guerre à l’Allemagne »
Daily Express (GB) – 24 mars 1933
1933 - « Une » du Daily Express de Londres du 24 mars 1933 qui avait pour titre, à peine quelques semaines après la nomination du nouveau chancelier de l’époque, Adolf Hitler : « Judea declares war on Germany », « La Judée déclare la guerre à l’Allemagne ». L’arme principale qu’on disait vouloir utiliser pour cette guerre nous est immédiatement donnée par le sous-titre : « Boycott of Germans Goods », « Boycott des produits allemands ».
John Wear :
« Bien que ce ne soit pas un crime, il est un fait qu'Adolf Hitler a fait de nombreuses remarques désobligeantes sur les Juifs tout au long de sa carrière politique. Ce passage de Mein Kampf est typique :
« La vie que le Juif mène en tant que parasite qui se nourrit de la substance des autres nations et États a eu pour conséquence de développer le caractère spécifique que Schopenhauer a décrit un jour lorsqu'il a parlé des Juifs comme "le grand maître du mensonge". Le type d'existence qu'il mène contraint le Juif à l'utilisation systématique du mensonge, tout aussi naturellement que les habitants des climats nordiques sont contraints de porter des vêtements chauds". »
Les organisations juives ont été très offensées par de telles déclarations et n'ont pas perdu de temps pour tenter de saper le régime national-socialiste d'Hitler. En mars 1933, elles ont appelé à un boycott mondial de durée illimitée des produits fabriqués en Allemagne. Le gouvernement allemand a répondu le 1er avril 1933 par un boycott d'une demi-journée des magasins juifs en Allemagne. Ce dernier acte a fait la une des journaux du monde entier comme preuve de la "brutalité nazie", tandis que le boycott juif beaucoup plus étendu et nuisible des marchandises allemandes qui a duré des années n'a pratiquement jamais été mentionné. »
Hitler, Adolf, Mein Kampf, translated by James Murphy, London: Hurst and Blackett Ltd., 1942, p. 173.
John Wear, German’s War,
« Les Nazis veulent détruire les Juifs »
Arizona Republic (USA) – 23 novembre 1938
1938 - La "Nuit de cristal" est le nom qui a été donné à la nuit du 9 au 10 novembre 1938. Dans presque toutes les grandes villes allemandes et dans certaines plus petites cette nuit-là, les vitrines des magasins juifs ont été brisées, des maisons et des appartements juifs ont été détruits, et des synagogues ont été démolies et incendiées. De nombreux Juifs ont été arrêtés, certains ont été battus et d'autres ont même été tués. La "Nuit de cristal du Reich" (Reichskristallnacht) fut l'un des événements les plus honteux de l'Allemagne national-socialiste. Bien que les Juifs aient souffert au début, le plus grand tort a finalement été causé à l'Allemagne et au peuple allemand.
« Tueries au gaz toxique »
Dziennik Polski (PO) – 11 juillet 1942
1942 – Le 11 juillet 1942, la résistance polonaise diffuse des informations exorbitantes dans son bulletin Dziennik Polski faisant état de vastes tueries de Juifs en Pologne et dans les territoires voisins. L’article ci-dessus est titré "Le massacre des Juifs".
Quelques extraits :
"La situation des Juifs est encore pire. L'affaire du ghetto de Varsovie est bien connue. La faim, la mort et les maladies menacent continuellement et systématiquement la population juive. Dans la région de Lublin, la nuit du 23 au 24 mars [1942], la population juive a été déportée. Les malades et les handicapés sont tués sur place. Tous les enfants âgés de 2 à 3 ans de l'orphelinat, au nombre de 108, ont été envoyés hors de la ville avec leurs infirmières et assassinés. Au total, 2 500 personnes ont été assassinées cette nuit-là, tandis que les 26 000 autres ont été envoyées dans les camps de Bełżec et de Treblinka." […] D'après les rapports de Bełźec et de Treblinka, la tuerie se poursuit à l'aide de gaz toxique. Meurtres de masse à Rawa Ruska et Bilgoraj où les communautés juives ont cessé d'exister. […] A Mielec, un total de 1 300 personnes ont été tuées le 9 mars. 2 000 Juifs ont été tués à Mir ; 2 500 à Nowogródek ; 1 800 à Wołożyn ; 4 000 à Kojdanów. De Hambourg, 30 000 Juifs ont été amenés à Minsk ; ils ont tous été abattus. À Lwów, on en compte 30 000, à Vilna 60 000, à Stanisławów environ 15 000, à Tarnopol 5 000, à Złoczów 2 000, à Brzeżany 4 000 Juifs assassinés. Les meurtres de Juifs sont également commis à Tarnów, Radom, Zborów, Kołomyja, Sambor, Stryj, Drohobycz, Zbaraż, Brody, Przemyśl, Kolo et Dąbie.
Sous la contrainte de creuser leurs propres tombes, les fusillades à la mitrailleuse et les meurtres à la grenade, voire l'empoisonnement au gaz sont les méthodes quotidiennes de destruction du peuple juif, alors qu'il est entendu que même comme à Lwów, les communautés juives elles-mêmes ont dû dresser la liste des criminels".
Massacres de survivants « en masse »
The Evening Post (NZ) – 25 novembre 1942
Avec les Nazis même les survivants trépassent.
1942 – Dans son édition du 25 novembre 1942, le journal néo-zélandais The Evening Post titre sur "L’extermination des Juifs en Europe – Une terrible histoire". Dans un paragraphe intitulé " L'ignoble technique d'Himmler", l’article dénonce les intentions du chef de la Gestapo, Himmler, de vouloir tuer la moitié des Juifs de Pologne rapidement par fusillades ou bien en les enfermant dans des wagons dont l’intérieur est peint de chaux-vive.
Extrait :
« Himmler, chef de la Gestapo, a ordonné que l'extermination de la moitié de la population juive de Pologne soit achevée avant la fin de 1942, selon les informations reçues par le gouvernement polonais à Londres. Les Allemands ont mobilisé des bataillons spéciaux sous le commandement d'hommes de la SS pour exécuter ce plan. Les victimes prises dans les rues sont emmenées dans un cimetière et fusillées. D'autres sont chargées dans des camions de marchandises au rythme de 150 à un camion normalement prévu pour 40 personnes. Le sol du wagon est recouvert d'une épaisse couche de chaux et éclaboussé d'eau, et les portes sont scellées. Les trains sont laissés en place pendant plusieurs jours. Les gens sont tellement entassés que certains meurent de suffocation. Ceux-ci sont laissés à l'intérieur du wagon et ceux-ci meurent lentement avec les vapeurs de chaux et de chlore et le manque d'air, d'eau et de nourriture. Ceux qui survivent encore sont envoyés dans des camps spéciaux à Treblinka, Belzec et Sobibór où ils sont massacrés en masse. »
« Injections de bulles d’air dans les artères »
Endicott Daily Bulletin (USA) – 25 décembre 1942
1942 – La presse américaine, ici l’Endicott Daily Bulletin du 25 décembre 1942, confirme "Le plan nazi pour tuer tous les Juifs". L'article faisait partie des centaines d'articles publiés dans tout le pays pour informer le public de la volonté d’exterminer les Juifs. « Plus de deux millions de Juifs dans l’Europe d’Hitler ont déjà été assassinés », lit-on. Le chef du Congrès juif mondial, le rabbin Stephen Wise fait la prédiction que les plans du dictateur allemand sont d’exterminer « l’ensemble des quatre millions de Juifs que compte l’Europe dans les quelques semaines restantes de 1942 ». Selon ses informations « les médecins d’Hitler injectent des bulles d’air dans les artères et utilisent du gaz mortel pour se débarrasser des Juifs ». Il ajoute : « Les Nazis offrent 50 reichsmark pour chaque corps de juif ».
Électrocution massive de Juifs à Belzec
1943 - Un rapport choquant sur les électrocutions massives de Juifs au camp de concentration de Belzec.
Le texte se lit comme suit :
« A Belzec, il y a un camp spécial pour les exécutions de masse par électrocution. Selon les dernières informations, 80.000 Juifs y ont été tués en l'espace de deux mois. Sur les 30.000 Juifs de Lublin, il n'en reste que 2.500. Soixante-dix pour cent d'entre eux sont des femmes. Depuis le 22 juillet à Varsovie, plusieurs dizaines, parfois centaines de Juifs ont été tués chaque jour. Selon les informations fournies par le Conseil national polonais, plus d'un million de Juifs ont été assassinés par les nazis en Pologne depuis septembre 1939.»
Le ghetto de Varsovie exterminé par les Nazis
The Evening Sentinel (USA) – 14 mai 1943
1943 – Ce journal de Pennsylvanie cite les propos du secrétaire général du Congrès juif mondial le rabbin Irving Miller qui tiendrait ses informations de sources polonaises. Les Allemands, à l’aide de fusils et de tanks, auraient délogé les derniers 40 000 Juifs du ghetto de Varsovie. « Toutes les personnes vivantes ont été soit massacrées, soit déportées dans une autre partie du pays. » Le rabbin rapporte également que 75 000 Juifs de Yougoslavie ont été effacés de la carte par les Nazis, qui n’ont laissé en vie que 10 000 d’entre eux.
Il estime par ailleurs que la population juive d’Europe, de 8 250 000 en 1939 a chuté à 4 500 000 avec au moins 2 millions de morts.
Aujourd'hui, personne ne croit que 40.000 Juifs ont été assassinés dans le ghetto de Varsovie, comme le prétendait ce premier rapport - en fait, les Allemands y ont rassemblé 50.000 Juifs afin de les déplacer vers un endroit plus sûr parce que l'armée de l'air soviétique avait commencé à pilonner Varsovie avec des bombardements incessants.
Les tapis roulants électriques de la mort
Liverpool Daily Post (GB) – 3 février 1945
Germar Rudolf :
« Il est un fait peu connu que, à côté des chambres à gaz scientifiquement invraisemblables d'Auschwitz, se trouvaient les tapis roulants électrifiés de la mort. Ces tapis d'abattage industrialisés, on peut le supposer, prenaient la cargaison passive directement dans les "wagons à bestiaux" et électrocutaient sans lutte les malheureuses victimes puis disposaient des preuves dans les fours nazis. On ne peut que deviner les "dispositifs spéciaux" pour tuer les enfants. »
Texte
MEURTRES SUR BANDES TRANSPORTEUSES
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Usine de meurtres allemande
Moscou, vendredi - Des enquêtes spéciales sont en cours pour découvrir les secrets de l'usine allemande d'Oswiecim, dans le sud-ouest de la Pologne. Chaque jour, cinq à huit trains verrouillés arrivent avec des victimes des régions occupées de Russie et de Pologne. France, Yougoslavie et Tchéquie-Slovaquie. Les prisonniers étaient triés à leur arrivée en deux sections : ceux qui étaient aptes à faire un travail utile avant d'aller aux chambres d'abattage, et les vieillards, les très jeunes et les invalides qui étaient immédiatement détruits. Lorsque les Allemands ont ouvert le camp en 1941, ils tuaient "primitivement", c'est-à-dire en tirant par l'arrière de la tête. Ils ont ensuite introduit l'abattage mécanisé avec des chambres à gaz, des bandes transporteuses chargées électriquement qui tuaient simultanément les victimes et transportaient leurs corps vers les fours, ainsi que des dispositifs spéciaux pour tuer les jeunes enfants. Des milliers de prisonniers ont été libérés par l'avance de l'Armée rouge.-Reuter.
Mort d’Hitler : Staline veut des preuves
Journal français (indéterminé) – Circa 30 avril 1945
La seule fois où Staline exprime la nécessité d’une expertise alliée… « La mort de Hitler ne sera certaine que lorsqu’une commission alliée aura identifié le corps » .
Analyse :
« Cela n'empêche pas Staline de déclarer, fin mai à une délégation américaine, dirigée par William Averell Harriman, que Hitler n'est pas mort mais qu'il se cache dans un lieu inconnu avec Bormann et le général Krebs ; par la suite il déclare que le Führer s'est enfui au Japon en sous-marin, en Argentine ou en Espagne. La rumeur de survie d'Hitler se développe vraiment lorsque le maréchal Joukov s'adresse à la presse le 9 juin, déclarant : « Nous n'avons pas identifié le corps du Führer. Je ne peux rien dire de définitif sur son sort. Il peut s'être envolé de Berlin au dernier moment ». Joukov et les hauts gradés de l’armée russe sont tenus dans l’ignorance de l'autopsie qui a permis d'identifier le corps d'Hitler. »
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La version juive de l’Holocauste
« Si l'Holocauste est discutable, alors tout est discutable. » - Deborah Lipstadt
Elie Wiesel, en référence à ses propres écrits sur l'Holocauste : « Les choses ne sont pas si simples, Rebbe. Certains événements ont eu lieu mais ne sont pas vrais ; d'autres le sont bien qu'ils ne se soient jamais produits. »
Legends of our Time, Rinehart & Winston, 1968, p. 8.
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Au dessus, photos non retouchées montrant trois jeunes soldats allemands exécutés par un peloton d'exécution, décembre 1944. Tiré de Life magazine, 1946. Croquis étrangement similaire de Simon Wiesenthal, daté de "1945", montrant une exécution dans un camp nazi. Extrait de son livre "KZ Mathausen" de 1946.
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Simon Wiesenthal, le frauduleux "chasseur de nazis"
L’historien américain Mark Weber :
Le mythe de Mathausen
« Avant de devenir célébre en tant que "chasseur de nazis" juif, il s'est fait un nom en tant que propagandiste. En 1946, Wiesenthal a publié KZ Mauthausen, un ouvrage de 85 pages qui consiste principalement en ses propres croquis d'amateur prétendant représenter les horreurs du camp de concentration de Mauthausen. Un des dessins représente trois détenus qui avaient été attachés à des poteaux et brutalement mis à mort par les Allemands.
Le croquis est complètement faux. Il a été copié - avec quelques modifications mineures - à partir de photographies publiées dans le magazine Life en 1945, qui illustrent l'exécution par peloton d'exécution en décembre 1944 de trois soldats allemands qui avaient été pris en train d'espionner derrière les lignes pendant la "Bataille des Ardennes".
Le caractère irresponsable de ce livre est également démontré par le fait que Wiesenthal y cite abondamment la prétendue "confession de lit de mort" du commandant de Mauthausen Franz Ziereis, selon laquelle quatre millions de personnes ont été gazées à mort avec du monoxyde de carbone dans le camp satellite de Hartheim situé à proximité. Cette affirmation est totalement absurde, et aucun historien sérieux de l'Holocauste ne l'accepte encore. Toujours selon les "aveux" de Ziereis cités par Wiesenthal, les Allemands auraient tué dix millions de personnes supplémentaires en Pologne, en Lituanie et en Lettonie. En fait, ces "aveux" frauduleux ont été obtenus par la torture.
“Fabrications" sur Eichmann
En plus de 40 ans de "chasse aux nazis", le rôle du juif Wiesenthal dans la localisation et la capture d'Adolf Eichmann est souvent considéré comme sa plus grande réussite. (Eichmann dirigeait le département des affaires juives de la SS pendant la guerre. Il a été kidnappé par des agents israéliens en Argentine en mai 1960 et pendu à Jérusalem après un procès qui a reçu l'attention des médias du monde entier).
Mais Isser Harel, le fonctionnaire israélien qui a dirigé l'équipe qui s'est emparée d'Eichmann, a déclaré sans équivoque que le juif Wiesenthal n'avait "absolument rien" à voir avec cette capture. (Harel est un ancien chef du Mossad et du Shin Bet, les agences israéliennes de sécurité intérieure et extérieure).
Les affirmations de Wiesenthal et de ses nombreux amis concernant son rôle supposé crucial dans la capture de l'ancien officier SS, a déclaré Harel, n'ont aucun fondement dans les faits. De nombreuses affirmations et incidents spécifiques décrits dans deux livres de Wiesenthal, a déclaré le fonctionnaire israélien, sont "des fabrications complètes".
« Les rapports et les déclarations de Wiesenthal à cette époque prouvent sans aucun doute qu'il n'avait aucune idée de l'endroit où se trouvait Eichmann », a déclaré Harel. (Par exemple, juste avant la capture d'Eichmann en Argentine, Wiesenthal le plaçait au Japon et en Arabie Saoudite).
Harel résume ainsi les caractéristiques de Wiesenthal, qui est un opportuniste de premier plan :
« Toutes les informations fournies par Wiesenthal avant et en prévision de l'opération [Eichmann] étaient totalement sans valeur, et parfois même trompeuses et de valeur négative. »
Faux sur Mengele
« Le juif Wiesenthal a annoncé en 1985 qu'il était "sûr à 100 %" que Mengele s'était caché au Paraguay jusqu'en juin 1984 au moins, et a accusé la famille Mengele en Allemagne de savoir exactement où. Il s'est avéré que Wiesenthal avait complètement tort. Il a ensuite été définitivement établi que Mengele était mort en 1979 au Brésil, où il avait vécu pendant des années dans l’anonymat et la pauvreté. »
Le “savon humain“
« Wiesenthal a fait circuler et créditer l'une des histoires les plus calomnieuses de l'Holocauste, l'accusation selon laquelle les Allemands auraient fabriqué du savon à partir des cadavres de Juifs assassinés. Selon ce récit, les lettres "RIF" dans les barres de savon fabriquées en Allemagne signifieraient "graisse juive pure" ("Rein jüdisches Fett"). En réalité, les initiales signifiaient "Centre national pour l'approvisionnement industriel en graisse" ("Reichstelle für industrielle Fettversorgung").
Wiesenthal a fait la promotion de la légende du "savon humain" dans des articles publiés en 1946 dans le journal de la communauté juive autrichienne Der Neue Weg ("La nouvelle voie"). Dans un article intitulé "RIF", il écrit : "Les terribles mots "transport pour savon" ont été entendus pour la première fois à la fin de 1942. C'était dans le gouvernement général [polonais], et l'usine se trouvait en Galice, à Belzec. D'avril 1942 à mai 1943, 900 000 juifs ont été utilisés comme matière première dans cette usine". Après que les cadavres aient été transformés en diverses matières premières, Wiesenthal écrivit :
« Le reste, les graisses résiduelles, était utilisé pour la production de savon [graisse de juif]. »
Incompétence et arrogance
Eli Rosenbaum, fonctionnaire du Bureau des enquêtes spéciales sur la "chasse aux nazis" du gouvernement américain et enquêteur pour le Congrès juif mondial, s'est attaqué à la réputation de "chasseur de nazis" soigneusement cultivée de Wiesenthal dans un livre détaillé de 1993, intitulé Betrayal (Trahison), dans lequel Rosenbaum mentionne par exemple que Wiesenthal "avait tous ces rapports plaçant Mengele dans presque tous les pays d'Amérique latine sauf celui dans lequel il se trouvait, à savoir le Brésil".
Wiesenthal, a écrit Rosenbaum, a été un enquêteur "pathétiquement inefficace" qui était "allé bien au-delà des bouffonneries et des fausses vantardises des années précédentes". Une grande partie de son illustre carrière, selon Rosenbaum, a été caractérisée par "l'incompétence et l'arrogance".
Le Chancelier autrichien Bruno Kreisky, lui-même d'origine juive et leader pendant de nombreuses années du Parti socialiste de son pays, a un jour résumé son attitude envers le "chasseur de nazis" en ces termes :
« L'ingénieur Wiesenthal, ou quel que soit son titre, me déteste parce qu'il sait que je méprise son activité. Le groupe Wiesenthal est une mafia quasi-politique qui travaille contre l'Autriche avec des méthodes honteuses. Wiesenthal est connu comme quelqu'un qui ne fait pas très attention à la vérité, qui n'est pas très sélectif dans ses méthodes et qui utilise des astuces. Il prétend être le "chasseur d'Eichmann", même si tout le monde sait que c'est l'œuvre des services secrets et que Wiesenthal ne s'en attribue que le mérite. »
Commercialisation de l'Holocauste
Le centre Wiesenthal de Los Angeles verse au "chasseur de nazis" de Vienne 75 000 dollars par an pour l'utilisation de son nom, a déclaré en 1988 le directeur du centre israélien Yad Vashem pour l'Holocauste.
Le Centre et Wiesenthal "commercialisent" et "banalisent" tous deux l'Holocauste, a ajouté le directeur.
Wiesenthal a "balancé" le chiffre de "11 millions de personnes qui ont été assassinées pendant l'Holocauste - six millions de juifs et cinq millions de non-juifs", a déclaré le responsable de Yad Vashem. Lorsqu'on lui a demandé pourquoi il a donné ces chiffres, le juif Wiesenthal a répondu : "Les gentils ne feront pas attention si nous ne mentionnons pas leurs victimes aussi". Wiesenthal "a choisi "cinq millions (de gentils)" parce qu'il voulait un chiffre "diplomatique", un chiffre qui parlerait d'un grand nombre de victimes des gentils mais qui ne serait en aucun cas plus grand que celui des juifs...".
"Ce que font Wiesenthal et le Los Angeles Center qui porte son nom, c'est de banaliser l'Holocauste", a commenté The Jewish Press, un hebdomadaire qui prétend être le journal communautaire juif anglophone le plus diffusé en Amérique.
Ces dernières années, Wiesenthal a été préoccupé par l'impact croissant du révisionnisme de l'Holocauste. Dans "Un message de Simon Wiesenthal" publié par le Centre qui porte son nom, il a déclaré "Aujourd'hui, quand je vois la montée de l'antisémitisme ici en Europe ... la popularité de Le Pen, de David Duke, des révisionnistes de l'Holocauste, je suis plus que jamais convaincu de la nécessité de notre nouveau [Centre Wiesenthal] Beit Hashoah-Musée de la Tolérance" à Los Angeles.
On demande souvent à Wiesenthal pourquoi il ne pardonne pas à ceux qui ont persécuté les juifs il y a un demi-siècle. Sa réponse habituelle est que, s'il a le droit de pardonner pour lui-même, il n'a pas le droit de pardonner au nom d'autrui, cependant en vertu de cette logique sophistique, il n'a pas non plus le droit d'accuser et de traquer quelqu'un au nom d'autrui. Wiesenthal n'a jamais limité sa "chasse" à ceux qui l'ont personnellement victimisé.
La haine comme moteur
Il est difficile de dire ce qui motive ce juif remarquable. Est-ce une soif de gloire et de louanges ? Ou essaie-t-il d’effacer un épisode honteux de son passé ?
Wiesenthal apprécie clairement les éloges qu'il reçoit. "C'est un homme à l'ego considérable, fier de ses témoignages et de ses diplômes honorifiques", a rapporté le Los Angeles Times. Bruno Kreisky a donné une explication plus simple. Il a dit que Wiesenthal est :
"Animé par la haine"
À la lumière de son passé bien documenté de tromperie, de mensonges et d'incompétence, les éloges extravagants dont cet homme méprisable a fait l'objet sont le triste reflet de la corruption vénale et de l'aveuglement sans principe de notre époque.
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Références : Mark Weber, Renegade Tribune, Simon Wiesenthal: Fraudulent ‘Nazi hunter’http://www.renegadetribune.com/simon-wiesenthal-fraudulent-nazi-hunter/ // M. Weber, “‘Nazi Hunter’ Caught Lying,” The Spotlight, 1981.
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Le procès pénal de Gerhard Forster et Jürgen Graf pour "discrimination raciale" à Baden, Suisse, en 1998
Le procès pénal de Gerhard Forster et Jürgen Graf pour "discrimination raciale" à Baden, Suisse, en 1998.
Juge Staubli : Vous considérez-vous comme un révisionniste ? Que signifie cette expression ?
Graf : Oui, je me considère comme un révisionniste. En général, le terme révisionniste s'applique aux historiens qui soumettent la version officielle de l'histoire à un examen critique. Les révisionnistes de l'Holocauste dont il est question ici contestent trois points essentiels : 1) l'existence d'un plan de destruction physique des Juifs ; 2) l'existence de camps d'extermination et de chambres à gaz d'exécution ; 3) le nombre de 5 à 6 millions de victimes juives. Le nombre exact de victimes n'est pas connu, car la documentation est incomplète. Personnellement, je suppose qu'il y en a moins d'un million.
Juge Staubli : Pensez-vous que les déclarations des témoins oculaires sont incroyables ? Graf : Oui. Supposons que trois témoins décrivent un prétendu accident de voiture. Le premier témoin dit que l'automobile a quitté l'autoroute, a pris feu et a explosé ; le deuxième dit que l'automobile a eu une collision frontale avec une voiture qui arrivait ; tandis que le troisième dit que l'automobile a heurté un pont, que le pont s'est effondré et que l'automobile est tombée dans une rivière. Que faites-vous ? Et que faites-vous lorsqu'il n'y a aucune épave de voiture à voir dans les environs, et qu'il n'y a ni pont ni rivière ? Les témoignages des témoins oculaires sur les gazages se contredisent sur tous les points possibles ; et lorsqu'ils sont d'accord, ils répètent sans cesse les mêmes impossibilités, ce qui les prive de toute crédibilité. Par exemple, de nombreux témoins affirment qu'à Auschwitz, trois corps ont été brûlés dans un moufle de four en trois quarts d'heure. La capacité réelle était d'un corps par moufle par heure ; la capacité déclarée par les témoins est donc exagérée au centuple. Cela prouve que les témoignages des témoins oculaires ont été coordonnés à l'avance. La manière exacte dont ces témoignages ont été coordonnés est connue dans les moindres détails. Juge Staubli : Dans l'introduction du livre d'Auschwitz, vous écrivez qu'il n'y a aucune preuve documentaire de l'extermination des Juifs dans les camps d'extermination. Maintenez-vous cette affirmation ? Graf : L'historien antirévisionniste Jacques Baynac, dans le "Nouveau Quotidien" du 3 septembre 1996, a écrit que l'absence de preuves rend impossible de prouver l'existence des chambres à gaz. En 1995, j’ai a passé près de deux mois dans deux archives de Moscou, avec Carlo Mattogno, où nous avons consulté 88 000 pages de documents d'Auschwitz, et des milliers de pages d'autres camps. Aucun document ne fait référence au gazage d'un seul juif. Cela ne nous a pas surpris, car si de tels documents avaient existé, les communistes les auraient présentés triomphalement au monde en 1945. Mais non, les documents ont disparu pendant 46 ans et n'ont été mis à la disposition des chercheurs qu'en 1991. Pourquoi ? Les documents allemands exposent très clairement les objectifs de la politique juive national-socialiste. Ils voulaient transférer les Juifs hors d'Europe et, entre-temps, pendant la guerre, ils ont utilisé leur force de travail. Juge Staubli : Dans "L'escroquerie de l'Holocauste", vous écrivez : "Après la guerre, les Juifs étaient toujours là ". Que voulez-vous dire par là ? Graf : Je veux dire que la plupart des Juifs dans la sphère d'influence allemande ont survécu. Rolf Bloch, président du Fonds de l'Holocauste, a déclaré dans le "Handelzeitung" du 4 février de cette année que plus d'un million de survivants de l'Holocauste étaient encore en vie aujourd'hui. Tout actuaire peut facilement calculer qu'il devait y avoir plus de trois millions de survivants en février 1945. Comme le montre Walter Sanning dans son étude "La dissolution du judaïsme d'Europe de l'Est", publiée en 1983 et basée presque exclusivement sur des sources juives, il ne pouvait y avoir plus de quatre millions de Juifs au maximum dans la sphère d'influence allemande au moment de son expansion géographique la plus large. Parmi eux, comme il a été admis plus haut, plus de trois millions ont survécu. Comment peut-on arriver à un chiffre de six millions de victimes ? Juge Staubli : Pouvez-vous imaginer que les Juifs puissent se sentir offensés par vos livres ? Graf : Oui, et aussi de nombreux non-juifs. Le lavage de cerveau est si complet que quiconque tombe accidentellement sur la vérité est facilement bouleversé. Juge Staubli : Et vous ne vous souciez pas du fait que les Juifs se sentent offensés par vos livres ? Graf : Edgar Bronfmann a récemment déclaré que la Suisse était comme un homme qui a besoin d'avoir les pieds dans le feu pour lui faire entendre raison. Pouvez-vous imaginer qu'un citoyen suisse puisse être offensé par cela ? Pourquoi ne parle-t-on que des sentiments des Juifs, et jamais des sentiments des autres ? Juge Staubli : L'ARG (loi antiraciste) a été approuvée par un référendum démocratique. Ne devez-vous pas respecter cela ? Graf : On a dit aux gens de cette époque que la loi devait protéger les étrangers contre la violence f raciste. En réalité, elle est utilisée exclusivement pour protéger les Juifs de toute critique. Cela est irréfutablement prouvé dans la brochure "Abscheid vom Rechtsstaat", à laquelle j'ai participé avec deux courts articles. Aucun citoyen suisse n'a jamais été inculpé ou condamné pour avoir critiqué les Noirs, les Arabes ou les Turcs. Les seules personnes inculpées et condamnées sont celles qui critiquent les Juifs. Juge Staubli : Dans la brochure "Vom Untergang der Schweizerischen Freiheit", vous écrivez que, pour les Juifs, l'Holocauste est devenu une religion. Quel est votre commentaire ? Graf : On estime qu'un tiers des Juifs d'aujourd'hui ne croient plus en Dieu, mais ils croient tous aux chambres à gaz. La foi en l'Holocauste est le mortier qui lie les Juifs entre eux aujourd'hui Basé sur le rapport de Xavier Marx sur le procès pour Recht ! Freiheit (22 juillet).
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Document vidéo : "Les crimes nazis, quelle vérité historique ?"
https://archive.org/details/faurisson-rsi-1979-fr Débat diffusé le 16 juin 1979 par la télévision suisse italienne (Lugano) sur le thème "chambres à gaz" et "génocide" : légende ou réalité ? Durée 2h15.
Extraits :
- “Comment pouvait-on pénéter dans une salle saturée d’acide cyanhydrique pour remuer 2000 corps pénétrés d’acide cyanhydrique ? C’était totalement impossible.“
- “Pensez aux victimes Monsieur Faurisson !“
- “Je vous prie de ne pas m’interrompre !“
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-“A Ravensbrück, rien que dans les huit derniers mois, sont nés au moins 500 enfants, qui ont été liquidés comme ça, dans le poêle.“
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-“De la surface de l’Europe, ont disparues 9, 10, 11 millions de personnes – disons 11 millions de personnes - dont 6 millions de juifs, 5 millions d’individus “différents“, parmi lesquels les politiques, les résistants, ceux qui se sont opposés au nazisme. Quel que soit le mode par lequel les gens ont été éliminés – par le Zyklon B, par l’abattage comme c’est survenu à Treblinka, par un coup de marteau à la tête – cela ne m’intéresse plus.“
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-“Quand tu frappes un homme parce qu’il est différent de toi, cela c’est le nazisme, c’est le génocide. Ce sont les chose sur lesquelles il n’y a pas l’ombre d’un doute.“
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-“Si on dit que dans cette salle, un jour, il y a eu 10 000 personnes, eh bien, il me suffit de prendre un mètre, de mesurer, et de voir qu’il y a une impossibilité. Voilà, c’est une façon d’éliminer les choses.“
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-“Je dis qu’à Auschwitz - il est mort, de 1940 au 27 janvier 1945, 50 000 personnes, et je pense que dans tous les camps de concentration, il est mort de 1933 à 1945, de 200 000 à 360 000 personnes.“
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Débat à la télévision suisse italienne /Lugano) sur les « chambres à gaz » et le « génocide » : légende ou réalité ? Le mardi 17 avril 1979, la TV de Lugano a enregistré une émission d’une durée de trois heures sur le sujet suivant : « Les crimes nazis, quelle vérité historique ? » Cette émission a été intégralement diffusée le vendredi 19 avril 1979 sous le contrôle d’un notaire-huissier constatant l’absence de toute coupure ou insertion. L’émission était dirigée par MM. Leandro Manfrini et Willy Baggi.
Défendaient la thèse de l’imposture (thèse révisionniste) :
– M. Robert Faurisson, maître de conférences à l’université Lyon-II (spécialité : Critique de textes et documents) ;
– M. Pierre Guillaume, libraire-éditeur à Paris de « La Vieille Taupe » (révolutionnaire) (spécialité : Œuvres de Paul Rassinier) ;
Défendaient la thèse de la réalité des « chambres à gaz » et du « génocide » (thèse exterminationniste) :
– Mme L. Rolfi, ancienne déportée de Ravensbrück ; – Mme Tedeschi, ancienne déportée juive d’Auschwitz-Birkenau, – M. Enzo Collotti, auteur de Germania Nazista (éditions Einaudi, de Turin) ; – Dr Wolfgang Scheffler, de Berlin, collaborateur de l’Institut d’histoire contemporaine de Munich, expert de la question des « crimes nazis » auprès des tribunaux de la RFA.
Cette émission, tout à fait exceptionnelle, a suscité un tel intérêt qu’elle sera à nouveau diffusée le dimanche 6 mai 1979 à 9 h.
Ouvrage (nouveau) montré au début de cette émission : Der Auschwitz Mythos (Legende oder Wirklichkeit?), par Wilhelm Stäglich.
Robert FAURISSON 16 juin 1979 - Blog Faurisson
https://robertfaurisson.blogspot.com/1979/06/debat-la-television-suisse-italienne.html
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