12) La version fixée aujourd'hui de l'Holocauste ne repose que sur la valeur du témoignage
Robert Faurisson :
« C'est l'existence des "chambres à gaz“ , véritables abattoirs humains, qui est contestée. Depuis 1945, cette contestation va croissant. Les grands moyens d'information ne l'ignorent plus.
En 1945, la science historique officielle affirmait que des "chambres à gaz" avaient fonctionné, aussi bien dans l'ancien Reich qu'en Autriche, aussi bien en Alsace qu'en Pologne. Quinze ans plus tard, en 1960, elle révisait son jugement : il n'avait, "avant tout" (?), fonctionné de "chambres à gaz" qu'en Pologne. Cette révision déchirante de 1960 réduisait à néant mille "témoignages", mille "preuves" de prétendus gazages à Oranienbourg, à Buchenwald, à Bergen-Belsen, à Dachau, à Ravensbrück, à Mauthausen. Devant les appareils judiciaires anglais ou français, les responsables de Ravensbrück (Suren, Schwartzhuber, Dr Treite) avaient avoué l'existence d'une " chambre à gaz " dont ils avaient même décrit, de façon vague, le fonctionnement. Scénario comparable pour Ziereis, à Mauthausen, ou pour Kramer, au Struthof. Après la mort des coupables, on découvrait que ces gazages n'avaient jamais existé. Fragilité des témoignages et des aveux !
Les "chambres à gaz" de Pologne - on finira bien par l'admettre - n'ont pas eu plus de réalité. C'est aux appareils judiciaires polonais et soviétique que nous devons l'essentiel de notre information sur elles (voy., par exemple, l'ébouriffante confession de R. Höss : "Commandant à Auschwitz". »
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A cinquante mètres, Simone Veil ne voit pas l'éléphant! « Simone Jacob, future Simone Veil, sa mère et sa sœur Milou ont vécu plusieurs mois à Auschwitz-Birkenau à "quelques dizaines de mètres" d’un crématoire en action. Or, aucune d’entre ces trois femmes n’avait rien remarqué du spectacle proprement dantesque qui, paraît-il, se déroulait jour et nuit avec des fournées d’au moins deux mille juifs, hommes, femmes et enfants, s’engouffrant, en file indienne, par un petit escalier dans un crématoire pour s’y déshabiller dans une première pièce et pour y mourir dans une seconde pièce en poussant des cris sous l’effet d’un pesticide déversé, à ce qu’on dit, par des SS dans quatre ouvertures aménagées dans le toit, lui aussi visible de loin !
….Je constate que S. Veil se contredit du tout au tout en déclarant maintenant : « Les preuves et les témoins existent, incontestables, si nombreux que le débat en lui-même est absurde. »
- Robert Faurisson
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Robert Faurisson :
Des gazés de fiction : Henri Krasucki et Simone Veil.
Deux juifs français, parmi bien d’autres gazés, à Auschwitz.
Henoch (dit Henri) Krasucki, né le 2 septembre 1924 à Wolonin (banlieue de Varsovie), a fait partie d’un convoi parti de Drancy le 23 juin 1943 et arrivé à Auschwitz le 26 juin. Jusqu’en 1977, selon la vérité officielle, établie par les soins des autorités communistes du musée à Oswiecim en collaboration avec les responsables scientifiques du Centre de documentation juive de Paris, le convoi tout entier avait été gazé.
Simone Jacob, future Simone Veil, née le 13 juillet 1927 à Nice, a fait partie d’un convoi parti de Drancy le 13 avril 1944 et arrivé à Auschwitz le 16 avril. Jusqu’en 1977, selon la même vérité officielle, toutes les femmes de ce convoi avaient été gazées.
En 1978, Serge Klarsfeld publiait Le Mémorial de la Déportation des Juifs de France. Il ne s’agissait pas d’une liste de morts mais de listes nominales de déportés, convoi par convoi. L’auteur ne pouvait faire autrement que de rappeler que ces deux déportés avaient survécu à la déportation. Leur notoriété était devenue telle en France qu’on ne pouvait pas dissimuler le fait. Klarsfeld ajoutait même que d’autres personnes de ces convois, hommes et femmes, avaient survécu. Il mentionnait aussi que le musée d’Osviecim et le CDJC de Paris avaient, par erreur, inventé des convois entiers de déportés gazés. Mais, pour sa part, Klarsfeld persiste à compter comme mortes ou gazées des personnes sans notoriété qui peuvent avoir survécu à leur déportation à Auschwitz. C’était le cas, sans aller chercher plus loin, de la mère d’Henri Krasucki qui, comptée comme morte ou gazée dans l’édition du Mémorial de 1978, reviendra en quelque sorte à la vie dans l’Additif au mémorial de 1980. Il est vrai que, dès 1974, le fait avait été rendu public par les journalistes Harris et Sédouy dans leur livre Voyage à l’intérieur du Parti Communiste Français où Henri Krasucki déclare :
Ma mère est rentrée après moi [de déportation] et puis quelques oncles et tantes.
De son père, déporté à Auschwitz et mort là-bas, Klarsfeld, qui semble avoir eu des renseignements par ailleurs assez précis, déclarait vers 1979 à Harris et Sédouy : « Je ne sais pas comment il est mort, gazé ou à l’infirmerie. Cette confidence d’un instant mise à part, il déclare toujours son père « assassiné » ou le compte parmi les gazés.
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Robert Faurisson :
Le concept de survivant de l’holocauste
Extrême différence entre "le crime d’Hiroshima (ou de Nagasaki)" et "le crime d’Auschwitz" : ici des preuves et des témoignages et là aucune preuve mais seulement des "témoignages" ou des "aveux".
On se permet, dans nos medias, de comparer le « crime d’Auschwitz » au « crime d’Hiroshima ». Je remercie le correspondant qui s’en indigne et m’envoie les deux photos qu’on trouvera ci-dessous.
L’une de ces photos nous montre un Japonais irradié et l’autre, Simone Veil dans toute sa gloire. Celle du Japonais peut prouver que le bombardement atomique d’Hiroshima (ou de Nagasaki) a bien eu lieu. Quant au malheureux Japonais (qui, je suppose, est aujourd’hui décédé), il ne risquait pas de venir nous dire qu’il ne s’était rendu compte de rien à l’époque des faits. Il pouvait apporter preuve et témoignage du crime américain. Sa preuve : son visage irradié. Son témoignage : le récit de sa présence sur le lieu du crime.
Simone Veil, une Française d’origine juive, a été internée au camp d’Auschwitz mais elle a survécu à son internement, ce qui déjà tend à exclure qu’Auschwitz ait été vraiment un « camp d’extermination ». Longtemps après la guerre, elle a, dans un livre, affirmé avoir vécu, avec des membres de sa famille, « à quelques dizaines de mètres » de l’un des endroits où, chaque jour, à Auschwitz, les Allemands auraient gazé à mort des foules de juifs mais elle a aussi précisé que ni elle, ni les membres de sa famille ne s’étaient rendu compte qu’un gigantesque crime s’y produisait, jour après jour. Autant elle peut prouver qu’elle a été internée au camp de concentration d’Auschwitz, autant elle est dans l’incapacité de fournir preuve ou témoignage du prétendu crime allemand d’Auschwitz.
Elle ne cesse pourtant de jouer le rôle d’une personne qui peut, de plein droit, cautionner l’existence et le fonctionnement de « chambres à gaz nazies » à Auschwitz. On la croit. Il faut dire que, dans son pays, il existe une loi spéciale qui punit celui qui déclare publiquement qu’il ne croit pas à la réalité de telles « chambres à gaz ».
Pour plus de détails sur l’étrangeté du témoignage de Simone Veil, voyez, du 20 mars 2015, “Simone Jacob, future Simone Veil, sa mère et sa sœur Milou ont vécu plusieurs mois à Auschwitz-Birkenau à ‘quelques dizaines de mètres’ de ce qui aurait été une usine d’extermination des juifs. Et pourtant elles n’ont RIEN soupçonné du crime des crimes !”.
D’une manière générale, la réalité du crime d’Hiroshima (ou de Nagasaki) repose à la fois sur des preuves et sur des témoignages tandis que la réalité du crime d’Auschwitz ne repose sur aucune preuve mais seulement sur des témoignages ou des « aveux », tous plus vagues ou plus remplis d’absurdités physiques, chimiques ou topographiques les uns que les autres. Sur l’absence de preuves physiques à Auschwitz malgré ce que l'on ose faire voir aujourd’hui aux visiteurs et aux pèlerins du camp d’Auschwitz, voyez Robert Jan van Pelt le 27 décembre 2009, cité dans “Les Victoires du révisionnisme (suite)” (11 septembre 2011).
31 mai 2016
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Robert Faurisson :
Le « ghetto-boy » et Simone Veil : deux symboles de l’imposture du génocide ?
Le ghetto-boy a été retrouvé en 1978. Il n’a nullement été assassiné par les Allemands dans un prétendu « camp d’extermination ». Il vit à Londres avec son père et sa mère. Il est richissime. Ce « ghetto-boy » était devenu un symbole : le symbole d’un prétendu « génocide » du peuple juif. Il va de soi que, s’il devait rester un symbole, ce ne pourrait plus être que le symbole de l’imposture du « génocide ». Le cas de Simone Veil est tout à fait semblable, quoique dans un sens inverse de celui du ghetto-boy de Varsovie. Simone Veil, elle aussi, est très riche. Elle jouit apparemment d’une santé florissante. Elle a longtemps été notre ministre de la Santé. Elle est devenue présidente du Parlement européen. On nous rappelle avec insistance qu’elle a été internée à Auschwitz. Mais ce que l’on nous cache, c’est qu’elle est... morte à Auschwitz. Elle a été gazée à Auschwitz-Birkenau le 16 avril 1944. Elle fait officiellement partie de l’immense cohorte des (faux) morts et des (faux) gazés du camp d’Auschwitz. Elle est, elle aussi, à sa façon, un symbole de l’imposture du « génocide ». Simone Veil n’a pas de responsabilité personnelle dans le fait que des historiens, plus soucieux de propagande que de vérité, aient fabriqué de longues listes de prétendus gazés dans lesquelles son nom de jeune fille (Simone Jacob, née le 13 juillet 1927 à Nice) figure parmi les noms d’autres femmes ou jeunes filles qui, elles non plus, en réalité, n’ont pu être gazées le 16 avril 1944. En revanche, le ghetto-boy a une responsabilité personnelle, sinon dans la création de sa légende, du moins dans la persistance et dans le succès de cette légende. Ce n’est que contraint et forcé qu’il a révélé le pot aux roses. Trop de gens s’étaient mis à exploiter le filon, notamment en Israël, et se vantaient d’avoir connu de près le ghetto-boy. L’intéressé avait donc dû, à la longue, rappeler son existence et son identité. Le ghetto-boy est ce tout jeune garçon à casquette qu’on voit lever ses petits bras en l’air sous la menace des armes des soldats allemands. La photo a fait le tour du monde. Les textes de présentation de cette photo sont variables mais tous donnent à entendre que la scène s’est déroulée lors de l’insurrection du ghetto de Varsovie vers avril-mai 1943 et l’on nous dit – ou bien on nous laisse entendre – que cet enfant et le groupe de juifs qui l’entourent ont été conduits vers un « camp d’extermination ». Or, la réalité aurait été toute différente. A en croire le Jewish Chronicle, c’est en 1941 que se situait la scène. L’enfant (et tout le groupe qui l’entourait, portant des sacs ou des ballots) avait été surpris par des soldats allemands en train d’effectuer une opération de police déclenchée à l’occasion de la venue à Varsovie d’une importante personnalité nazie. « J’étais un voleur de première force ; je volais pour survivre », devait déclarer au Jewish Chronicle l’ex-ghetto-boy. L’enfant avait été conduit au poste de police. Sa mère, qui n’avait pas assisté à la scène de l’arrestation et qui se demandait ce que son fils était devenu, était allée le réclamer au poste de police. L’enfant lui avait alors été remis par la police allemande. Source : Blog inofficiel Robert Faurisson ------------------------------------------------------------------------------------
La fausse « convergence des preuves »
Dans un article publié sur CODOH, le révisionniste grec Panagiotis Heliotis, auteur du premier livre révisionniste en langue hellénique, ayant en autres analysé différents témoignages holocaustiques de déportés grecs pour l’excellente revue Inconvenient History, s’attelle à étudier la prétendue “convergence des preuves“ des chambres à gaz homicides, supposée accabler les “négateurs“ selon les tenants de l’Histoire Officielle™. À partir des textes de cinq pseudo-témoins oculaires majeurs, membres des Sonderkommandos : Filip Muller, Henryk Tauber, Shlomo Venezia, Marcel Nadjari et Leon Cohen, Heliotis établit une liste de dix questions qu’il confronte à ces témoignages pour déterminer s’il y a bien, ou non, une convergence. « Toutes les questions portent sur des points essentiels et non sur des détails mineurs. Leur convergence ou divergence est donc de la plus haute importance pour l’histoire officielle», précise-t-il. Alors, qu’en est-il, dans les faits ? Question #1 : Où était la chambre à gaz ? – Dans une fausse salle de douche (Muller, Tauber, Nadjari, Venezia). – Dans une pièce à côté de la fausse salle de douche(Cohen). Question #2 : Combien de trous y avait-il sur le toit ? – Un (Nadjari, Venezia). – Un tous les 8 mètres (Cohen). – Quatre (Tauber). Question #3 : Comment le gaz était-il inséré ? – Directement (Nadjari, Venezia). – Par des piliers en tôle (Muller). – Par des piliers recouverts de plaques métalliques percées (Cohen). – Par des piliers faits de trois couches de mailles de fer (Tauber). Question #4 : Combien de personnes pouviez-vous faire entrer dans la chambre ? – 750 (Cohen). – 2 500 (Nadjari). – 3 000 (Muller). Question#5: Après avoir introduit le gaz, combien de temps attendiez-vous avant d’ouvrir la porte? – Quelques minutes (Muller). – 10-12 minutes (Venezia). – Une heure (Nadjari). – Deux heures (Tauber, Cohen). Question #6 : Quand commenciez-vous la ventilation ? – Avant d’ouvrir la porte (Muller, Tauber, Nadjari). – Après avoir ouvert la porte (Venezia, Cohen). Question #7 : Combien de temps la ventilation était-elle en marche ? – Quelques minutes (Muller). – 20 minutes (Venezia). – Deux heures (Cohen). Question #8 : Aviez-vous remarqué une couleur inhabituelle sur les cadavres ? – Non (Nadjari). – Beaucoup étaient devenus bleus (Muller). – Certains étaient rouges, d’autres pâles (Venezia). – Rosâtre, certains étaient couverts de taches vertes (Tauber). – Noire près des colonnes, rose loin d’elles (Cohen). Question #9 : Portiez-vous des masques à gaz lorsque vous travailliez dans la chambre ? – Oui (Muller, Tauber). – Non (Venezia). Question #10 : Combien de cadavres pouviez-vous incinérer en 24 heures ? – 1 800 (Venezia). – 2 500 (Nadjari, Tauber). – 3 000 (Muller). – 3 600 (Cohen). Et Heliotis de conclure :
« Rappelez-vous que tout ceci est censé être des informations de première main provenant de personnes qui ont travaillé exactement aux mêmes installations au cours de la même période. Mais comme n’importe quel magicien vous le dira, pour que l’illusion fonctionne, il faut toujours distraire le public. Et c’est ce que font les historiens de l’Holocauste. Ils ne vous donnent jamais une représentation complète de la situation. Parce qu’ils craignent qu’une fois que vous la verrez, le sort sera rompu et vous n’y croirez plus jamais. »
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Références :
Panagiotis Heliotis, CODOH, The Matrix of Converging Evidence : https://codoh.com/library/document/6426/?lang=en // Metapedia, Holocaust convergence of evidence : https://en.metapedia.org/wiki/Holocaust_convergence_of_evidence#cite_note-ma-3
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Léon Degrelle parle :
Léon Joseph Marie Ignace Degrelle (15 juin 1906 à Bouillon, Belgique – 31 mars 1994 à Malaga, Espagne) En 1979, le pape polonais Jean-Paul II se prépare à visiter Auschwitz. Le très catholique créateur de REX lui écrit depuis son exil en Espagne :
On y lit entre autre ceci :
“ Que Sa Sainteté daigne prendre au crayon : à un quart d’heure la mâchoire, et à huit arracheurs acharnés à la dissection, cela fait 16 cadavres traités par heure, 160 en une journée de dix heures sans une seule minute de répit ! Soyez même un stakhanoviste de la denture, et doublez la cadence des arrachages, ce qui est d’ailleurs matériellement impossible : cela ferait 320 ! Alors, Très Saint Père, les fournées de 3 000 Juifs d’un seul coup ? Et les journées de 24 000 gazés au Zyklon B, ce qui représente 48 000 mâchoires à vider, plus 760 000 dents à scruter quotidiennement ! Simplement à s ‘en tenir aux 6 000 000 de Juifs morts certains ont doublé, triplé le chiffre dont la propagande nous rebat sans fin les oreilles -, ces arracheurs eussent encore été, des années après la guerre, en pleine activité ! Ces extractions, seulement ces extractions, à dix heures de labeur ininterrompu, eussent absorbé une affaire de 1 875 journées de toute l’équipe”.
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« Une chrétienté bernée par des manipulateurs sacrilèges »
L'Holocauste numéro 1, quels qu'aient été parmi les gogos sa diffusion et son impact, n'était qu'un gigantesque tapage hollywoodien, d'une rare vulgarité, destiné avant tout à vider des centaines de millions de goussets de spectateurs non avertis. Mais les dégâts ne pouvaient être que passagers; on devrait rapidement noter que les extravagances étaient bouffonnes, ne résisteraient pas à l'examen consciencieux d'un historien. Par contre, votre Holocauste, à Vous, Très Saint Père, tourné en grande pompe à Auschwitz même, par un Pape en chair et en os, revêtu de toute la majesté pontificale, et oint de véracité, en face d'un autel inviolable, surtout à l'heure du Sacrifice, cet Holocauste N° 2 risque fort d'apparaître, aux yeux d'une chrétienté bernée par des manipulateurs sacrilèges, comme une confirmation quasi divine de toutes les élucubrations montées par des refoulés haineux et par des usuriers. - Léon Degrelle
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Léon Degrelle :
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13) Les lois de censure
Le négationnisme et les négationnistes de l'Holocauste.
Dans les écoles, et constamment à la télévision, nous sommes bombardés par le meurtre présumé de 6 millions de Juifs par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale. C'est ce qu'on appelle communément "l'Holocauste". Ce prétendu événement historique est également lancé à toute personne s'opposant à l’immigration massive vers les nations blanches comme preuve du mal absolu du nationalisme blanc.
Dans la plupart des pays d'Europe, la remise en question de tout aspect des conclusions des procès de Nuremberg est une infraction pénale très grave au même titre que le viol, le meurtre ou le vol à main armée. En France, vous pouvez recevoir jusqu'à 20 ans de prison, qui peuvent devoir être purgés en isolement. Même dans l’hypothèse d’un questionnement du récit officiel de l'Holocauste qui ne serait pas illicite, il vous en coûtera probablement votre travail, votre famille, votre maison, etc.
Malgré cela, de nombreux écrivains, universitaires, historiens et scientifiques de renom ont remis en question le récit officiel de l'Holocauste ou l’ont nié entièrement. Le professeur Ernst Zündel a été soumis à de nombreux procès dans le monde entier, a vu sa maison incendiée, a reçu des menaces de mort, sa famille s'est brisée, a été expulsé de plusieurs pays et a finalement été emprisonné pendant cinq ans en Allemagne. Le professeur Robert Faurisson a subi dix agressions physiques très violentes: deux à Vichy, deux à Lyon, quatre à Paris et deux à Stockholm. Le monde médiatique présente généralement ces tentatives d’assassinat comme banales (« Quoi de plus normal ? C’est quelque chose de regrettable, mais de normal et naturel » (Le Monde, 19 septembre 1989, p. 14).
Aucun autre événement historique que l’Holocauste ne peut attirer ce type de sanction pour avoir remis en question le récit officiel.
En France particulièrement existe une collision entre ministère de l’Intérieur et des milices juives. Par une sorte d’assentiment général il semble convenu que les juifs doivent être traités comme une minorité privilégiée, dont il faut excuser « la colère ». Malgré ces menaces, le récit officiel est constamment exposé comme étant un mensonge et les juifs doivent constamment modifier leurs affirmations lorsqu'ils sont confrontés à des preuves irréfutables de leurs mensonges. ------------------------------------------------------------------------------------
La Cour européenne déclare que la "négation de l'Holocauste" n'est pas un droit de l'homme.
Lu sur Daily Archives, octobre 2019 :
« La remise en question de l'Holocauste n'est pas un droit de l'homme, a déclaré jeudi une cour européenne, en rejetant la plainte d'un politicien nationaliste allemand. Selon la CEDH, Pastoers a prononcé en 2010 un discours devant le parlement local où il a déclaré que "le prétendu Holocauste est utilisé à des fins politiques et commerciales". Le tribunal a déclaré que son discours "était un déni qualifié de l'Holocauste montrant le mépris de ses victimes et allant à l'encontre des faits historiques établis". Il "a intentionnellement énoncé des contre-vérités afin de diffamer les Juifs et la persécution qu'ils ont subie".
De telles déclarations "ne pouvaient pas bénéficier de la protection de la liberté d'expression" offerte par la Convention européenne des droits de l'homme "car elles allaient à l'encontre des valeurs de la Convention elle-même", a-t-il déclaré. La CEDH fait partie du Conseil de l'Europe, l'organisme paneuropéen de défense des droits, et les citoyens de ses 47 États membres peuvent s'adresser à elle une fois que tous les recours juridiques dans leur propre pays ont été épuisés. »
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Depuis 30 ans des lois sont votées pour empêcher l'expression publique des thèses révisionnistes.
Robert Faurisson : « L’Holocauste » : un tabou Dans le monde occidental, on a le droit de contester toutes les religions sauf la religion de «l’Holocauste ». On peut se moquer de Dieu, de Jésus, de Mahomet mais non de ce que Simon Wiesenthal, Elie Wiesel et Simone Veil ont raconté sur le prétendu génocide ou les prétendues chambres à gaz. Robert Faurisson : L’inéluctable victoire du révisionnisme Sur le plan historique et scientifique, le révisionnisme de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale a fini par remporter, de 1978-1979 à nos jours, toute une série d’écrasantes victoires contre les propagandistes de « l’Holocauste » ou de « la Shoah ». Il a successivement réduit à quia ou contraint à la capitulation tous les grands noms de l’énorme mensonge selon lequel le IIIe Reich aurait exterminé les juifs d’Europe par millions (six millions, selon la version la plus courante) surtout au moyen de prétendues chambres à gaz d’exécution. Ces grands noms ont été, par exemple, successivement ceux de Léon Poliakov, du prestigieux Fernand Braudel (accompagné de trente-trois universitaires français), de l’éminentissime historien américain Raul Hilberg, de Pierre Vidal-Naquet, de Jacques Baynac, de François Furet et Raymond Aron, de Robert Jan van Pelt, de Jean-Claude Pressac, de Robert Badinter ainsi que de Simon Wiesenthal, d’Elie Wiesel et du père d’Anne Frank, le banquier francfortois Otto-Heinrich Frank. D’où cet affolement, de nos jours, chez les responsables des organisations qui prétendent représenter la communauté juive dans son ensemble. Devant un tel désastre, il ne restait alors à ces derniers qu’une issue : monter encore plus haut le son de leur tam-tam médiatique et faire en sorte que s’hystérise encore plus la répression judiciaire exercée contre les révisionnistes, qu’on nous présente sous les traits de simples « négationnistes » ou antisémites inspirés par la « haine ».… Pour leur part, les révisionnistes, eux, savent ce qui les attend : la confirmation dans les grands médias, tôt ou tard, de ce qu’ils ont d’ores et déjà remporté une totale victoire sur le plan historique et scientifique. Il faudra bien que les pouvoirs politiques et médiatiques s’y résignent : persister dans la politique de la canonnière à l’extérieur et dans celle du bâillon et de la censure à l’intérieur ne fera que les déshonorer un peu plus. Pour rien. Le flot montant qui, en particulier sur Internet, porte à la connaissance du monde entier les acquis spectaculaires du révisionnisme historique ne va pas soudainement interrompre sa course ou remonter vers sa source. Les mensonges de « l’Holocauste » sont calqués sur ceux de la Première Guerre mondiale. Toutes ces « usines de mort » nazies, comme celle d’Auschwitz, ne sont qu’une reprise du mythe des « usines à cadavres » allemandes de 1914-1918. On les a simplement modernisées en leur ajoutant parfois le gaz (version juive américaine de novembre 1944) et parfois l’électricité (version juive soviétique de février 1945). On a fait croire au bon peuple, déjà généralement prévenu contre l’emploi de la crémation des cadavres, que les Allemands, nation réputée moderne et connue pour l’abondance de ses ingénieurs et de ses chimistes, avaient construit des bâtiments possédant, outre une salle de crémation, des pièces appelées « chambres à gaz » (en réalité, des « dépositoires », Leichenhalle ou Leichenkeller, techniquement conçus pour y entreposer des cadavres en attente de crémation). Ainsi en est-on arrivé à nous persuader que ces diables d’Allemands étaient assez bêtes pour loger sous un même toit, d’un côté, des chambres pleines d’un gaz hautement inflammable et hautement explosif (l’acide cyanhydrique ou cyanure d’hydrogène contenu dans le pesticide Zyklon B inventé dans les années 1920) et, de l’autre, des fours crématoires qu’il fallait laborieusement porter à 900 degrés. -----
Robert Faurisson : Pour une histoire véridique de la seconde guerre mondiale – Le « génocide » Deux écoles historiques : l’histoire officielle (avec ses nuances et ses contradictions) et l’histoire révisionniste (avec ses nuances et ses contradictions). 1. - L’histoire officielle. Celle des universités et des instituts officiels, celle de Raul Hilberg (The Destruction of the European Jews) et de Gerald Reitlinger (The Final Solution. The Attempt to Exterminate the Jews of Europe 1939-1945). Voy. les publications de l’« Institut für Zeitgeschichte » de Munich, celles des instituts ou des centres de recherche juifs tels que le Centre de documentation juive contemporaine de Paris, les ouvrages de Joseph Billig, d’Olga Wormser-Migot, de Léon Poliakov, de Georges Wellers ; les publications du « Comité d’histoire de la Deuxième guerre mondiale », etc. 2. - L’histoire révisionniste. Celle d’auteurs isolés, dont les publications ont été l’objet de saisies ou d’interdictions diverses, dont les ouvrages – quand leur diffusion est tolérée – sont parfois difficiles à trouver. Voy., notamment, Le Véritable Procès Eichmann, par Paul Rassinier (ancien déporté) et The Hoax of the Twentiethttp://www.vho.org/aaargh/fran/livres3/HoaxV2.pdfh Century par Arthur R. Butz. 3. - Thèse officielle. Les Allemands ont placé de très nombreux juifs dans des camps de concentration. Certains camps étaient dotés de fours crématoires où étaient brûlés les cadavres. Jusque-là rien d’effroyable, puisque les Allemands n’ont été ni les premiers, ni les derniers à placer en camps de concentration des catégories de civils tenus pour dangereux, indésirables, favorables à l’ennemi, etc., et puisque brûler des cadavres au lieu de les enterrer n’a rien d’une pratique criminelle, surtout là où il y avait, dans l’Europe en guerre, de terribles épidémies de typhus. Le crime des Allemands commence avec la volonté de « génocide » et avec l’institution de ces abattoirs industriels qu’étaient les « chambres à gaz ». Hitler a fait tuer des gens en raison de leur race et de leur religion. Il a ainsi tué quatre à six millions de juifs. C’est cela le « génocide », l’« extermination », l’« holocauste ». Il est normal que l’Allemagne (au moins celle de l’Ouest) ait versé et continue de verser à l’État d’Israël et aux communautés juives internationales de substantielles réparations financières. Il est normal que les rescapés d’un si grand massacre, qui est sans précédent dans l’histoire, aient obtenu de la communauté internationale le droit de s’installer dans un territoire qui ne leur appartenait pas de jure. A souffrances exceptionnelles, procédures exceptionnelles et réparations exceptionnelles. 4. - Thèse révisionniste. Il suffit d’appliquer ici les méthodes de routine de la critique historique pour découvrir que ces camps de concentration et ces fours crématoires ont réellement existé, tandis que cette prétendue tentative de « génocide » et ces prétendues « chambres à gaz » ne sont qu’une seule et même invention de la propagande de guerre. Cette invention est d’origine essentiellement sioniste. Elle a eu des retombées politico-financières dont l’État d’Israël est le principal bénéficiaire. Jamais Hitler n’a donné l’ordre de tuer ne serait-ce qu’un seul homme en raison de sa race ou de sa religion. Les juifs qui sont morts autrement que de causes naturelles sont morts par « faits de guerre ». Il y a eu des « pertes juives » comme il y a eu des « pertes » françaises, allemandes, russes, japonaises... Dans la seconde guerre mondiale, des millions de soldats, de francs-tireurs, de civils ont eu à souffrir des maux suivants : humiliations, persécutions, arrestations, internements, déportations, travaux forcés, faim, froid, épidémies, bombardements... Certains ont été torturés, exécutés, massacrés, acculés au suicide... D’autres ont été privés de leurs biens, de leurs terres, de leur patrie... Avec les moyens modernes d’investigation et grâce à la somme colossale d’archives dont nous disposons (en particulier grâce aux archives allemandes des camps), il serait parfaitement possible de déterminer, sans doute à quelques milliers d’unités près, le montant exact des «pertes juives»1. Un homme peut disparaître à jamais mais il ne peut guère, en même temps, faire disparaître dans les documents et dans les mémoires toute trace de son existence passée. Pourquoi, là encore, n’avoir pas, en plus de trente ans, appliqué les méthodes de recherche qui sont de routine ? Pourquoi là où, par exception, un service officiel a fait ce travail, en cache-t-on les résultats (France) ou en déforme-t- on les résultats par des commentaires tendancieux (Service international de recherches de la Croix-Rouge) ? Le nombre des juifs « exterminés » par Hitler (ou « victimes du génocide ») s’élève heureusement à... ZÉRO. En revanche, le nombre des Européens « tués par faits de guerre » pourrait être de l’ordre de quarante millions ; parmi eux, celui des juifs européens, pourrait être de l’ordre d’un million, mais, plus probablement, de plusieurs centaines de milliers. Un jour le chiffre exact sera trouvé : il va de soi que ce chiffre exact ne peut émaner que d’une instance internationale, procédant selon des méthodes scientifiques et permettant les vérifications qui seraient de rigueur. 5. - Attitude des médias. Les médias prennent parti depuis trente-quatre ans et sur les cinq continents pour la thèse officielle ; ils renchérissent même sur ces affirmations. Pendant trente ans, ils ont ignoré la thèse révisionniste ; depuis quelques années, ils commencent à en parler mais en la déformant systématiquement et en la présentant comme l’œuvre de « nazis ». Par exemple, ils disent couramment ceci : « Des nazis prétendent que les camps de concentration, les chambres à gaz et les fours crématoires n’ont jamais existé ! » Ou encore : « Des nazis prétendent que pas un juif n’a été gazé. » Les deux formules sont habiles mais elles déforment la thèse qu’elles prétendent résumer. Le vrai résumé est le suivant : Les camps : oui. Les crématoires : oui. Les chambres à gaz : non. Hitler n’a jamais fait tuer d’hommes en raison de leur race ou de leur religion. Le « génocide » (mot et chose) est une invention de la propagande de guerre, complaisamment répercutée par les médias.
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Robert Faurisson : Les historiens exterminationnistes
On appelle ainsi [les « exterminationnistes »] les historiens qui défendent la thèse selon laquelle il y a eu une politique d’extermination des juifs.
Depuis quelques années ces historiens se disputent, faute de trouver trace d’un ordre, d’un plan ou d’un budget. Ils échafaudent des théories. Pour les « intentionnalistes », il faut tout de même présupposer l’existence d’un ordre donné par Hitler tandis que, pour les « fonctionnalistes », ce n’est pas indispensable et cet ordre est même improbable : on peut supposer que cette extermination des juifs a été le résultat d’une multiplicité d’initiatives locales et individuelles. Cette dispute prouve bien qu’on n’a trouvé ni ordre, ni plan, ni budget. Ces mêmes historiens débattent du « problème des chambres à gaz ». Cette expression a été créée par Olga Wormser-Migot, historienne d’origine juive. Voyez sa thèse sur Le Système concentrationnaire nazi (1933-1945), p. 541-544. S’il existait des expertises, ce problème n’existerait sans doute pas.
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Robert Faurisson : Le mythe de l’extermination des juifs Les Allemands auraient procédé à l’extermination de millions de juifs (sans compter les Tziganes et les autres) sur toute la surface d’un continent et ce, pendant trois ans environ. Or, on ne trouve aucune trace de cette gigantesque entreprise d’assassinat ordonnée, conçue, mise en œuvre, financée, administrée par les nazis. Ceux-ci auraient mis au point et utilisé pour perpétrer ce crime sans précédent une arme spécifique : la chambre à gaz homicide ou le camion à gaz homicide. Là encore aucune trace. En résumé, on ne trouve : ni un ordre, ni un plan, ni un budget, ni une arme du crime (pas une seule expertise de « chambre à gaz » ou de « camion à gaz », ni un cadavre (parmi les innombrables autopsies, pas une seule prouvant un assassinat par gaz-poison). Qu’est-ce qu’un assassinat, c’est-à-dire un meurtre commis avec préméditation, où l’on ne découvre ni préméditation, ni arme, ni cadavre ? Qu’est-ce que des millions d’assassinats de cette nature ? Passe pour un miracle, mais des millions de miracles ?
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Robert Faurisson :
Le « mensonge d’Auschwitz »
En 1980, je déclarais : « Attention ! Aucun des soixante mots de la phrase que je vais prononcer ne m’est dicté par une opinion politique. Le prétendu génocide des juifs et les prétendues chambres à gaz hitlériennes forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires sont l’État d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand – mais non pas ses dirigeants – et le peuple palestinien tout entier ».
Aujourd’hui, je ne vois pas un mot à retirer de cette déclaration malgré les agressions physiques, malgré les procès, malgré les amendes dont j’ai souffert depuis 1978 et malgré l’emprisonnement, l’exil ou la persécution de tant de révisionnistes. Le révisionnisme historique est la grande aventure intellectuelle de la fin de ce siècle. Je n’ai qu’un regret : c’est de ne pouvoir, dans les limites de cet article, trouver la place nécessaire pour rendre hommage aux cent auteurs révisionnistes qui, depuis le Français Paul Rassinier et en passant par l’Américain Arthur R. Butz, l’Allemand Wilhelm Stäglich, l’Italien Carlo Mattogno et l’Espagnol Enrique Aynat, ont accumulé sur la réalité historique de la seconde guerre mondiale tant de travaux aux mérites éclatants.
Un dernier mot : les révisionnistes ne sont ni des négateurs ni des personnages animés de sombres intentions. Ils cherchent à dire ce qui s’est passé et non pas ce qui ne s’est pas passé. Ils sont positifs. Ce qu’ils annoncent est une bonne nouvelle. Ils continuent de proposer un débat public, en pleine lumière, même si, jusqu’ici, on leur a surtout répondu par l’insulte, par la violence, par la force injuste de la loi ou encore par de vagues considérations politiques, morales ou philosophiques. La légende d’Auschwitz doit, chez les historiens, laisser place à la vérité des faits.
--- Les cinq principaux responsables de ce mensonge historique sont :
— Alfred Wetzler ou Weczler — Walter Rosenberg, alias Rudolf Vrba — Czeln Mordowicz, alias Petr Podulka — Arnost Rosin, alias Jan Rohac — et le rabbin Michael Dov Ber Weissmandel ou Weissmandl. Pour tout détail s’adresser à R. Faurisson. Mensonge créé en avril 1944 en Europe centrale, transmis par Gerhard Riegner, représentant en Suisse du Congrès Juif Mondial, et officialisé à Washington en novembre 1944 par la publication du War Refugee Board Report. Les Soviétiques, en un premier temps, n’en tiendront pas compte. C’est ainsi que dans la Pravda du 2 février 1945, ils défendront la thèse selon laquelle à Auschwitz les Allemands se servaient principalement d’électricité pour tuer leurs victimes en série. C’est seulement dans leur rapport du 6 mai 1945 (document URSS-008) qu’ils se rallieront à la thèse de l’extermination par gaz à Auschwitz.
--- Le cas de l’Institut Max Planck de Stuttgart
Germar Rudolf :
« À la fin du printemps 1993, l'Institut Max Planck de Stuttgart a publié un mémorandum interne informant ses employés qu'un candidat au doctorat y avait été licencié pour des recherches qu'il avait effectuées sur Auschwitz. L'institut expliquait qu'au vu de l'horreur des crimes commis par les nationaux-socialistes contre les Juifs, il était moralement répugnant de discuter de la manière précise dont les victimes avaient été tuées, ou d'essayer de déterminer le nombre précis de morts. Le fait que l'un des principaux instituts de recherche scientifique du monde ait déclaré à son personnel que la détermination de quantités précises est non seulement contraire à l'éthique, mais également répréhensible et constitue un motif de licenciement, n'est pas sans ironie. » Robert Faurisson : La déclaration des trente-quatre historiens français Face à une telle stratégie [de vérité], la phrase conclusive du texte des trente-quatre historiens [rétorquant à Faurisson] publié dans Le Monde, 21 février 1979, p.23: «Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. Cette vérité, il nous appartenait de la rappeler simplement: il n’y a pas, il ne peut y avoir de débat sur l’existence des chambres à gaz («La politique hitlérienne d’extermination: une déclaration d’historiens», Le Monde, 21 février 1979, p.23.
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« Ils n’essaient plus de répondre »
Quand on leur demande: «Montrez-nous ou dessinez-nous une chambre à gaz homicide d’Auschwitz», ils n’essaient plus de répondre. Quand on leur dit: «Donnez-nous le nom d’une seule personne qui ait été tuée dans une chambre à gaz d’Auschwitz», ils ne répondent plus. - Robert Faurisson
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Robert Faurisson : Des chambres à gaz sans réalité physique et matériellement représentable Procès Faurisson - Extraits des conclusions déposées par Me Éric Delcroix, avocat de MM. Boizeau et Faurisson, le 21 mars 1991, devant la XVIIe chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris - Contestation de crimes contre l’humanité - : Attendu que, dans les quarante-et-un volumes de l’édition française des débats et documents du « grand procès » de Nuremberg, il n’existe pas une preuve, une seule preuve de l’existence soit d’une chambre à gaz homicide, soit d’une politique de destruction physique des juifs ; Attendu, en particulier, qu’on n’y trouve, soit sur le crime lui-même, soit sur l’arme du crime aucun des éléments suivants : – une ordre de destruction physique des juifs – un plan de destruction physique des juifs – des directives pour une destruction physique des juifs – un budget pour une destruction physique des juifs – un procès-verbal d’examen in situ sur les lieux du crime – une expertise de l’arme du crime – un rapport d’autopsie établissant un assassinat par gaz-poison – un procès-verbal de reconstitution (simulacre) – un contre-interrogatoire de témoin sur la matérialité des faits rapportés ; Attendu, de surcroît, que la confusion même du législateur, conduit à recourir à une définition « délirante » et ne permet pas de mettre ici le texte de l’article 24 bis en application, puisque le jugement prononcé au terme du grand procès de Nuremberg tel qu’invoqué par les parties civiles utilise, dans certains cas, le mot d’« extermination », mais n’en donne jamais une définition précise et circonstanciée ; Attendu, de même, qu’il emploie l’expression de « chambre à gaz » sans jamais fournir une description de cette arme extraordinaire encore jamais vue dans le monde scientifique ; Attendu que, tout au long des cent quatre-vingt-sept pages du jugement, les deux seules précisions – vagues et indigentes – qu’on puisse découvrir sur la « chambre de mort » (sic), défiant toutes les lois de la physique et de la chimie, est que cette chambre (au singulier) permettait de tuer (combien de personnes ? avec quel gaz ? selon quelle procédure ?) « en trois à quinze minutes » et qu’il fallait attendre une demi-heure pour ouvrir « les portes » (au pluriel !) (p. 265 du jugement) ; Attendu qu’au surplus ces deux précisions dérisoires sont extraites d’une « confession » dictée à Rudolf Höss par ses tortionnaires de la Sécurité militaire britannique (voy., ci-dessous, p. 6, alinéa 2) ; Attendu que l’imposture des chambres à gaz hitlériennes n’est que le produit recyclé d’un bobard de la première guerre mondiale selon lequel les Bulgares, alliés de l’Allemagne impériale supprimaient systématiquement les Serbes « par la voie administrative » en conduisant ces derniers, sous prétexte de « nettoyage », dans des « établissements d’épouillage » et là les « éliminaient par gaz » (voy., par exemple, Bernard Guttmann [correspondant de la Frankfurter Zeitung] sur son entretien à Berlin le 20 novembre 1917 avec le secrétaire d’État aux Affaires étrangères Kuhlmann, rapporté dans Schattenriess einer Generation [Esquisse d’une génération] ) ; Attendu que ce bobard absurde et haineux, propagé notamment par les Britanniques, trouvait parfois créance même auprès de responsables politiques allemands, mais qu’après la guerre de 1914-1918, cette invention et bien d’autres inventions du même genre ont été dénoncées, y compris par le gouvernement britannique ; Attendu que ce bobard, pourtant universellement reconnu dans les années vingt pour n’être qu’une fabrication frelatée et faisandée, a été, pendant la seconde guerre mondiale, repris, recyclé, relancé avec tant de succès qu’aujourd’hui une loi de la République française menace de prison et d’amende celui qui, contestant cette vérité devenue officielle, refuse d’acheter, de propager, de consommer cet infâme produit politique, de vente forcée et d’achat forcé, à peine moins infâme que le bobard du savon à base de « graisse des victimes », repris à leur compte par les juges de Nuremberg (p. 265-266 du jugement) mais aujourd’hui dénoncé par les historiens de l’« Holocauste » ; Attendu, au demeurant, que l’on rappellera que les juges humanistes de 1945-1946 se sont appuyés, en l’absence de toute étude ou recherche d’ordre criminalistique ou matériel, sur des témoignages souvent de deuxième main et sans contre-interrogatoire sur la matérialité des faits ; Attendu qu’on soulignera que l’absence de curiosité criminalistique a conduit le Tribunal de Nuremberg à laisser dire sans critique sérieuse qu’il y avait eu des chambres à gaz homicides, instruments qui, en l’état, étaient tout simplement une impossibilité matérielle et donc une vision chimérique ; Attendu que deux rapports distincts de l’Américain Fred Leuchter (1988 et 1989) ont établi que l’existence de chambres à gaz homicides, d’abord à Auschwitz, à Birkenau et à Majdanek, puis à Dachau, à Mauthausen et à Hartheim, se heurte à des impossibilités totales d’ordre physique et chimique ; Attendu que, si nos renseignements les plus récents sont exacts, les autorités du musée d’Auschwitz ont fait diligenter, pour Auschwitz et Birkenau, une contre-expertise qui tend à confirmer les conclusions de Fred Leuchter sur ces deux camps (Lettre du 24 septembre 1990 adressée à ce musée par l’Institut d’expertises médico-légales de Cracovie « in memoriam Prof. Dr Jan Sehn », département de toxicologie. Réf. n° 720/90) ; Attendu que lesdites chambres à gaz étaient alors (1945-1946) et restent encore aujourd’hui (1991) des objets décidément indescriptibles, ce qui ne semble choquer personne tant est puissante la sidération médiatique et pseudo-religieuse (on voit en effet l’« objet sacré » acquérir ici sa pleine dimension qui est de n’avoir aucune réalité physique et matériellement représentable); Attendu que le comble de la légèreté coupable est atteint par les juges du Tribunal de Nuremberg quand, aux pages 264-266 du premier volume contenant le jugement, ils croient prouver leurs plus graves accusations par de prétendus aveux de Rudolf Höss et par une prétendue estimation d’Adolf Eichmann ; les aveux du premier sur les chambres à gaz et sur les trois millions (!!!) de morts d’Auschwitz lui ont été extorqués par ses tortionnaires de la Sécurité militaire britannique (voy. les révélations de ces derniers dans Legions of Death, de Rupert Butler, page d’avertissement et p. 234-238) ; quant à l’estimation d’A. Eichmann, elle n’est nullement d’Eichmann mais lui a été abusivement prêtée par une déclaration écrite de Wilhelm Höttl, personnage qui se trouvait dans la prison de Nuremberg et qu’il aurait été facile de convoquer à la barre mais qui n’a été ni interrogé ni contre-interrogé et cela malgré la demande expresse de l’avocat d’E. Kaltenbrunner (TMI, III, p. 572-575) ; Attendu, pour toutes ces raisons, qu’il y a donc lieu de constater que les prévenus ne tombent nullement sous le coup d’une loi qui, en tout état de cause, « ne demeurera que [de] l’incantation » au regard d’une définition « délirante » et inapplicable, à tout le moins ici ; Attendu, dans ces conditions, qu’il y a lieu de prononcer la relaxe de MM. Boizeau et Faurisson. ---
Robert Faurisson :
« Le révisionnisme est la grande aventure intellectuelle du siècle » En raison d’une interview que j’avais publiée dans Le Choc du Mois de septembre 1990, la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, présidée par Claude Grellier, vient de décider une sanction de quatre cent trente mille francs, soit cent quatre-vingt mille pour le directeur de la publication et, pour moi, deux cent cinquante mille francs dont cent mille avec sursis. Se trouvent ainsi attaqués au portefeuille, selon la « sanction ploutocratique », à la fois un mensuel de qualité et un professeur à salaire unique. J’avais apporté au tribunal les quarante et un volumes de l’édition française des débats et documents du tribunal de Nuremberg (ce tribunal qui, en dépit de ce qui s’imprime aujourd’hui, avait bel et bien fait d’office du massacre de Katyn un crime allemand alors qu’il s’agissait d’un crime soviétique). Aux avocats des onze associations qui me poursuivaient, j’avais demandé de me trouver dans les vingt-cinq mille pages de ces volumes une preuve, une seule preuve de l’existence de cette magique chambre à gaz qu’on ne peut ni nous définir, ni nous décrire, ni nous dessiner. Incapable de relever ce défi, on m’a traité d’anti-sémite. Je persisterai à proclamer que le mythe des chambres à gaz des années quarante n’est que le produit de recyclage, passablement faisandé, d’un bobard de la première guerre mondiale selon lequel les Bulgares, alliés de l’Allemagne, gazaient, dans le cadre d’une politique d’extermination, des millions de Serbes conduits fallacieusement dans des établissements de bain et d’épouillage.
Je continuerai de rappeler qu’en 1988 le rapport de l’Américain Fred Leuchter a prouvé l’impossibilité physique et chimique des prétendues chambres à gaz d’Auschwitz ; les autorités du musée d’Auschwitz, qui avaient réclamé une contre-expertise à l’Institut médico-légal de Cracovie (section de toxicologie), ont reçu de cet institut un rapport en date du 24 septembre 1990 qui tend à confirmer le rapport Leuchter et qui, pour cette raison, demeure encore aujourd’hui caché aux historiens et au public. En Suède, le révisionniste Ahmed Rami, responsable de Radio-Islam, est en prison depuis le 16 avril. Il n’en abjurera pas pour autant ses convictions. Je ferai de même, quoi qu’il m’en coûte. C’est là notre Intifada. Avec un nombre considérable de révisionnistes à travers le monde, nous lutterons contre ce que j’appelle un mensonge historique, une diffamation, une calomnie qui ont ouvert la voie à une gigantesque arnaque politico-financière dont l’État d’Israël est le principal bénéficiaire. La loi Fabius, dite Gayssot, « sur la liberté de la presse » (sic), ne m’intimidera pas même si elle est parue au Journal officiel de la République française le 14 juillet 1990 sous la signature de François Mitterrand, ancien maréchaliste, ancien sauteur de haie pour les besoins d’une mise en scène et ancien socialiste.
Le révisionnisme est la grande aventure intellectuelle de la fin de ce siècle. Rien ne l’arrêtera. Nos adversaires s’affolent à Paris, à Stockholm, à Londres, à Bruxelles, à Munich, à Vienne, à Varsovie, à Rome, à Madrid, à Boston, à Los Angeles, à Toronto, à Melbourne ; la diffusion du révisionnisme dans le monde arabo-musulman les angoisse. Pour nous, nous sommes calmes et déterminés. Des jugements de cour n’y changeront rien. Nous récidiverons. Nous maintiendrons. Et nous gagnerons. Source : Blog inofficiel Robert Faurisson --- Un combat dangereux Jürgen Graf :
« Dans la société occidentale contemporaine, toute critique du pouvoir juif et du mythe juif de la « Shoah » est fort dangereuse. Ceux qui ont le courage de défier l’exorbitant pouvoir des organisations juives sont pleinement conscients du risque qu’ils courent. Ils ne s’accordent pas le droit de demander à d’autres de suivre leur exemple. Ils savent pertinemment que tout le monde n’est pas un Robert Faurisson, un Vincent Reynouard, un Ernst Zündel, un Germar Rudolf, un Horst Mahler ou un David Duke. » ------------------------------------------------------------------------------------
Pour leur part, les révisionnistes, eux, savent ce qui les attends : la confirmation dans leurs grands médias, tôt ou tard, de ce qu’ils ont d’ores et déjà remporté une totale victoire sur le plan historique et scientifique. Il faudra bien que les pouvoirs politiques et médiatiques s’y résignent : persister dans la politique de la canonnière à l’extérieur et dans celle du bâillon et de la censure à l’intérieur ne fera que les déshonorer un peu plus. Pour rien.
Le flot montant qui, en particulier sur Internet, porte à la connaissance du monde entier les acquis spectaculaires du révisionnisme historique ne va pas soudainement interrompre sa course ou remonter vers sa source. » - Robert Faurisson
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Document vidéo : Claude Sarraute – La quenelle aux Arméniens
Claude Sarraute chez Marc-Olivier Fogiel sur Europe 1 le 9 décembre 2009 : « Regardez ce qu’on a réussi à faire, nous les Juifs, avec notre Shoah ».
Fogiel - On va terminer comme ça parce que tout est résumé avec cette phrase « Pourquoi Claude a été écartée du Monde à un moment donné puisque vous aimiez bien le politiquement correct. Un de vos confrères a voulu vous défier sur le thème qu’il n’osera jamais vous taquiner sur la Shoah. Et vous avez écrit : « Regardez-nous les Juifs ce qu’on a réussi à faire avec notre Shoah. »
Sarraute - Ah, j’ai dit ça à une Arménienne.
Fogiel continuant à citer Claude Sarraute - « On l’a vendu partout. On est couvert d’argent. On est vraiment plus forts que vous. »
Sarraute - Oui, j’ai dit ça. Parce que c’était un sitting arménien. Ah ha ! Ces cons-là, ils ont vraiment eu la même chose.
Fogiel - Oui.
Sarraute poursuit - Et tout ce qu’ils trouvent à faire, c’est de s’asseoir par terre dans la rue.
(Les deux rient)
Fogiel - C’était donc Claude Sarraute. Claude on peut vous dire qu’on vous aime avec Julie pour terminer ?
La Julie - Elle est tellement attachante. https://www.youtube.com/watch?v=SByLURD33xk
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SIGN THE PETITION AGAINST GERMANOPHOBIE ! Petition against Germanophobia ("The Germans killed the Jews") * - 370 signatures for now. Sign the petition too! https://www.change.org/p/conseil-fédéral-stop-germanophobie
SIGNEZ LA PETITION CONTRE LA GERMANOPHOBIE ! Pétition contre la germanophobie ("Les Allemands ont tué les Juifs") - 370 signatures à ce jour. Signez vous aussi la pétition ! Pétition · Conseil fédéral: Stop germanophobie ! · Change.org
UNTERSCHREIBEN SIE DIE PETITION GEGEN GERMANOPHOBIE !
Petition gegen Germanophobie ("Die Deutschen haben die Juden getötet") - 370 bis heute. Unterschreiben Sie auch die Petition! Pétition · Conseil fédéral: Stop germanophobie ! · Change.org
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