La Croix-Rouge internationale était présente dans tous les camps de travail, d'internement, de concentration et les camps de prisonniers pendant la Seconde Guerre mondiale. La Croix-Rouge n'a jamais eu accès à aucun camp soviétique avant, pendant ou après la Seconde Guerre mondiale. Sous la pression des révisionnistes (Robert Faurisson et Ernst Zundel), notamment aux deux procès Zundel (Toronto, 1985 et 1988), ces autorités ont fini par faire des révélations sur ces registres à partir de 1989, malgré les fortes objections d'Israël. Elles affirment n'avoir retrouvé de registres que pour la période du 29 juillet 1941 au 31 décembre 1943, non sans quelques lacunes. Les dossiers de la Croix-Rouge semblent indiquer qu'il n'y avait pas de chambres à gaz dans les camps allemands pendant la Seconde Guerre mondiale et un total de victimes documentées extraordinairement moins élevé que ceux généralement avancés jusqu’alors. Quant aux décès, ils seraient principalement dus au typhus. Ci-dessus, trois documents issus du Service international de recherches d’Arolsen, dépendant de la Croix-Rouge de Genève. A gauche, un résumé de 1979 faisant état 271 301 décès dans les camps allemands. Au centre, de 1980 faisant état de 273 905 décès. A droite, de 1984 faisant état de 282 077 décès. Germar Rudolf : « Il existe deux sources principales pour déterminer le nombre des Juifs qui sont morts durant la Seconde Guerre mondiale : le Service international de recherches, dépendant du Comité international de la Croix-Rouge de Genève, mais situé à Bad Arolsen (RFA), et l’ensemble des administrations allemandes chargées de procéder aux versements au titre des "restitutions", des "indemnisations" et des "réparations". Toutes ces instances sont fermées aux chercheurs indépendants. En particulier, le Service international de recherches s’entoure de précautions depuis qu’il constate que les révisionnistes s’intéressent à ses quarante millions de fiches.
À ce jour, seuls les chiffres fournis par le Comité international de la Croix-Rouge peuvent être considérés comme certains. Le bureau spécial du CICR à Bad Arolsen garde la trace de tous les décès officiellement documentés dans les camps de concentration allemands du Troisième Reich. Un résumé au 1er janvier 1993 fait état de 296 081 décès. La répartition de ces décès entre les différents camps est indiquée dans le tableau ci-dessous. In Germar Rudolf, Dissecting the Holocaust, 2e éd., 2003, p. 212 Un décompte des Juifs constitue probablement environ la moitié du total.
Il faut cependant garder à l'esprit que cette liste n'est pas complète. Les camps de Chelmno, Belzec, Sobibór et Treblinka ne figurent pas dans le tableau, tout comme ceux qui sont morts dans les ghettos. Enfin, il faut se rappeler que selon les "Livres de la mort", environ 66 000 personnes sont mortes à Auschwitz à la fin de 1943 seulement, et que les Américains ont mentionné 25 000 morts dans le camp de concentration de Dachau pendant la guerre. Une estimation réaliste du nombre réel de victimes peut donc être deux fois plus élevée que le total des victimes nominatives enregistrées dans les registres d'Arolsen. Le nombre de victimes enregistrées nommément serait maintenant d'environ 450 000. (W. Sofsky, L'organisation de la terreur - les camps de concentration, Fischer, Francfort 1993, p. 331, note de bas de page 37). Il s'agit sans doute en grande partie de Juifs, mais les chiffres exacts ne sont pas encore connus. Même de ce point de vue, il est clair que la mort a fait un grand nombre de victimes. »
Selon le révisionniste américain Thomas Dalton [son identité reste floue et pourrait être un pseudonyme- Ed.], « il semble probable qu'environ 570 000 juifs soient morts pendant toute la durée de la Seconde Guerre mondiale ». L’auteur de Debating the Holocaust (2009) commente : « Le chiffre traditionnel de 6 millions de morts semble donc avoir été une surestimation dramatique et non étayée. Le chiffre le plus probable - environ 570 000 - est inférieur à 10 % de ce chiffre. »
Les chiffres d’Auschwitz
Les procès de Nuremberg nous ont dit que 4 millions de personnes ont été tuées à Auschwitz. C'était un dogme officiel depuis des décennies et tout le monde le croyait comme un fait. Puis, en 1989, lorsque le système communiste s'est effondré, les Russes ont versé dans leurs archives les registres de décès d'Auschwitz qui avaient été capturés et les Polonais ont rapidement révisé le bilan à la baisse, le ramenant à 1,5 million de morts. Ce n'est toujours pas plus crédible que le mensonge original de 4 millions de morts. Les certificats de décès officiels du camp d'Auschwitz ont révélé que le nombre de morts pour tous les détenus juifs et non-juifs à Auschwitz entre mai 1940 et décembre 1944 était de 74 000, dont environ 30 000 seulement étaient des Juifs. (68 864 décès selon Robert Faurisson qui cite les travaux de Grotum et Parcer) Les registres de décès se composent de 46 volumes qui documentent chaque décès à Auschwitz (chaque certificat de décès comprend le nom complet de la personne décédée, sa profession et sa religion, sa date et son lieu de naissance, son lieu de résidence avant Auschwitz, le nom de ses parents, l'heure du décès et la cause du décès telle que déterminée par un médecin du camp). Les dossiers des années les plus importantes, 1942 et 1943, sont presque complets (il existe également quelques volumes pour l'année 1941, mais aucun pour l'année 1944 ou janvier 1945 date de l'évacuation).
Les services de renseignements britanniques ont décrypté que les Juifs représentaient moins de 40% des prisonniers d'Auschwitz. Les décryptages constituent un enregistrement de jour en jour du nombre de personnes vivant à Auschwitz (et dans d'autres camps) et ces messages interceptés donnent quatre catégories : Polonais, Juifs, Russes et "prisonniers politiques" parfois désignés comme "Allemands". Les Juifs représentaient moins de 40% d'Auschwitz, seulement 12% environ de Dachau et seulement 30% environ de Buchenwald.
Pour l’Américain Arthur R. Butz et pour d'autres révisionnistes, le nombre total de morts à Auschwitz (un complexe qui regroupait à la fin de la guerre un ensemble de 39 camps) doit s'élever dans une fourchette de 100 000 à 150 000, dont moins de 100 000 juifs. L’Italien Carlo Mattogno et le Suisse Jürgen Graf ont articulé un chiffre total de de 136 000. La plupart des juifs n'ont pas été tués mais sont morts, surtout à cause des épidémies de typhus. Les révisionnistes soulignent que, si les Allemands avaient eu à leur disposition de plus grandes quantités de l'insecticide Zyklon B précisément pour combattre ces épidémies, moins de personnes seraient mortes à Auschwitz, non seulement parmi les Juifs, les Polonais, les Russes et les autres détenus, mais aussi parmi les médecins, les gardes et les autres fonctionnaires allemands. --- STOP ANTI-WHITE CHRISTIAN HOLOHOAX ! (stopgermanophobie.blogspot.com) --- Stop germanophobie - Sign Online ! -------------------------------------------- Initiative contre la germanophobie - Partie 1 - Les Allemands n’ont pas tué les Juifs Initiative contre la germanophobie - Partie 1 - Les Allemands n’ont pas tué les Juifs (stopgermanophobie.blogspot.com)
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