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Robert Faurisson - « Ils n’essaient plus de répondre »


Robert Faurisson - « Ils n’essaient plus de répondre »



Robert Faurisson :


Pour une histoire véridique de la seconde guerre mondiale – Le « génocide »


Deux écoles historiques : l’histoire officielle (avec ses nuances et ses contradictions) et l’histoire révisionniste (avec ses nuances et ses contradictions).


1. - L’histoire officielle. Celle des universités et des instituts officiels, celle de Raul Hilberg (The Destruction of the European Jews) et de Gerald Reitlinger (The Final Solution. The Attempt to Exterminate the Jews of Europe 1939-1945). Voy. les publications de l’« Institut für Zeitgeschichte » de Munich, celles des instituts ou des centres de recherche juifs tels que le Centre de documentation juive contemporaine de Paris, les ouvrages de Joseph Billig, d’Olga Wormser-Migot, de Léon Poliakov, de Georges Wellers ; les publications du « Comité d’histoire de la Deuxième guerre mondiale », etc.


2. - L’histoire révisionniste. Celle d’auteurs isolés, dont les publications ont été l’objet de saisies ou d’interdictions diverses, dont les ouvrages – quand leur diffusion est tolérée – sont parfois difficiles à trouver. Voy., notamment, Le Véritable Procès Eichmann, par Paul Rassinier (ancien déporté) et The Hoax of the Twentieth Century par Arthur R. Butz.


3. - Thèse officielle. Les Allemands ont placé de très nombreux juifs dans des camps de concentration. Certains camps étaient dotés de fours crématoires où étaient brûlés les cadavres. Jusque-là rien d’effroyable, puisque les Allemands n’ont été ni les premiers, ni les derniers à placer en camps de concentration des catégories de civils tenus pour dangereux, indésirables, favorables à l’ennemi, etc., et puisque brûler des cadavres au lieu de les enterrer n’a rien d’une pratique criminelle, surtout là où il y avait, dans l’Europe en guerre, de terribles épidémies de typhus. Le crime des Allemands commence avec la volonté de « génocide » et avec l’institution de ces abattoirs industriels qu’étaient les « chambres à gaz ». Hitler a fait tuer des gens en raison de leur race et de leur religion. Il a ainsi tué quatre à six millions de juifs. C’est cela le « génocide », l’« extermination », l’« holocauste ». Il est normal que l’Allemagne (au moins celle de l’Ouest) ait versé et continue de verser à l’État d’Israël et aux communautés juives internationales de substantielles réparations financières. Il est normal que les rescapés d’un si grand massacre, qui est sans précédent dans l’histoire, aient obtenu de la communauté internationale le droit de s’installer dans un territoire qui ne leur appartenait pas de jure. A souffrances exceptionnelles, procédures exceptionnelles et réparations exceptionnelles.


4. - Thèse révisionniste. Il suffit d’appliquer ici les méthodes de routine de la critique historique pour découvrir que ces camps de concentration et ces fours crématoires ont réellement existé, tandis que cette prétendue tentative de « génocide » et ces prétendues « chambres à gaz » ne sont qu’une seule et même invention de la propagande de guerre. Cette invention est d’origine essentiellement sioniste. Elle a eu des retombées politico-financières dont l’État d’Israël est le principal bénéficiaire. Jamais Hitler n’a donné l’ordre de tuer ne serait-ce qu’un seul homme en raison de sa race ou de sa religion. Les juifs qui sont morts autrement que de causes naturelles sont morts par « faits de guerre ». Il y a eu des « pertes juives » comme il y a eu des « pertes » françaises, allemandes, russes, japonaises... Dans la seconde guerre mondiale, des millions de soldats, de francs-tireurs, de civils ont eu à souffrir des maux suivants : humiliations, persécutions, arrestations, internements, déportations, travaux forcés, faim, froid, épidémies, bombardements... Certains ont été torturés, exécutés, massacrés, acculés au suicide... D’autres ont été privés de leurs biens, de leurs terres, de leur patrie... Avec les moyens modernes d’investigation et grâce à la somme colossale d’archives dont nous disposons (en particulier grâce aux archives allemandes des camps), il serait parfaitement possible de déterminer, sans doute à quelques milliers d’unités près, le montant exact des «pertes juives»1. Un homme peut disparaître à jamais mais il ne peut guère, en même temps, faire disparaître dans les documents et dans les mémoires toute trace de son existence passée. Pourquoi, là encore, n’avoir pas, en plus de trente ans, appliqué les méthodes de recherche qui sont de routine ? Pourquoi là où, par exception, un service officiel a fait ce travail, en cache-t-on les résultats (France) ou en déforme-t- on les résultats par des commentaires tendancieux (Service international de recherches de la Croix-Rouge) ? Le nombre des juifs « exterminés » par Hitler (ou « victimes du génocide ») s’élève heureusement à... ZÉRO. En revanche, le nombre des Européens « tués par faits de guerre » pourrait être de l’ordre de quarante millions ; parmi eux, celui des juifs européens, pourrait être de l’ordre d’un million, mais, plus probablement, de plusieurs centaines de milliers. Un jour le chiffre exact sera trouvé : il va de soi que ce chiffre exact ne peut émaner que d’une instance internationale, procédant selon des méthodes scientifiques et permettant les vérifications qui seraient de rigueur.


5. - Attitude des médias. Les médias prennent parti depuis trente-quatre ans et sur les cinq continents pour la thèse officielle ; ils renchérissent même sur ces affirmations. Pendant trente ans, ils ont ignoré la thèse révisionniste ; depuis quelques années, ils commencent à en parler mais en la déformant systématiquement et en la présentant comme l’œuvre de « nazis ». Par exemple, ils disent couramment ceci : « Des nazis prétendent que les camps de concentration, les chambres à gaz et les fours crématoires n’ont jamais existé ! » Ou encore : « Des nazis prétendent que pas un juif n’a été gazé. » Les deux formules sont habiles mais elles déforment la thèse qu’elles prétendent résumer. Le vrai résumé est le suivant :


Les camps : oui. Les crématoires : oui. Les chambres à gaz : non. Hitler n’a jamais fait tuer d’hommes en raison de leur race ou de leur religion. Le « génocide » (mot et chose) est une invention de la propagande de guerre, complaisamment répercutée par les médias.


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Robert Faurisson :


Les historiens exterminationnistes


On appelle ainsi [les « exterminationnistes »] les historiens qui défendent la thèse selon laquelle il y a eu une politique d’extermination des juifs.

Depuis quelques années ces historiens se disputent, faute de trouver trace d’un ordre, d’un plan ou d’un budget. Ils échafaudent des théories. Pour les « intentionnalistes », il faut tout de même présupposer l’existence d’un ordre donné par Hitler tandis que, pour les « fonctionnalistes », ce n’est pas indispensable et cet ordre est même improbable : on peut supposer que cette extermination des juifs a été le résultat d’une multiplicité d’initiatives locales et individuelles.

Cette dispute prouve bien qu’on n’a trouvé ni ordre, ni plan, ni budget.

Ces mêmes historiens débattent du « problème des chambres à gaz ». Cette expression a été créée par Olga Wormser-Migot, historienne d’origine juive. Voyez sa thèse sur Le Système concentrationnaire nazi (1933-1945), p. 541-544. S’il existait des expertises, ce problème n’existerait sans doute pas.


Robert Faurisson :


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Le mythe de l’extermination des juifs


Les Allemands auraient procédé à l’extermination de millions de juifs (sans compter les Tziganes et les autres) sur toute la surface d’un continent et ce, pendant trois ans environ.


Or, on ne trouve aucune trace de cette gigantesque entreprise d’assassinat ordonnée, conçue, mise en œuvre, financée, administrée par les nazis. Ceux-ci auraient mis au point et utilisé pour perpétrer ce crime sans précédent une arme spécifique : la chambre à gaz homicide ou le camion à gaz homicide. Là encore aucune trace.


En résumé, on ne trouve : ni un ordre, ni un plan, ni un budget, ni une arme du crime (pas une seule expertise de « chambre à gaz » ou de « camion à gaz », ni un cadavre (parmi les innombrables autopsies, pas une seule prouvant un assassinat par gaz-poison).


Qu’est-ce qu’un assassinat, c’est-à-dire un meurtre commis avec préméditation, où l’on ne découvre ni préméditation, ni arme, ni cadavre ? Qu’est-ce que des millions d’assassinats de cette nature ? Passe pour un miracle, mais des millions de miracles ?


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Robert Faurisson :


Le « mensonge d’Auschwitz »


En 1980, je déclarais : « Attention ! Aucun des soixante mots de la phrase que je vais prononcer ne m’est dicté par une opinion politique. Le prétendu génocide des juifs et les prétendues chambres à gaz hitlériennes forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires sont l’État d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand – mais non pas ses dirigeants – et le peuple palestinien tout entier ».


Aujourd’hui, je ne vois pas un mot à retirer de cette déclaration malgré les agressions physiques, malgré les procès, malgré les amendes dont j’ai souffert depuis 1978 et malgré l’emprisonnement, l’exil ou la persécution de tant de révisionnistes. Le révisionnisme historique est la grande aventure intellectuelle de la fin de ce siècle. Je n’ai qu’un regret : c’est de ne pouvoir, dans les limites de cet article, trouver la place nécessaire pour rendre hommage aux cent auteurs révisionnistes qui, depuis le Français Paul Rassinier et en passant par l’Américain Arthur R. Butz, l’Allemand Wilhelm Stäglich, l’Italien Carlo Mattogno et l’Espagnol Enrique Aynat, ont accumulé sur la réalité historique de la seconde guerre mondiale tant de travaux aux mérites éclatants.


Un dernier mot : les révisionnistes ne sont ni des négateurs ni des personnages animés de sombres intentions. Ils cherchent à dire ce qui s’est passé et non pas ce qui ne s’est pas passé. Ils sont positifs. Ce qu’ils annoncent est une bonne nouvelle. Ils continuent de proposer un débat public, en pleine lumière, même si, jusqu’ici, on leur a surtout répondu par l’insulte, par la violence, par la force injuste de la loi ou encore par de vagues considérations politiques, morales ou philosophiques. La légende d’Auschwitz doit, chez les historiens, laisser place à la vérité des faits.


Les cinq principaux responsables de ce mensonge historique sont :

— Alfred Wetzler ou Weczler

— Walter Rosenberg, alias Rudolf Vrba

— Czeln Mordowicz, alias Petr Podulka

— Arnost Rosin, alias Jan Rohac

— et le rabbin Michael Dov Ber Weissmandel ou Weissmandl.


Pour tout détail s’adresser à R. Faurisson.


Mensonge créé en avril 1944 en Europe centrale, transmis par Gerhard Riegner, représentant en Suisse du Congrès Juif Mondial, et officialisé à Washington en novembre 1944 par la publication du War Refugee Board Report.


Les Soviétiques, en un premier temps, n’en tiendront pas compte. C’est ainsi que dans la Pravda du 2 février 1945, ils défendront la thèse selon laquelle à Auschwitz les Allemands se servaient principalement d’électricité pour tuer leurs victimes en série. C’est seulement dans leur rapport du 6 mai 1945 (document URSS-008) qu’ils se rallieront à la thèse de l’extermination par gaz à Auschwitz.


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Le cas de l’Institut Max Planck de Stuttgart


Germar Rudolf :


« À la fin du printemps 1993, l'Institut Max Planck de Stuttgart a publié un mémorandum interne informant ses employés qu'un candidat au doctorat y avait été licencié pour des recherches qu'il avait effectuées sur Auschwitz. L'institut expliquait qu'au vu de l'horreur des crimes commis par les nationaux-socialistes contre les Juifs, il était moralement répugnant de discuter de la manière précise dont les victimes avaient été tuées, ou d'essayer de déterminer le nombre précis de morts. Le fait que l'un des principaux instituts de recherche scientifique du monde ait déclaré à son personnel que la détermination de quantités précises est non seulement contraire à l'éthique, mais également répréhensible et constitue un motif de licenciement, n'est pas sans ironie. »


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Robert Faurisson :

La déclaration des trente-quatre historiens français


Face à une telle stratégie [de vérité], la phrase conclusive du texte des trente-quatre historiens [rétorquant à Faurisson] publié dans Le Monde, 21 février 1979, p.23: «Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. Cette vérité, il nous appartenait de la rappeler simplement: il n’y a pas, il ne peut y avoir de débat sur l’existence des chambres à gaz («La politique hitlérienne d’extermination: une déclaration d’historiens», Le Monde, 21 février 1979, p.23.


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Robert Faurisson :


La répression sous toutes ses formes


Sur le sujet de la Seconde Guerre mondiale, les adversaires du révisionnisme ont accumulé tant de défaites qu’il ne leur reste qu’une solution : la répression sous toutes ses formes et, en particulier, par la force injuste de la loi.

Comme si le combat révisionniste n’était pas plus actuel et plus important que jamais à l’heure où, par médias interposés, l’establishment redouble d’efforts pour nous faire connaître la version officielle du génocide des juifs et alors que jamais il n’a été autant question de mémoire et de repentance holocaustique et que jamais la répression contre les révisionnistes n’a été aussi forte et aussi brutale qu’aujourd’hui !


Le révisionniste français Serge Thion écrit à cet égard:


« Les conséquences de la loi Gayssot ont été terribles : la liberté d’expression s’est mise à dépérir. Des livres qui avaient été écrits ne pouvaient plus être publiés. On cessa de les écrire. Le peu de débat qui subsistait disparut entièrement. La crainte révérencieuse se répandit partout, surtout dans les écoles où les professeurs furent contraints de débiter une histoire officielle sous forme de catéchisme qui ne convainquait personne. Les médias se renfermèrent sur leur frilosité. Une chape de plomb s’est imposée peu à peu. »


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« Ils n’essaient plus de répondre »


Quand on leur demande: «Montrez-nous ou dessinez-nous une chambre à gaz homicide d’Auschwitz», ils n’essaient plus de répondre. Quand on leur dit: «Donnez-nous le nom d’une seule personne qui ait été tuée dans une chambre à gaz d’Auschwitz», ils ne répondent plus.


- Robert Faurisson


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Robert Faurisson :


Des chambres à gaz sans réalité physique et matériellement représentable


Procès Faurisson - Extraits des conclusions déposées par Me Éric Delcroix, avocat de MM. Boizeau et Faurisson, le 21 mars 1991, devant la XVIIe chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris - Contestation de crimes contre l’humanité - :


Attendu que, dans les quarante-et-un volumes de l’édition française des débats et documents du « grand procès » de Nuremberg, il n’existe pas une preuve, une seule preuve de l’existence soit d’une chambre à gaz homicide, soit d’une politique de destruction physique des juifs ; Attendu, en particulier, qu’on n’y trouve, soit sur le crime lui-même, soit sur l’arme du crime aucun des éléments suivants :


– une ordre de destruction physique des juifs – un plan de destruction physique des juifs – des directives pour une destruction physique des juifs – un budget pour une destruction physique des juifs – un procès-verbal d’examen in situ sur les lieux du crime – une expertise de l’arme du crime – un rapport d’autopsie établissant un assassinat par gaz-poison – un procès-verbal de reconstitution (simulacre) – un contre-interrogatoire de témoin sur la matérialité des faits rapportés ;


Attendu, de surcroît, que la confusion même du législateur, conduit à recourir à une définition « délirante » et ne permet pas de mettre ici le texte de l’article 24 bis en application, puisque le jugement prononcé au terme du grand procès de Nuremberg tel qu’invoqué par les parties civiles utilise, dans certains cas, le mot d’« extermination », mais n’en donne jamais une définition précise et circonstanciée ;


Attendu, de même, qu’il emploie l’expression de « chambre à gaz » sans jamais fournir une description de cette arme extraordinaire encore jamais vue dans le monde scientifique ; Attendu que, tout au long des cent quatre-vingt-sept pages du jugement, les deux seules précisions – vagues et indigentes – qu’on puisse découvrir sur la « chambre de mort » (sic), défiant toutes les lois de la physique et de la chimie, est que cette chambre (au singulier) permettait de tuer (combien de personnes ? avec quel gaz ? selon quelle procédure ?) « en trois à quinze minutes » et qu’il fallait attendre une demi-heure pour ouvrir « les portes » (au pluriel !) (p. 265 du jugement) ;


Attendu qu’au surplus ces deux précisions dérisoires sont extraites d’une « confession » dictée à Rudolf Höss par ses tortionnaires de la Sécurité militaire britannique (voy., ci-dessous, p. 6, alinéa 2) ; Attendu que l’imposture des chambres à gaz hitlériennes n’est que le produit recyclé d’un bobard de la première guerre mondiale selon lequel les Bulgares, alliés de l’Allemagne impériale supprimaient systématiquement les Serbes « par la voie administrative » en conduisant ces derniers, sous prétexte de « nettoyage », dans des « établissements d’épouillage » et là les « éliminaient par gaz » (voy., par exemple, Bernard Guttmann [correspondant de la Frankfurter Zeitung] sur son entretien à Berlin le 20 novembre 1917 avec le secrétaire d’État aux Affaires étrangères Kuhlmann, rapporté dans Schattenriess einer Generation [Esquisse d’une génération] ) ;

Attendu que ce bobard absurde et haineux, propagé notamment par les Britanniques, trouvait parfois créance même auprès de responsables politiques allemands, mais qu’après la guerre de 1914-1918, cette invention et bien d’autres inventions du même genre ont été dénoncées, y compris par le gouvernement britannique ;


Attendu que ce bobard, pourtant universellement reconnu dans les années vingt pour n’être qu’une fabrication frelatée et faisandée, a été, pendant la seconde guerre mondiale, repris, recyclé, relancé avec tant de succès qu’aujourd’hui une loi de la République française menace de prison et d’amende celui qui, contestant cette vérité devenue officielle, refuse d’acheter, de propager, de consommer cet infâme produit politique, de vente forcée et d’achat forcé, à peine moins infâme que le bobard du savon à base de « graisse des victimes », repris à leur compte par les juges de Nuremberg (p. 265-266 du jugement) mais aujourd’hui dénoncé par les historiens de l’« Holocauste » ; Attendu, au demeurant, que l’on rappellera que les juges humanistes de 1945-1946 se sont appuyés, en l’absence de toute étude ou recherche d’ordre criminalistique ou matériel, sur des témoignages souvent de deuxième main et sans contre-interrogatoire sur la matérialité des faits ;


Attendu qu’on soulignera que l’absence de curiosité criminalistique a conduit le Tribunal de Nuremberg à laisser dire sans critique sérieuse qu’il y avait eu des chambres à gaz homicides, instruments qui, en l’état, étaient tout simplement une impossibilité matérielle et donc une vision chimérique ; Attendu que deux rapports distincts de l’Américain Fred Leuchter (1988 et 1989) ont établi que l’existence de chambres à gaz homicides, d’abord à Auschwitz, à Birkenau et à Majdanek, puis à Dachau, à Mauthausen et à Hartheim, se heurte à des impossibilités totales d’ordre physique et chimique ; Attendu que, si nos renseignements les plus récents sont exacts, les autorités du musée d’Auschwitz ont fait diligenter, pour Auschwitz et Birkenau, une contre-expertise qui tend à confirmer les conclusions de Fred Leuchter sur ces deux camps (Lettre du 24 septembre 1990 adressée à ce musée par l’Institut d’expertises médico-légales de Cracovie « in memoriam Prof. Dr Jan Sehn », département de toxicologie. Réf. n° 720/90) ;

Attendu que lesdites chambres à gaz étaient alors (1945-1946) et restent encore aujourd’hui (1991) des objets décidément indescriptibles, ce qui ne semble choquer personne tant est puissante la sidération médiatique et pseudo-religieuse (on voit en effet l’« objet sacré » acquérir ici sa pleine dimension qui est de n’avoir aucune réalité physique et matériellement représentable); Attendu que le comble de la légèreté coupable est atteint par les juges du Tribunal de Nuremberg quand, aux pages 264-266 du premier volume contenant le jugement, ils croient prouver leurs plus graves accusations par de prétendus aveux de Rudolf Höss et par une prétendue estimation d’Adolf Eichmann ; les aveux du premier sur les chambres à gaz et sur les trois millions (!!!) de morts d’Auschwitz lui ont été extorqués par ses tortionnaires de la Sécurité militaire britannique (voy. les révélations de ces derniers dans Legions of Death, de Rupert Butler, page d’avertissement et p. 234-238) ; quant à l’estimation d’A. Eichmann, elle n’est nullement d’Eichmann mais lui a été abusivement prêtée par une déclaration écrite de Wilhelm Höttl, personnage qui se trouvait dans la prison de Nuremberg et qu’il aurait été facile de convoquer à la barre mais qui n’a été ni interrogé ni contre-interrogé et cela malgré la demande expresse de l’avocat d’E. Kaltenbrunner (TMI, III, p. 572-575) ;


Attendu, pour toutes ces raisons, qu’il y a donc lieu de constater que les prévenus ne tombent nullement sous le coup d’une loi qui, en tout état de cause, « ne demeurera que [de] l’incantation » au regard d’une définition « délirante » et inapplicable, à tout le moins ici ;


Attendu, dans ces conditions, qu’il y a lieu de prononcer la relaxe de MM. Boizeau et Faurisson.


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Robert Faurisson :

« Le révisionnisme est la grande aventure intellectuelle du siècle »


En raison d’une interview que j’avais publiée dans Le Choc du Mois de septembre 1990, la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, présidée par Claude Grellier, vient de décider une sanction de quatre cent trente mille francs, soit cent quatre-vingt mille pour le directeur de la publication et, pour moi, deux cent cinquante mille francs dont cent mille avec sursis. Se trouvent ainsi attaqués au portefeuille, selon la « sanction ploutocratique », à la fois un mensuel de qualité et un professeur à salaire unique.


J’avais apporté au tribunal les quarante et un volumes de l’édition française des débats et documents du tribunal de Nuremberg (ce tribunal qui, en dépit de ce qui s’imprime aujourd’hui, avait bel et bien fait d’office du massacre de Katyn un crime allemand alors qu’il s’agissait d’un crime soviétique). Aux avocats des onze associations qui me poursuivaient, j’avais demandé de me trouver dans les vingt-cinq mille pages de ces volumes une preuve, une seule preuve de l’existence de cette magique chambre à gaz qu’on ne peut ni nous définir, ni nous décrire, ni nous dessiner. Incapable de relever ce défi, on m’a traité d’anti-sémite.


Je persisterai à proclamer que le mythe des chambres à gaz des années quarante n’est que le produit de recyclage, passablement faisandé, d’un bobard de la première guerre mondiale selon lequel les Bulgares, alliés de l’Allemagne, gazaient, dans le cadre d’une politique d’extermination, des millions de Serbes conduits fallacieusement dans des établissements de bain et d’épouillage.

Je continuerai de rappeler qu’en 1988 le rapport de l’Américain Fred Leuchter a prouvé l’impossibilité physique et chimique des prétendues chambres à gaz d’Auschwitz ; les autorités du musée d’Auschwitz, qui avaient réclamé une contre-expertise à l’Institut médico-légal de Cracovie (section de toxicologie), ont reçu de cet institut un rapport en date du 24 septembre 1990 qui tend à confirmer le rapport Leuchter et qui, pour cette raison, demeure encore aujourd’hui caché aux historiens et au public.


En Suède, le révisionniste Ahmed Rami, responsable de Radio-Islam, est en prison depuis le 16 avril. Il n’en abjurera pas pour autant ses convictions. Je ferai de même, quoi qu’il m’en coûte. C’est là notre Intifada. Avec un nombre considérable de révisionnistes à travers le monde, nous lutterons contre ce que j’appelle un mensonge historique, une diffamation, une calomnie qui ont ouvert la voie à une gigantesque arnaque politico-financière dont l’État d’Israël est le principal bénéficiaire.


La loi Fabius, dite Gayssot, « sur la liberté de la presse » (sic), ne m’intimidera pas même si elle est parue au Journal officiel de la République française le 14 juillet 1990 sous la signature de François Mitterrand, ancien maréchaliste, ancien sauteur de haie pour les besoins d’une mise en scène et ancien socialiste.

Le révisionnisme est la grande aventure intellectuelle de la fin de ce siècle. Rien ne l’arrêtera. Nos adversaires s’affolent à Paris, à Stockholm, à Londres, à Bruxelles, à Munich, à Vienne, à Varsovie, à Rome, à Madrid, à Boston, à Los Angeles, à Toronto, à Melbourne ; la diffusion du révisionnisme dans le monde arabo-musulman les angoisse. Pour nous, nous sommes calmes et déterminés. Des jugements de cour n’y changeront rien. Nous récidiverons. Nous maintiendrons. Et nous gagnerons.


Source : Blog inofficiel Robert Faurisson


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Un combat dangereux

Jürgen Graf :


« Dans la société occidentale contemporaine, toute critique du pouvoir juif et du mythe juif de la « Shoah » est fort dangereuse. Ceux qui ont le courage de défier l’exorbitant pouvoir des organisations juives sont pleinement conscients du risque qu’ils courent. Ils ne s’accordent pas le droit de demander à d’autres de suivre leur exemple. Ils savent pertinemment que tout le monde n’est pas un Robert Faurisson, un Vincent Reynouard, un Ernst Zündel, un Germar Rudolf, un Horst Mahler ou un David Duke. »


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Manifeste contre la germanophobie - Table des matières


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