Propagande sur l’Allemagne (Partie II)
Le mythe des gazages des populations civiles est une invention serbe qui remonte à 1916.
Pendant la Première Guerre mondiale (1914 à 1918), il a été largement rapporté que les Allemands, et leurs alliés, utilisaient des chambres à gaz pour tuer des milliers de prisonniers. Cependant, après la fin de la guerre, Stanley Baldwin a admis au parlement britannique qu'il s'agissait de propagande, et que de telles chambres à gaz n'avaient jamais existé. Il s'est également excusé publiquement auprès du peuple allemand pour cette insulte raciste à son égard.
Les deux pièces reproduites ici sont, toutes deux, extraites d’un même journal londonien, le Daily Telegraph. A vingt-six ans de distance, ledit journal a repris les mêmes chiffres : le 22 mars 1916, il annonce l’assassinat de sept cent mille Serbes et, le 25 juin 1942, il titre sur l’assassinat de sept cent mille juifs. En 1916, on raconte que les Allemands, les Autrichiens et les Bulgares « exterminent » les Serbes de différentes façons et, notamment, au moyen de gaz asphyxiants soit dans des églises, soit dans des lieux non autrement décrits ; ces gaz émanent de bombes ou de machines à produire des gaz.
« Le mythe des gazages des juifs durant la seconde guerre mondiale n’est que le produit de recyclage du mythe du gazage des Serbes pendant la première guerre mondiale », remarque Robert Faurisson : « En 1942, on veut nous faire croire que les Allemands « exterminent » (c’est encore le mot) les juifs de multiples façons et, en particulier – c’est le modernisme – en utilisant un, et un seul, camion adapté en chambre à gaz, qui permet d’éliminer pas moins de mille juifs par jour. »
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22 mars 1916
ATROCITÉS EN SERBIE
700.000 victimes
De notre correspondant. Rome, lundi (18 h 45).
Les gouvernements alliés ont reçu témoignages et documents, qui seront prochainement publiés, prouvant que l’Autriche et la Bulgarie se sont rendues coupables d’horribles crimes en Serbie, où les massacres qu’ils ont commis sont pires que ceux perpétrés par la Turquie en Arménie.
Aujourd’hui, le gouvernement italien a publié le témoignage de deux prisonniers italiens qui se sont évadés d’Autriche par la Serbie et ont trouvé refuge en Roumanie. Pourtant, ce que ces deux prisonniers ont vu et appris n’est rien, comparé avec les témoignages produits par les Serbes eux-mêmes et communiqués par M. Pasitch au gouvernement italien et au pape. Selon des informations dignes de foi, le nombre des victimes des Autrichiens et des Bulgares a dépassé sept cent mille. Des régions entières, avec villes et villages, ont été dépeuplées par des massacres. Femmes, enfants et vieillards ont été enfermés dans des églises par les Autrichiens et passés à la baïonnette ou étouffés par le moyen de gaz asphyxiants. C’est ainsi que, dans une seule église de Belgrade, trois mille femmes, enfants et vieillards ont été suffoqués.
Des réfugiés serbes ont déclaré, sans que ce soit sous serment, qu’ils ont assisté à la distribution de bombes et de machines à produire des gaz asphyxiants, distribution faite aux Bulgares par les Allemands et les Autrichiens, avec les instructions d’emploi de ces instruments en vue d’exterminer la population serbe. Les Bulgares ont usé de cette méthode à Nich, Pirot, Prizren et Negotin où les habitants sont morts suffoqués. Les Autrichiens ont employé des moyens identiques en différentes parties du Monténégro.
Source : Blog Robert Faurisson
Quant à l’article de juin 1942 selon lequel les Allemands ont tué industriellement « 700 000 juifs en Pologne à l’aide chambres à gaz mobiles » réalisant ainsi le « plus grand massacre de l’histoire de l’humanité », le journal précise que « un millier de Juifs en moyenne étaient gazés chaque jour ».
L’article, reproduit sur le site web du Telegraph, énumère également le nombre de victimes de massacres dans sept villes. En voici deux paragraphes :
« Des enfants dans des orphelinats, des retraités dans des maisons de retraite et des malades dans des hôpitaux ont été abattus. Dans de nombreux endroits, les Juifs ont été déportés vers des "destinations inconnues"" et tués dans les bois voisins. »
« À Vilna, 50 000 Juifs ont été assassinés en novembre. Le nombre total de Juifs abattus dans ce district et dans les environs de Kovno lituanien est de 300 000. »
Etonnamment, l'article, qui faisait référence spécifiquement au "plus grand massacre de l'histoire de l’humanité", a été publié à la cinquième page d'un numéro de six pages et eut peu d'écho ailleurs.
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Pétition en ligne Signature en ligne de la pétition contre la germanophobie :https://www.change.org/p/conseil-fédéral-stop-germanophobie
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